Femme Fatale Femme Ideale

avec les conventions du roman baroque. Il a été écrit par Madame de La Fayette en 1678, mais attribué à elle qu’en 1780. Elle dresse une peinture de la vie à la cour d’Henri II (Renaissance) en s’intéressant particulièrement au destin tragique d’une femme de la noblesse, la princesse de Clèves, qui renonce à son amour pour rester fidèle à son mari et à la morale. Après avoir dressé rapidement un tableau historique, Mme de La Fayette présente aux lecteurs une large palette de personnages importants dont

juin 1841 pour les Indes et finit son voyage à l'Ile de la Réunion en février 1842 . Ce voyage lui inspirera de nombreux poèmes tels que «  L'albatros » . En 1842, il fait la connaissance de Jeanne Duval qu'il représente dans ces textes comme la femme idéale et l'amour sensuel , comme dans « Le serpent qui danse ». En 1847, il rencontre Edgar Poe , chez lequel il s'identifie. A partir de 1848, Baudelaire mène une vie de Dandy. En 1852, il envoie des poèmes à Mme Sabatier , celle qu'il associe à un

RUY BLAS : Résumé et Analyse de l’œuvre Ruy Blas est un drame romantique en cinq actes, et en vers (alexandrins) où des personnages soumis à un destin fatal tentent vainement d'y échapper. L'action se déroule dans l'Espagne de la fin du XVIIe siècle, sur plusieurs mois. ------------------------------------------------- Acte I - Don Salluste Un salon dans le palais du roi à Madrid. Don Salluste de Bazan médite sur la disgrâce qu'il subit. Il vient d’être exilé de la cour, par la reine d'Espagne

pour la commémoration de la révolution lui confie la réalisation du Cuirassé Potemkine et en 1927, dans Octobre, pour légitimer la révolution bolchevique. À partir de 1929, bien que parfois en désaccord avec Staline, Eisenstein est loyal envers les idéaux du communisme et il réalise à sa demande Alexandre Newsky (1938) et Ivan le Terrible (1945). Il est mort le 11 février 1948 à Moscou. Eisenstein est un cinéaste majeur de l’époque communisme et fut utilisé comme moyen de propagande. Le cuirassé

sujet que tout le monde peut se poser. On s'évade ainsi avec le héros en oubliant son quotidien, de plus, le voyage amène un certain exotisme à la lecture. On le voit avec le personnage de Candide ,du roman éponyme de Voltaire, qui est en quête d'un idéal, de l'eldorado. Bien que ce roman soit complexe et philosophique, on peut tout de même se laisser aller au fil du périple de Candide et des nombreuses choses qu'il découvre. Pour relever de l'extraordinaire, le récit doit mettre en scène des personnages

identiques, découpés en 14 bandes horizontales, autant que de vers, et permettant une combinaison de Cent mille milliards de sonnets différents.) En 1964, il travaille sur une analyse matricielle du langage. En 1970 il quitte le jury Goncourt. Sa femme Janine meurt en 1972, ce qui le laisse inconsolable et le pousse à publier un recueil d’articles intitulé Le Voyage en Grèce en son hommage. Le 25 octobre 1976, il meurt à l’âge de 73 ans. Une station du métro de Paris lui est dédiée. Bibliographie

recueil « les Fleurs du Mal ». A des ensembles qui aspirent vers l’Idéal s’opposent d’autres ensembles, évoquant la Chute, source du mal moral que le poète appelle « Spleen » (ennui, détresse, dépression). La première partie de l’œuvre, « Spleen et Idéal », montre comment le poète veut se guérir de l’Ennui. Il s’adresse à la Poésie, à l’Amour, mais ceux-ci sont impuissants à le guérir. Poursuivant sa quête, Baudelaire se tourne vers d’autres moyens d’évasion : le spectacle de la ville et de ses semblables

première moitié du dix-neuvième siècle mais aussi la deuxième moitié, à travers Napoléon III. George Sand : La première à avoir parlé des paysans dans la littérature. Femme féministe, libre, qui fait d’elle encore à l’heure actuelle une figure controversé. Sa littérature montre le pouvoir, la puissance, l’aura de la femme. Très engagée politiquement. Musset : Son œuvre la plus intéressante est Lorenzaccio. Musset est également un grand poète, très connu pour ses poésies. Il montre l’autodestruction

monde », mais aussi comme une « immonde cité » dans « Moesta et Erranbunda » créant ainsi une notion d’horreur et de morosité. Par ailleurs, la métropole est associée aux Enfers. Dans « Rêve Parisien », durant son sommeil, Baudelaire décrit sa cité idéale, or son réveil transformera la ville Parisienne en un gouffre infernale et ces habitants en âmes damées « jamais œil mortel ne vit », « le ciel versait des ténèbres ». C’est également un espace clos étouffant, « une fourmilière » (Crépuscule du Soir) ; « un

cette particularité de travailler sur l’être humain, sur la vie. Aussi, sera-t-on plus exigeant envers celles-ci, car aucune erreur tant consciente qu’inconsciente n’est permise. La moindre négligence observée de la part du professionnel peut être fatale pour le patient. À cet effet, nous devons méditer devant chaque acte à poser. Nous devons surtout éviter la précipitation dans nos gestes techniques. La nécessité d’insister sur les notions éthiques dans l’exercice de notre profession semble primordiale