Fémur

plus important), la réduction de la face, une mâchoire parabolique, de petites canines; et aussi par la position avancée du trou occipital, le col du fémur plus allongé et formant un angle plus ouvert, la paroi osseuse du col dissymétrique. 2. Orrorin, Toumaï, l'Homme et leur ancêtre commun Orrorin présente des caractères humains : col du fémur allongé, formant un angle ouvert et présentant une paroi dissymétrique et des caractères simiesques : grande canine, adaptation arboricole du membre antérieur

faite de ligaments; 2.membrane synoviale; 3.fémur; 4.col du fémur; 5. tête du fémur; 6. cartilage articulaire; 7. cavité remplie de synovie; 8. os coxal. 1.2. L'arthroplastie est une intervention chirurgicale au cours de laquelle on remplace l'articulation coxo-fémorale défectueuse par une prothèse, c'est une chirurgie réparatrice. Le col du fémur est coupé, la tête fémorale est remplacée et la prothèse est maintenue par une tige insérée dans le fémur. 1.3. Le facteur favorisant de la coxarthros

articulations agissent principalement dans le plan sagittal. Articulation de la hanche L’articulation de la hanche ou articulation coxo-fémorale relie la cuisse au bassin. Elle comprend deux os, le fémur et l’os iliaque. L’articulation coxo-fémorale est une articulation sphérique entre la tête du fémur et l’acétabulum de l’os coxale (aussi appelé cotyle). L’image ci-dessous nous montre l’articulation de la hanche à gauche, ainsi qu’une représentation schématique de l’articulation sphérique à droite

cuisse est composé uniquement du fémur. Le fémur est l'os le plus gros, le plus long et le plus résistant de l'ensemble du corps humain. Il existe des différences entre les hommes et les femmes au niveau de l'angle (l'angle est plus ouvert chez la femme car l'os coxal est plus large que celui de l'homme. Plus le col du fémur est long plus il est fragile mais il facilite la mobilité donc la souplesse). Le fémur. [pic] Le fémur : face antérieure. [pic] Le fémur : face postérieure. [pic] Insertions

scanner avec reconstruction tridimensionnelle : la tête du fémur gauche a basculé vers le bas et en arrière du col du fémur. |   | Quelles sont les conséquences du déplacement de la tête du fémur ? Elles sont de 2 types : vasculaires et mécaniques. Conséquences vasculaires : Le déplacement provoque une étirement des vaisseaux sanguins sur un col déformé vers l’arrière, ce qui risque de provoquer une ischémie grave de la tête du fémur, et dans le pire des cas une destruction importante. Conséquences

l’espace au niveau du bassin. La hanche est l’articulation proximale du membre inférieur, reliant le fémur au bassin. Les mouvements les plus importants se font au niveau de l’articulation ilio-fémorale (ou coxo-fémorale). Sont possibles les flexions/extensions cuisse-tronc dans le plan sagittal, les adductions/abductions dans un plan frontal et les mouvements de rotation autour de l’axe du fémur (externe ou interne). * Flexion La flexion cuisse-tronc peut être active ou passive. Le degré

tiers supérieur de la face médiale du tibia. Rôle : fléchisseur de la hanche et du genou. • • • 6.3. Le muscle semi-tendineux. Origine : tubérosité ischiatique. Trajet : descend verticalement et passe en arrière du condyle médial du fémur. Terminaison : tiers supérieur de la face médiale du tibia. Rôle : extenseur de la cuisse sur le bassin, fléchisseur de la jambe sur la cuisse et rotateur médial de la jambe. 7) Muscles fléchisseurs de la hanche. 7.1. Le psoas iliaque. • •

dos. De profil, le tibia et le fémur sont rectilignes et se prolongent l’un de l’autre chez l’homme alors que chez le singe, le fémur est courbé et le tibia un peu courbé mais pas dans le même axe. Le pied est plat chez le singe alors que chez l’homme on a une voute plantaire. Le pied est plus court et triangulaire chez l’homme. De face, chez l’homme, les genoux rentre donc stabilitié donc par d’efforts particuliers à se tenir debout. De face, chez le singe, le fémur et le tibia sont dans le même

antérieur du grand singe sont plus petit que cher l’homme. De plus on voit que le fémur de l’homme et de l’australopithèque sont courber et donc pas dans l’axe du tibia se qui traduit une bipédie par le faite que cela permet une bonne stabilité, alors que cher le grand singe le fémur est droit donc dans l’axe du tibia se qui ne permet pas une stabilité parfaite lors de la bipédie. On en déduit donc que le faite que les fémur soit courber représente un caractère dérivé de l’homme car il traduise une bipédie

changement du bassin 4. Le fémur (voir livre p. 239 et 254) Le fémur de l’homme, par rapport aux primates, est plus redressé et est plus long. L’articulation de celui-ci avec le bassin permet à l’homme de rester stable et de rester debout. Il comporte également une crête qui maintien la rotule en place (pour pas se déboiter) lorsqu’on marche. Le fémur de l’homme est complètement oblique à cause d’une déformation dû à la pratique de la marche. On voit l’évolution du fémur. A droite c’est celui