Fête des Fous

Un amateur du jardinage, Demi-bourgeois, demi-manant, Possédait en certain Village Un jardin assez propre, et le clos attenant. Il avait de plant vif fermé cette étendue. Là croissait à plaisir l'oseille et la laitue, De quoi faire à Margot pour sa fête un bouquet, Peu de jasmin d'Espagne, et force serpolet. Cette félicité par un Lièvre troublée Fit qu'au Seigneur du Bourg notre homme se plaignit. "Ce maudit animal vient prendre sa goulée Soir et matin, dit-il, et des pièges se rit ; Les pierres,

56120 JOSSELIN 02 97 73 96 15 -> adec56@orange.fr -> www.adec56.org - Théâtre amateur. 27ème édition Du 12 au 16 mai 2010 Cirque, arts de la rue, médiéval Fête des Remparts de Dinan Comité de la fête des remparts de Dinan Bd André-Aubert - La Source 22100 DINAN 02 96 87 14 61 ->remparts.dinan@ wanadoo.fr ->www.fete-rempartsdinan.com - Fête médiévale. Les 24 et 25 juillet 2010 (Tous les 2 ans) Contes Festival Marionnet’ic Office du tourisme Av. du Général De Gaulle 22520 BINIC 02 96 73 60 12

les lumières de ce soleil. Une immense, universelle moquerie. Je n’avais que vingt ans d’âge à ce moment-là. Fermes désertes au loin, des églises vides et ouvertes, comme si les paysans étaient partis de ces hameaux pour la journée, tous, pour une fête à l’autre bout du canton, et qu’ils nous eussent laissé en confiance tout ce qu’ils possédaient, leur campagne, les charrettes, brancards en l’air, leurs champs, leurs enclos, la route, les arbres et même les vaches, un chien avec sa chaîne, tout quoi

Quoi qu’en disent les Pères, certains chrétiens dont quelques ecclésiastiques dansent. Des exemples sont existants comme la ronde des clercs. Les danses cléricales étaient attestées au Moyen Age, par exemple à la fin de l’année à l’occasion de la fête des fous ils dansaient. Nous savons aussi que le jour de la Pâques les chanoines de la cathédrale d’Auxerre exécutée une danse appelée la « Pelota ». Cette danse représentée un labyrinthe qui était le symbole de la montée et la descente initiatique (entre

jamais ;mais au fond de ses yeux, quand elle vous y laisse boire,tremble un doux lys d'argent, la fleur du poète.Elle est douce et muette, sans aucun reproche,avec un long tressaillement à votre approche ;mais quand moi je lui viens, de-ci, de-là, de fête,elle fait un pas, puis ferme les yeuxet fait un pas.Car elle est mon amour, et les autres femmesn'ont que des robes d'or sur de grands corps de flammes,ma pauvre amie est si esseulée,elle est toute nue, n'a pas de corpselle est trop pauvre.Elle n'est

beaucoup de choses. Par exemple, que les euchites, passaient la plupart de leur temps à ne rien faire et s’ils faisaient quelque chose, c’était la fête et la consommation de drogue. Amusant non ? Il nous explique que tous ces philosophes font partis d’une forme de cynisme, c'est-à-dire « enseigner tout en distrayant ». Et à leur époque, ils étaient pris pour des fous que l’on souhaitait détruire, notamment Diogène. Pour les autres philosophes, leurs pensées n’existaient pas. Et Michel Onfray l’a bien compris

paroisses se multiplient au cours du M-A au XIIe siècle suite à l’essor démographique. Eglise Cimetière Espace habité Espace agricole espace non cultivé. L’Eglise est un lieu central de la paroisse, l’endroit où payer la dîme, espace de réunion, de fête, de marché, centre d’info’. Le cimetière se généralise à partir du IXe siècle et devient le seul lieu de sépulture chrétienne. A l’époque, ce cimetière vise à créer un lien entre les vivants et les morts. Il est situé au centre du village et est un

les lumières de ce soleil. Une immense, universelle moquerie. Je n’avais que vingt ans d’âge à ce moment-là. Fermes désertes au loin, des églises vides et ouvertes, comme si les paysans étaient partis de ces hameaux pour la journée, tous, pour une fête à l’autre bout du canton, et qu’ils nous eussent laissé en confiance tout ce qu’ils possédaient, leur campagne, les charrettes, brancards en l’air, leurs champs, leurs enclos, la route, les arbres et même les vaches, un chien avec sa chaîne, tout quoi

qu'il est seul à pouvoir se comprendre et s'aimer comme il le souhaite. Cela justifie tous les narcissismes et tous les désespoirs. Parade (p. 97). On est ahuri, secoué, concassé dans cette foire sinistre, sorte de caricature de la ville, de la fête, du pouvoir, de la truanderie. Pour stigmatiser le vice sous toutes ses formes, Rimbaud a recours aux pires grimaces, aux incongruités les plus repoussantes, aux cruautés les plus atroces. Voilà un poème de compensation, où Rimbaud se défoule en déversant

était, dit des choses pareilles : Il jugea qu’à son appétit Dame Baleine était trop grosse. Dame Fourmi trouva le Ciron trop petit, Se croyant, pour elle, un colosse. Jupin les renvoya s’étant censurés tous, Du reste contents d’eux. Mais parmi les plus fous Notre espèce excella ; car tout ce que nous sommes, Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous, Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes : On se voit d’un autre œil qu’on ne voit son prochain. Le fabricateur souverain Nous créa besaciers