Félix Houphouët-Boigny

CADRE DE L’ETUDE ET DU CADRE GEOGRAPHIQUEPORT BOUET est l’une des dix (10) commune de la ville d’Abidjan, en côte d’ivoire. Elle comprend les quartiers D’ADJOUFFOU, les villages d’ABOUABOU et de MAFIBLE .n elle habrite l’aéroport international Félix HOUPHOUET BOIGNY. Etalé tout le long du littoral sur une dizaine de kilomètre au-delà du canal de VRIDI, PORT BOUET porte le nom du commandant BOUET VILLAUMEZ qui, en 1837 fut chargé par le roi de France de conclure des traités de commerce et de protection

grandes périodes : La première période allant des origines de la colonisation à la deuxième guerre mondiale est marquée par l’esclavage qui fut remplacé après sa suppression officielle en 1848 par le travail forcé, lui-même aboli en 1946 par Félix HOUPHOUET BOIGNY. Cette période est marquée par la négation des droits élémentaires des salariés ivoiriens. La deuxième période, s’étendant de la deuxième guerre mondiale à nos jours est marquée par une nette humanisation du régime colonial, et une amélioration

Air Ivoire développe pour sa part, une politique commerciale axée sur le développement de ses lignes vers les pays de l’Afrique de l'Ouest et vers la France. Aéroport d'Abidjan Pour l'aéroport d'Abidjan, dénommé aéroport international Félix Houphouët Boigny, les statistiques établies en 2005 indiquent 14 257 mouvements commerciaux (arrivées et départs), 745 180 passagers commerciaux (arrivées, départs et transit) et 12 552 tonnes de fret commercial. L’aéroport d’Abidjan assure 90 pour cent du

grandes périodes : La première période allant des origines de la colonisation à la deuxième guerre mondiale est marquée par l’esclavage qui fut remplacé après sa suppression officielle en 1848 par le travail forcé, lui-même aboli en 1946 par Félix HOUPHOUET BOIGNY. Cette période est marquée par la négation des droits élémentaires des salariés ivoiriens. La deuxième période, s’étendant de la deuxième guerre mondiale à nos jours est marquée par une nette humanisation du régime colonial, et une amélioration

Grande-Bretagne, la Hollande, l'Espagne et l'Italie qui y voient une forme d'esclavage. Ce n'est que par la loi du 11 avril 1946 que le travail forcé est interdit de façon absolue dans les territoires d'outre-mer, son rapporteur est l'Ivoirien Félix Houphouët Boigny La Force noire. Le colonel Mangin publie en 1910, la  « Force noire », il s'agit de recruter massivement des soldats indigènes ; un décret de 1912 permet d'enrôler quatre ans des hommes âgés de 20 à 28 ans. Les tirailleurs sénégalais face

de la politique française en direction de l’Afrique. Ces pôles étaient aussi un axe reliant les capitales, sièges des grandes dictatures de l’Afrique postcoloniale : Libreville (sous Omar Bongo), Lomé (sous Eyadema Gnassingbé), Abidjan (sous Houphouët Boigny), Kinshasa (sous Mobutu Sese Seko), N’djamena (sous Hisséne Habré, puis Idriss Deby), Yaoundé (sous Paul Biya), Bangui (sous le régime de Bokassa). Ce dispositif offrait et offre aujourd’hui encore aux puissances néocolonialistes les moyens de

Air Ivoire développe pour sa part, une politique commerciale axée sur le développement de ses lignes vers les pays de l’Afrique de l'Ouest et vers la France. Aéroport d'Abidjan : Pour l'aéroport d'Abidjan, dénommé aéroport international Félix-Houphouët-Boigny, les statistiques établies en 2005 indiquent 14 257 mouvements commerciaux (arrivées et départs), 745 180 passagers commerciaux (arrivées, départs et transit) et 12 552 tonnes de fret commercial. L’aéroport d’Abidjan assure 90 pour cent du

points d’appui stratégiques aux puissances extra africaines. Ces coopérations aideront les tenants du pouvoir à épurer l’Armée et ainsi à se maintenir au pouvoir. La Guinée Conakry avec Sékou Touré, la Gabon avec Omar Bongo, la Côte d’Ivoire sous Houphouet Boigny, la République Centrafricaine sous David Dacko et le Général Kolingba en sont des exemples patents. L’histoire de l’Afrique nous fournit plusieurs exemples de passage d’un gouvernement civil démocratique, pour passer à un pouvoir civil autocratique

sur la côte sud de l’Afrique de l’Ouest— a prospéré économiquement, même si des parties de sa population sont restées exclues politiquement. Sous la présidence de Félix Houphouët-Boigny (1960-1993), la Côte d’Ivoire est devenue une puissance économique en Afrique de l’Ouest comme premier pays producteur de cacao et de café. Houphouët-Boigny a mené une politique d’immigration de porte ouverte qui, couplée avec la croissance rapide de l’économie ivoirienne, a attiré des travailleurs migrants venus de

colonies dans le gouvernement Pierre Laval en 1931-1932. De même, en 1903 fut créée à Saint-Louis du Sénégal l’Ecole normale William Ponty où furent formées la plupart des futures élites de l’Afrique francophone décolonisées, dont notamment Félix Houphouët-Boigny. Des gouverneurs coloniaux purent faire preuve d’un intérêt sincère pour les cultures indigènes et tentèrent d’exercer leur charge avec une humanité réelle non dénuée de paternalisme. Le maréchal Lyautey, nommé résident général au Maroc en