Femme à barbe

un homme aussi charmant et aussi fortuné soit aussi seul. Le matin, il était assis sur sa chaise à bascule qui valait des millions, mais pour lui l’argent n’était pas un souci et ça tout le monde le savait. L’homme dégustait tout les matins son thé à la menthe qu’il allait acheter lui-même dans une boutique à deux rues de chez lui. Puis il s’en alla au marché, il était vêtu avec les derniers habits à la mode, les gens étaient tous persuadés qu’il était une de ces personnes du monde de la mode mais

extrême de chance, il n’y avait plus de gaz. Je le balançai dans la benne à ordures juste en face avec toute ma force. Une ombre bougea lorsqu’il atterrit dedans. Je retroussai le nez et m’approcha. Il y avait quelqu’un assis par terre… Excuse-moi, t’as pas un briquet par hasard ? La personne ne face ne répondit pas et je ne la blâmai pas pour ça. Ma question était complètement stupide. A la place, elle se leva. Oh, c’était une femme. Elle était grande, très grande même, en tout cas plus que moi, mais

L'AN NEUF DE L'HEGIRE Victor Hugo, le 15 janvier 1858 Comme s'il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu'il était chamelier. Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour, Les temps antérieurs, l'ère immémoriale

Victor Hugo, le 15 janvier 1858 Comme s'il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût  A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;  Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,  Se souvenant du temps qu'il était chamelier.  Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour,  Les temps antérieurs, l'ère immémoriale.  Il avait le front

Malheureusement, personne n’est vraiment à l’abri de la maladie mentale. C’est une dure réalité qui touche près d’une personne sur cinq au Québec au cours de sa vie, et ce, peu importe l’âge de la personne1. En effet, dès notre enfance, nous sommes étiquetés comme étant une fille ou un garçon, mais qu’arrive-t-il si le sexe de l’enfant ne correspond pas à l’identité sexuelle que celui-ci développe? Doit-il vivre avec ce secret toute sa vie où il y a moyen de remédier à cette souffrance? En lien avec ces

I/ Résumé Gervaise Macquart, une blanchisseuse, vit à Paris dans le quartier de la Goutte d'or. Elle est la compagne d'Auguste Lantier, un ouvrier avec lequel elle a 2 enfants : Claude et Etienne. Alors qu'elle est au lavoir, Gervaise apprend que son compagnon avec Adèle (sa maîtrese).Virginie, la soeur de celle-ci, s'empoigne avec agressivité avec Gervaise,mais finalement la blanchisseuse devant tout le lavoir.Durant son travail, elle fait la connaissance de Coupeau,un zingueur, un homme honnête

citée tout au long de la nouvelle par son surnom dû à ses formes arrondies et à son physique gras, (le suif étant la graisse animale ou végétale servant à la fabrication de certains produits tels que le savon et au traitement du cuir). Le lecteur ne connaîtra son véritable nom que bien après sa première apparition. Il est important de noter ici que seule Boule de suif n’a pas de véritable identité et qu’elle est citée par une expression renvoyant à son physique, alors que les autres personnages sont

cinquante ans ; madame Thénardier touchait à la quarantaine, qui est la cinquantaine de la femme; de façon qu'il y avait équilibre d'âge entre la femme et le mari. Les lecteurs ont peut-être, dès sa première apparition, conservé quelque souvenir de cette Thénardier grande, blonde, rouge, grasse, charnue, carrée, énorme et agile; elle tenait, nous l'avons dit, de la race de ces sauvagesses colosses qui se cambrent dans les foires avec des pavés pendus à leur chevelure. Elle faisait tout dans le

sur la vie de l'auteurMohammed Khair-Eddine est un écrivain marocain né à Taroudant en 1941 .Il a vécu àAgadir, Casablance puis il est parti à Paris ou' il a commencé à animer des émissionsradiophoniques pour France-culture. Ses oeuvres ont été publiées , pour la plupart , auxéditions du Seuil ; on peut citer entreautres: Histoire d'un bon Dieu , Soleil arachnide, Moil'aigre, Résurrection des fleurs sauvages...l'auteur est mort à Rabat en 1995 Résumé de l'oeuvre Il était une fois un couple heureux

saint”. Quand il eut sept ans, sa mère lui appris à chanter. Son père, pour le rendre courageux, un vieux moine lui appris aussi l'écriture sainte et les lettres latines. Il fut rapidement un très bon cavalier grâce à son père. Un jour à la messe il aperçu une petite souris qui tua sans aucuns scrupule, quelque temps après il récidiva mais cette fois avec un pigeon. Julien aimait la chasse seul avec son cheval et ses chiens, un jour a lui tout seul il a fait un véritable massacre, qui le choqua, mais