Femme Et Chatte Verlaine

grammairiens distinguent deixis et embrayage (ou déictiques et embrayeurs) en réservant le terme embrayage pour désigner le phénomène qui permet à certains mots de désigner directement les éléments de d'énonciation par l'acte même : Je veux cette femme. Je est un "embrayeur du discours" car il manifeste la présence du sujet dans l'énonciation et il s'identifie clairement comme celui qui parle. Par contre, cette est un déictique car le référent ne peut s'identifier qu'avec l'appui d'un acte supplémentaire

et l’avait-il à son insu communiquée à sa mère. Il eut du mal à trouver l’habitation du médecin. Enfin, près du port, dans une impasse, on lui montra une maison de pauvre apparence ; un mollet à demi décroché claquait. A son coup de heurtoir, Une femme parut en gesticulant ; elle demanda au chevalier ce qui l’ amenait ; il dut s’expliquer en détail, criant pour se faire entendre ; d’autres femmes s’apitoyèrent bruyamment sur la maladie inconnue. (Marguerite Yourcenar, Anna, Sorror…, 1931.) /II/

ces signes simples, le message est véhément et les sujets abordés graves : villes pourries par la misère sociale qui engendre le crime, abandon moral et matériel où se débattent l'enfance et la vieillesse, brutalité des moeurs, asservissement de la femme. Le roman-feuilleton propose des remèdes : charité, justice, amour, révolution sociale, voire socialisme, en se montrant confiant dans la solidarité et le progrès. 1842 1844 1859 E. Sue P. Féval Ponson du Terrail Les Mystères de Paris Les Mystères

(longue) expérience dans le domaine de l’amour, de la drague et des relations entre hommes et femmes. Vous n’avez plus qu’à suivre le guide. Qui, on vous prévient tout de suite, n’accepte pas la langue de bois et se fait un devoir d’appeler une chatte une chatte. Ames sensibles s’abstenir, mais cœurs solitaires s’attarder… A vous les hommes de lire attentivement ces quelques réflexions, analyses et conseils, et de poursuivre de votre côté votre analyse de cette étrange mais fascinante peuplade afin

et l’avait-il à son insu communiquée à sa mère. Il eut du mal à trouver l’habitation du médecin. Enfin, près du port, dans une impasse, on lui montra une maison de pauvre apparence ; un mollet à demi décroché claquait. A son coup de heurtoir, Une femme parut en gesticulant ; elle demanda au chevalier ce qui l’ amenait ; il dut s’expliquer en détail, criant pour se faire entendre ; d’autres femmes s’apitoyèrent bruyamment sur la maladie inconnue. (Marguerite Yourcenar, Anna, Sorror…, 1931.) /II/

consommation). b) Il est donc séduit par la beauté blanche : attirance fascination. - Blondeur : « grandes filles d’or aux longues jambes longues » v.1. - Regard clair : « tes yeux de métal bleu » v.2, « ton sourire » v.2 : comparaison avec une femme. c) Ainsi que par l’architecture - Son gigantisme : « Les gratte-ciel qui défient les cyclones ». - La modernité des matériaux utilisés : « leurs muscles d’acier ». Le poète est d’abord « confondu », « timide », impressionné, captivé par la beauté

9 Romantisme et lyrisme amoureux A. de Lamartine, Méditations poétiques, « Le lac » T. de Viau, Œuvres poétiques, « La solitude » ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE A. de Lamartine, Méditations poétiques, « Le lac » ANALYSE D’IMAGE C. D. Friedrich, Homme et femme contemplant la lune TEXTE 2 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de décembre » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 L. Labé, Sonnets, « Prédit me fut… » TEXTE 3 G. de Nerval, Odelettes, « Les Cydalises » et « Une allée du Luxembourg » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Tibulle

et le Baudelaire de Cl. Pichois et J. Ziegler, p. 322-323. 49. P. 253. 50. Cl. Pichois, J. Ziegler, Baudelaire, p. 337. 51. Voir Gr. Robb, Baudelaire lecteur de Balzac, ouvr. cité, p. 15, et, cité par Robb p. 270, un intéressant passage de La Femme de trente ans, ainsi que deux lignes d'Honorine, citées par Robb p. 293, n. 761, sur la "mystérieuse fleur de l'Idéal". Ajoutons-y un passage de Louis Lambert (éd. P.-G. Castex, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, t. XI, p. 632), où les "idées"

. . '.' . . . . . . . Je chante pour chanter, je t'aime pour chanter 6p • Eluard. "Surrealisme", Dictionnaire abrege du Surrealisme, p. 780. . --- -...... 6 Le mystere au l'amour me cree et se delivre. 7 Nous voyons dans cette poesie que 1a femme est son ressort poetique et qu'Eluard donne a la poesie Ie pouvoir de reCTeer la joie de l'amour physique. Le titre d'un de ses recuei1s surrealistes nous eclaire davantage 1a~dessus: suggere que ces deux idees sont intimement liees dans la pensee

randonnée ! On est toujours obligés d’y aller ? _Oui mon chéri, c'est pour me faire plaisir ! J’attends cette journée depuis des semaines ! _ Bon allez, en voiture ! L’homme s’installa au volant de sa voiture et la femme s’asseyait à ses côtés. La femme, Marie Normau est une petite femme dynamique, ayant le goût de l’aventure. Elle est blonde aux cheveux coupés au carré et apprécie le sport et l’inattendu. Mariée depuis maintenant six ans avec Aurélien, elle veut le pousser à faire du sport d'où le