Fête des lanternes

Analyse du poème : A. De Musset a écrit ce poème sur Madrid car c’est une ville qu’il apprécie. Composé en sept sizains avec une rime et ensuite une rime embrassée (AABCCB). Les principaux thèmes de ce poème sont la ville (v.1et4), la fête (v.7et8), la nuit (v.10). La comparaison et l’opposition sont les deux figures de style principales (jaune= orange) et (vrai démon! ange). Les vers sont tous des octosyllabes. Lorsque l’on pense à l’Espagne, on pense aux taureaux et aux

parlait du temple de son corps. 22. C’est pourquoi, lorsqu’il fut ressuscité des morts, ses disciples se souvinrent qu’il avait dit cela, et ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite. 23. Pendant que Jésus était à Jérusalem, à la fête de Pâque, plusieurs crurent en son nom, voyant les miracles qu’il faisait. 24. Mais Jésus ne se fiait point à eux, parce qu’il les connaissait tous, 25. et parce qu’il n’avait pas besoin qu’on lui rendît témoignage d’aucun homme ; car il savait

ce cœur qui, à lui seul, est la source de tout, de toute force, de toute joie et de toute misère. Ah, ce que je sais, tout le monde peut le savoir — mais mon cœur, je suis seul à l’avoir ! »8. Aussi un monde sans amour est-il comparable à une « lanterne magique sans lumière »9. Depuis qu’il aime Lotte, tout est transformé. Le temps et l’espace ont disparu, Lotte est l’unique objet de ses pensées, de ses sentiments et de ses rêves. Il a l’impression d’atteindre l’absolu. Mais cette exclusivité du

Véfour chez qui vous dînez, déterrant çà et là une croûte de pain dans un tas d'ordures et l'essuyant avant de la manger, grattant tout le jour le ruisseau avec un clou pour y trouver un liard, n'ayant d'autre amusement que le spectacle gratis de la fête du roi et les exécutions en Grève, cet autre spectacle gratis ; pauvres diables, que la faim pousse au vol, et le vol au reste ; enfants déshérités d'une société marâtre, que la maison de force prend à douze ans, le bagne à dix-huit, l'échafaud à

par vaux. Il vint en personne voir Meng Djang et lorsqu’il s’aperçût de sa beauté, il lui demanda de devenir l’impératrice. Meng Djang savait qu’elle ne pouvait résister à la volonté de l’empereur. Elle posa diverses conditions pour cette union : une fête des morts de quarante-neuf jours devait être célébrée à la mémoire de son époux, l’empereur et les tous les fonctionnaires devaient prendre part aux funérailles, une terrasse devait être construite sur les rives du fleuve car elle voulait offrir les

la nuit et devient immense. L’arrêt dura bien deux heures. Les disques flambaient rouges, le mécanicien attendait qu’ils tournassent. Ils redevinrent blancs ; nous remontons dans les wagons, mais un homme qui arrive en courant et en agitant une lanterne, dit quelques mots au conducteur qui recule tout de suite jusqu’à une voie de garage où nous reprenons notre immobilité. Nous ne savions, ni les uns ni les autres, où nous étions. Je redescends de voiture et, assis sur un talus, je grignotais un

Véfour chez qui vous dînez, déterrant çà et là une croûte de pain dans un tas d’ordures et l’essuyant avant de la manger, graant tout le jour le ruisseau avec un clou pour y trouver un liard, n’ayant d’autre amusement que le spectacle gratis de la fête du roi et les exécutions en Grève, cet autre spectacle gratis ; pauvres diables, que la faim pousse au vol, et le vol au reste ; enfants déshérités d’une société marâtre, que la maison de force prend à douze ans, le bagne à dix-huit, l’échafaud

l’auditeur.Les doigts rouges est un livre intéressant de part sa double fin, de l’atmosphère de peur qu’il dégage et de la double interprétation qui peut être faite de chaque évènement.MiNi Il avanca jusqu’a la fenétre et entrouvrit les volets. La lanterne située au-dessus du portail dentrée était allumée et répandait son fais- ceau sur la courette et une partie du jardin. Ce que vit Ricky le terrifia: Georges et Sophie, arc-boutés a chaque extrémité d’un grand sac en plastique noir, tiraient ce lourd

babiller plus à l’aise, pour se dire tout bas les mystérieuses amours des corolles. Un souffle de vie courait au fond des taillis ténébreux, donnant une voix à chaque brin de mousse dans les ineffables concerts de l’aurore et du crépuscule.C’était la fête immense du feuillage.Les bêtes à bon Dieu, les scarabées, les libellules, les papillons, tous les beaux amoureux des haies fleuries, se donnaient rendez-vous aux quatre coins du bois. Ils y avaient établi leur petite république ; les sentiers étaient

babiller plus à l’aise, pour se dire tout bas les mystérieuses amours des corolles. Un souffle de vie courait au fond des taillis ténébreux, donnant une voix à chaque brin de mousse dans les ineffables concerts de l’aurore et du crépuscule.C’était la fête immense du feuillage.Les bêtes à bon Dieu, les scarabées, les libellules, les papillons, tous les beaux amoureux des haies fleuries, se donnaient rendez-vous aux quatre coins du bois. Ils y avaient établi leur petite république ; les sentiers étaient