Fetes Galantes

ciel, et grand, l’espoir !- L’espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. Tels ils marchaient dans les avoines folles,Et la nuit seule entendit leurs paroles. Paul Verlaine, Fêtes galantes Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Le recueil de poèmes les Fêtes galantes, de Verlaine, s'achève avec le " Colloque sentimental " et la fête devient danse macabre. Le poète qui refuse l'idéalisation du souvenir amoureux met en scène deux silhouettes

Celui-ci contrefait la grâce De ton oreille, et celui-là Ta nuque rose, courte et grasse ; Mais un, entre autres, me troubla. Paul Verlaine, Fêtes galantes, 1869 La Terza Rima : Cette forme de poème d’origine italienne, est composé de tercets dont le nombre n’est pas déterminé. Le premier

I - La peinture au XVIIIème siècle La peinture se tourne vers les « fêtes galantes », les décors de théâtre et le nu féminin. Les peintres de cette période adoptent un style plus léger avec des couleurs pastels, moins de dorure et moins de brocarts, coquillages, guirlandes.. Quelques peintres : Certains des plus grands peintres du siècle sont des portraitistes comme Maurice Quentin de La Tour, Elisabeth Vigée-Lebrun et Thomas Gainsborough ou des spécialistes

E. de Nerval : Aurélia, Sylvie Madame de Staël : De l’Allemagne, de la littérature XIXe siècles Naissance de la poésie moderne Les symbolistes thèatre Baudelaire : les du mal, le Spleen de Paris Verlaine : Romancier sans paroles, Fêtes galantes. Rimbaud : une Saison en enfer ; Illumination… Mallarmé : poésia, un coup de dés n’abolira jamais le hasard, le pari Jules Laforgue : les complaintes, Villiers de l’Isle- Adam, contes cruels Feydeau Georges Alfred Jarry : Ubu roi

à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau,
Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres
Et sangloter d'extase les jets d'eau,
Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.
 Paul Verlaine, Fêtes galantes

au roi est assez étrange. Puget rééditera l'audace, avec son bas-relief Alexandre et Diogène, qui se trouve au Louvre. * ‘‘ Les plaisirs du Bal ’’ par Watteau Contexte historique : Les Plaisirs du bal évoquent ces représentations de fêtes galantes dont Watteau est plus ou moins le créateur, donnant une tonalité particulière à la peinture du XVIIIe siècle. Esthétique : Les Plaisirs du bal regroupent dans une architecture scénographique une cinquantaine de figures, parmi lesquelles

l'Hotel de Bourgogne). Les détracteurs ne cessèrent pas leurs attaques pour autant, mais Molière jouissait de la protection du roi et recevait régulièrement de lui des commandes pour les fêtes de la cour, en particulier les grandes fêtes dites des Plaisirs de l'le enchantée, pour lesquelles Molière écrivit une comédie galante, la Princesse d'élide, dont Jean-Baptiste Lully signa la musique. Tartuffe et Dom Juan En 1664, une première version du Tartuffe ou l'Imposteur, pièce qui met en scène un personnage

en particulier Chanson d'automne, que Radio Londres rendra célèbre). On y sent l’influence de Baudelaire, cependant que s’y annonce déjà l’« effort vers l’Expression, vers la Sensation rendue » qui caractérise sa meilleure poésie. En 1869, les Fêtes galantes, des fantaisies évoquant le XVIIIe siècle de Watteau, confirment cette orientation. En 1870, il épouse Mathilde Mauté, à laquelle il vient de dédicacer La Bonne Chanson. La France déclare la guerre à la Prusse, Paris est assiégé, le second

poètes» et se voit doté d'une pension. Cela ne l'empêche pas de tomber dans la misère la plus totale. Il meurt en 1896 à Paris. Mes prisons Paul Verlaine en proie à la misère et à la pauvreté, tel est le lot du célèbre poète français. L'auteur des Fêtes galantes et des Romances sans paroles se trouve acculé au pied du mur. Malade et sans le sou, Paul Verlaine trouve refuge en prison. Sa route le conduit là: entre quatre murs et derrière les barreaux. Il a trente ans. Alcoolique, son tempérament fougueux

renonce à ses études et travaille tout d’abord pour une compagnie d’assurances et ensuite comme expéditionnaire à l’Hôtel de Ville de Paris. À l’âge de vingt-deux ans, il publie à compte d’auteur les Poèmes saturniens (1866) et, en 1869, Fêtes galantes. À l’âge de vingt-cinq ans il rencontre Mathilde Mauté âgée elle de seize ans, lors d’un séjour à Fampoux. Durant cette période il s’enivre régulièrement et tente même, par deux fois, de tuer sa mère. En juillet, il demande la main de Mathilde