Fetes Galantes

romans, de feuilletons, mais surtout de nombreuses pièces de théâtre. Avec le marivaudage, l'écrivain a révolutionné l'approche de la comédie au théâtre. Son nom a d'ailleurs donné naissance au verbe « marivauder », qui signifie échanger des propos galants et d'une grande finesse, afin de séduire quelqu'un. De même, le dramaturge a beaucoup exploité les ressorts du mensonge, des jeux de masques entre les personnages, avec une telle subtilité que Voltaire écrira : « Il pèse des œufs de mouche dans une

ans de prison. En 1896 Verlaine meurt d’une congestion pulmonaire. Production poétique Dans toutes les oeuvres de Verlaine le thème central est la souffrance. Le vrai Verlaine apparaît avec sa sensualité, sa tendresse et sa mélancolie. Dans « Fêtes galantes » il s’inspire aux plaisirs d’une société frivole. Dans « La Bonne Chanson » il y a un caractère beaucoup plus personnel. Dans « Romances sans paroles » beaucoup de poème ressentent d’une influence de Rimbaud, auquel Verlaine emprunte des thèmes

nous livre ici la violence de son état d’âme, il projette son pessimisme et son mal de vivre le plus total. Angoisse, désespoir, accablement. On peut aimer la sombre beauté de ce tableau ou préférer les pastels des Fêtes Galantes où il recrée à partir des tableaux de Watteau, les fêtes et les plaisirs des aristocrates de l’Ancien Régime.

poétique. Intégralité du roman. Chronologie (p. 295-303).Le Grand Meaulnes au cinéma (J.-G. Albicocco, 1967, J.-D. Verhaeghe, 2006). Séance 6 Séance 7 Séance 5 Lecture analytique no 2. Lecture d’image. Une scène de première rencontre. La fête galante : de Watteau à Alain-Fournier. La rencontre d’Yvonne de Galais (I, XV, p. 72-75, de « Désœuvré, le promeneur... » à « Adieu »). Watteau, Pèlerinage à Cythère, 1717, et l’« aventure » (I, VIII à XVII, p. 43-88). ` la recherche du sentier perdu » «A

écrivait de belles choses, qui jouait du piano? La même année, il publia : ____________________________________________________________ _____________________ “Fêtes galantes” (1869) Recueil de poèmes Commentaire Dans ces poèmes, la plupart adressés à Mathilde Mauté, Verlaine s’inspirait des peintres de fêtes galantes du XVIIIe siècle (Fragonard, Lancret, Watteau) dont il chercha à dégager le sens caché et dont il fit des transpositions musicales à la grâce quintessenciée, frivole

notamment lorsque saint Simon mentionne « les fêtes fréquentes » (ligne 1). En effet, autour d’un roi-Apollon mi homme, mi dieu, les réjouissances s’organisent et les premières fêtes de Versailles en 1682 suscitent l’admiration générale. Les artifices y étaient nombreux et les divertissements, tels que la danse ou l’opéra, aussi variés que possible. Les fêtes de la Cour, une fois la perfection atteinte, se figèrent. La vie de cour rythmée par les fêtes d’appartements, ne fut plus qu’une répétition

souverains forts, despotiques parfois, rétablissent l’obéissance dans le royaume, proscrivant la féodalité et les guerres privées. L’insécurité et la peur s’atténuent, une nouvelle joie de vivre leur fait place. Les plus favorisées s’adonnent aux fêtes galantes, remplacent donjons et châteaux forts par d’élégantes demeures décorées « à l’italienne ». C’est la Renaissance et la splendeur des châteaux de la Loire. Les grandes inventions fleurissent : imprimerie, boussole, gouvernail et cartes. Les explorateurs

souffle du vent rappelle celui de l'étreinte amoureuse. On sait pourtant que Verlaine est d'avantage amoureux de son rêve que de la personne qui l'a suscité. Dans le compagnonnage il ne voit qu'un papillonnement insincère. Dans d'autres poèmes des fêtes galantes c'est derrière la face effarée du Pierrot qu'il nous montrera tout son désenchantement. Conclusion Comme Baudelaire avec la beauté, cette fleur du mal, Verlaine reprend le même exercice avec l'amour. En reprenant dans le titre l'expression péjorative

droit. Il part comme secrétaire d'ambassade à la Haye. L'ambassadeur le renvoie à Paris. En 1714, son parrain, l’abbé de Châteauneuf, l'introduit dans les milieux mondains et libertins parisiens. Il vole de château en château et anime les dîners galants. En 1716, ses écrits satiriques sur les amours incestueux du Régent font scandale. Ce mélange d'insolence et d’inconscience lui vaudra d’être emprisonné onze mois à la Bastille (mai 1717 à avril 1718). En 1718, dès sa sortie de prison, le jeune

s’impose dans ce poème. I-La figure d’arlequin Apollinaire récupère cette figure de la commedia dell’arte. Il fait partie aussi du carnaval mais aussi un personnage qui a inspiré Molière et de nombreux poètes notamment Verlaine avec « les fêtes galantes ». 1-Un personnage central Arlequin est mis au centre du poème, il apparaît dans la 3ème strophe qui est la strophe centrale du poème. Il est au centre du spectacle,du regard. Dans la strophe 1, il apparaît déjà sous forme féminine. Dans