Fête des lanternes

extraordinaire étranger ? – J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages ! » II. LE DÉSESPOIR DE LA VIEILLE La petite vieille ratatinée se sentit toute réjouie en voyant ce joli enfant à qui chacun faisait fête, à qui tout le monde voulait plaire ; ce joli être, si fragile comme elle, la petite vieille, et, comme elle aussi, sans dents et sans cheveux. Et elle s’approcha de lui, voulant lui faire des risettes et des mines agréables. Mais l’enfant épouvanté

L'homme à la main sanglante, à la robe écarlate ! ROCHEBARON À quoi donc sert le roi ? BRICHANTEAU Les peuples dans la nuit Vont marchant, l'œil fixé sur un flambeau qui luit. Il est le flambeau, lui. Le roi, c'est la lanterne Qui le sauve du vent sous sa vitre un peu terne. BOUCHAVANNES Oh ! puissions-nous un jour, et ce jour sera beau, Du vent de notre épée éteindre ce flambeau ! ROCHEBARON Ah! si chacun pensait comme moi sur son compte !... BRICHANTEAU Nous nous

extraordinaire étranger? - J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages!" II. Le Désespoir de la vieille La petite vieille ratatinée se sentit toute réjouie en voyant ce joli enfant à qui chacun faisait fête, à qui tout le monde voulait plaire; ce joli être, si fragile comme elle, la petite vieille, et, comme elle aussi, sans dents et sans cheveux. Et elle s'approcha de lui, voulant lui faire des risettes et des mines agréables. Mais l'enfant épouvanté

est constitué de lamelles de bois inclinées qui contribuent à faire de la chambre des cloches une caisse de résonance et à diffuser leur son vers le sol, La flèche traduit avec élégance l'élan vers le ciel, La lanterne sert d'aération, éventuellement d'éclairage, La console supporte tous ces éléments décoratifs, Le membron est une armature métallique qui ceinture certains dômes au niveau où les courbes s'inversent. Un clocher se compose : - d'un porche:

Remerciant la vie, d’être en elle Je la remercie d’être en moi. Changeante, je te retrouve sans cesse Tes disparitions ne sont qu’étapes Pour me mener vers le Mont. Le mot : Merci résonne dans la caverne L’heure sonne, tu m’offres une céleste lanterne. Endormi, le réveil s'amorce Cicatrisé de la morsure de la veille Il part à cheval, seul, pour où ? Sa peau rougie par le soleil Est en harmonie avec ses yeux Peureux ? Il ne l'est plus depuis qu'il a compris l'infinité des cieux "Si eux

besoin d’aller au cinéma, pour ne pas oublier que malgré tout l’amour peut parfois surgir là où on ne l’attend pas. Et qu’il arrive même que les contes de fée deviennent réalité. Bisous, bisous. Gossip girl... On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l’amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu’on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l’accident, on prend trop de coke, on frôle l’overdose. Ça fait peur aux parents

en matinée la tranquillité est assurée. Blottissez-vous confortablement sous Ie ciel étoilé, et songez à toutes les stars qui se sont produites icL Le décor à lui seul est une invitation au voyage. Quand tout s'éteint, les scènes projetées par la lanterne magique envoûtent les amoureux. La réalité s'évanouit, on entre dans la fiction, un baiser hollywoodien s'impose ... 9 ~CARTE DU TENDRE "1 Ancienne voie de la marée, dans Ie prolongement de la rue Poissonnière, la rue a des relents des

.................................................144 I - LA POURSUITE........................................................................145 II - NOUVELLES............................................................................160 III - LA FÊTE D'ILUCHA..............................................................164 IV - L'EXIL.....................................................................................174 V - FOMA FOMITCH ARRANGE LE BONHEUR GÉNÉRAL .............................

LA FERME DES ANIMAUX (1945) I Le propriétaire de la Ferme du Manoir, Mr. Jones, avait poussé le verrou des poulaillers, mais il était bien trop saoul pour s’être rappelé d’abattre les trappes. S’éclairant de gauche et de droite avec sa lanterne, c’est en titubant qu’il traversa la cour. Il entreprit de se déchausser, donnant du pied contre la porte de la cuisine, tira au tonneau un dernier verre de bière et se hissa dans le lit où était Mrs Jones déjà en train de ronfler. Dès que fut

nouveauté   me   submerger.   Je   me   sentis   soudain   comme  un  enfant  en  extase  devant  une  vitrine  de  jouets.   La  ville  était  illuminée  de  centaines  de  lanternes  de  soie  rouge  qui  dominaient  le  ciel  étoilé,   le  tout  baigné  dans  la  tiedeur  adoucissante  de  la  nuit.   Les  bâtiments  coloniaux  et  somptueux  reflétaient