Ferdinand III de Habsbourg

Problématique : L’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand (28 Juin 1914), neveu et héritier de l’empereur austro-hongrois François-Joseph, est-elle l’unique cause du déclenchement de la Première Guerre mondiale? La création de nouveaux États, à la suite des traités de paix, donnent-elle lieu à la démocratie ? INTRODUCTION La Première Guerre mondiale est un des évènements les plus marquants de l’histoire du XXe siècle. Qualifiée de « Guerre totale », elle a atteint une intensité encore

historiques, sa propre diète et son autonomie intérieure. Surtout les patriotes restent fidèles à la maison des Habsbourg, qui représentent pour eux la meilleure garantie contre le nationalisme hongrois. Le 25 mars 1848, la Diète siégeant à Zagreb, désigne comme chef de la Croatie le colonel Jellacic. Ce dernier proclame l’indépendance de la Croatie et met à la disposition des Habsbourg les régiments croates de la frontière militaire et cette petite armée joue un rôle non-négligeable dans la défaite

anciennes et bridées A) Revendications nationalistes En Europe centrale : misère et oppression ancienne par des puissances étrangères. Hongrie divisée depuis 1526 en trois morceaux : Buda (turcs), Transylvanie (autonome), Slovaquie et Croatie (Habsbourg d’Autriche), puis en 1711 l’Autriche envahit l’ensemble de la Hongrie et déçoit les premières volontés nationalistes. Pouvoir dans les mains d’une Diète commandée par Vienne, allemand imposé comme langue officielle, pillage organisé des ressources

l'archiduc François-Ferdinand, pense à la création d'un État yougoslave autonome, ce qui ne satisfaisait ni les Hongrois ni les Serbes. La situation s'aggrave en 1908 lorsque l'Autriche-Hongrie annexe la Bosnie-Herzégovine, tout l'équilibre européen est compromis. La Serbie se considère alors menacée et renforce ses alliances avec la Russie et la France. Cette question fut finalement la cause immédiate de la Première Guerre mondiale: après l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand le 28 juin 1914

gestion très certainement idéalisée. PLAN  I La question religieuse 1. Ce que prône Charles Quint 2. Les obstacles II La protection de l’Empire 1. Les relations importantes 2. Les points géostratégiques III Les instructions politiques 1. La France 2. Les Indes I La question religieuse 1. Ce que prône Charles-Quint La dignité impériale telle que la conçoit Charles Quint, a des implications religieuses. Il a très

frontière donc conflits fréquents à cause des frontières. Certains pays ont bénéficié de circonstances politiques favorables et d’une politique hégémonique. A. Les ambitions hégémoniques La famille des HABSBOURG issue de Charles Quint. Il a partagé ses Etats entre son frère et son fils. Son frère, Ferdinand Ier détient le titre impérial et son fils Philippe II le titre de roi d’Espagne en 1556. Ce dernier va reprendre politique de son père mais pas instaurer autorité universelle mais juste imposer hégémonie

guerre Pour l’entrée en guerre, on considère normal d’avoir une déclaration de guerre, c’est-à-dire une sorte de forme de politesse qui dit à l’adversaire que l’on rentre en guerre contre lui. C’est par exemple dans la guerre de 1870 Napoléon III qui déclare la guerre à la Prusse. Dans l’été 1914, les guerres sont déclarées. Dans l’ordre : Autriche vs Serbie, Allemagne vs Russie puis France, Angleterre à l’Allemagne, etc. Pendant longtemps ces codifications fonctionnaient. Idem pour les

Boulogne restreint la liberté de culte concédée aux protestants. 1574: Mort de Charles IX. Conspiration de La Molle et de Coconnat pour évincer Henri d'Anjou (alors roi de Pologne) du trône et faire proclamer son frère cadet François d'Alençon. Mais Henri III devient roi de France. 1576: Paix de Beaulieu, favorable aux protestants. Signature de la « Sainte Union » au Château d'Applincourt, confirmée à Péronne (80). Cette « Ligue » de Péronne rassemble la noblesse ultra-catholique. En Mai, réunion des états

atteint tous les niveaux : une réforme populaire à une réforme des princes. Ces réformes arrivent par un affaiblissement du pouvoir impérial :Charles Quint est en Espagne pour mater les Communeros et le Conseil de Régence est dirigé par le jeune Ferdinand dépassé par les 23 membres et leurs désirs d’autonomie. Ainsi Charles Quint est face à une réforme qu’il ne peut régler et cette situation montre bien en quoi la réforme religieuse devient une réforme politique dans l’empire de Charles Quint. Aussi

fin de la IIe République. Le Second Empire (1852-1870) Le 2 décembre 1852, avec l’aval du suffrage universel, Louis-Napoléon Bonaparte est proclamé Empereur des Français sous le nom de Napoléon III (le deuxième du nom est supposé être le fils de Napoléon 1er, mort en pleine jeunesse à Vienne). Napoléon III s’engage dans une politique de prestige tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. L'empereur prend lui-même en main la politique économique et sociale du gouvernement et participe dès 1852 à la création