Feu bactérien

Mais son pied se prit dans une racine et il tomba. Quand il se releva, un peu étourdit, les deux loups étaient là, juste devant lui. Alors, il prit le pistolet et visa … La légende était donc vrai, l'argent aidait à tuer les loups garous. Le coup de feu qui tua l'un rendit l'autre fou de rage ! Ses grands yeux rouge sang se plantèrent dans ceux de Jack, puis, en une fraction de secondes, le loup se jeta sur lui ! Alors que Jack faisait tout pour le repousser, il sentit ses crocs se planter dans son

une sorte d’apparition : « lueur blanche » (l.1) ; « éclatante » (l.1) ; « lumières » (l.5) ; « yeux luisants, elle rayonnait » (l.6) ; « s'éclairer » (l.8) ; → On relève le terme de « vierge » l. 14 qui vient faire écho à ce champ lexical. * du feu : opposition avec la lumière. Rappel de Satan (les flammes de l’enfer) mais aussi les flammes de la passion. * de la passion, de l’adultère : « courtisane » l. 10 ; « la volupté » l. 10 → image de Thérèse oscille entre celle de la vierge et celle de

: ce sera Ralph. Cette élection crée une tension entre Ralph et Jack, un autre grand qui à tendance à être particulièrement agressif (il déteste d’ailleurs Piggy !), car ils ont une vision totalement différente de la situation : Ralph veut faire un feu sur la montagne (grâce aux lunettes à triple épaisseur de Piggy !) pour faire de la fumée et donc se faire remarquer par les éventuels bateaux passant à proximité de l’étrange île, tandis que Jack ne pense qu’à une chose : prendre du bon temps et chasser

pour nous abriter un peu contre le vent terrible qui précède le jour, ce vent chargé de froid qui déchire la chair comme des scies, la coupe comme des lames, la pique comme des aiguillons empoisonnés, la tord comme des tenailles, et la brûle comme du feu. Mon cousin se frottait les mains: "Je n'ai jamais vu une gelée pareille disait-il, nous avions déjà douze degrés sous zéro à six heures du soir." J'allai me jeter sur mon lit aussitôt après le repas, et je m'endormis à la lueur d'une grande flamme

Dossier Histoire des Arts, La première guerre mondiale mise en scène par les écrivains et les dessinateurs. Texte 1 : extrait de Le feu, journal d'une escouade, Henri Barbusse « Plus jamais ça », une dénonciation de la guerre. La visée (=le but) de ce texte est bien entendu la dénonciation de la guerre. Pour cela, il utilise différents champs lexicaux : celui de l'audition : « détonations épouvantables, monstrueusement retentissante, strident fracas, averses de tonnerre, effroyable rideau

dragon chinois, et quand vous inspirez ce dragon, qu'il parcourt vos veines, vous vous sentez mieux que n'importe qui au monde. Vous vous sentez mieux que Churchill qui vient de remporter la guerre, que l'homme des cavernes qui vient de découvrir le feu, vous vous sentez comme Roméo qui met enfin Juliette dans son lit. » « J'avais essayé d'arrêter une demi-douzaine de fois, mais jamais je n'avais eu peur. Je veux dire, on prenait tout le temps des risques, ça c'est obligé. On avait tous peur de l'overdose

série de règles établies par Néron : les édifices ne pourront avoir des murs mitoyens ; certaines parties devront être construites en pierre de Gabies ou d'Albe2, considérées comme réfractaires au feu. Les propriétaires devront en outre prendre toute disposition pour que les moyens de lutte contre le feu soient disponibles. Néron réprima l'usage abusif de l'eau par les particuliers afin d'assurer un meilleur débit de l'eau distribuée par les aqueducs. L'empereur aurait fait évacuer les décombres en

part à nous, lecteur. Ernest, le narrateur, raconte les aventures de sa famille et en particulier de son père Édouard, féru de sciences et pétri d'idées généreuses. Pour échapper aux prédateurs de l'Afrique orientale, Édouard invente successivement le feu, les pointes durcies à la flamme, l'exogamie (définissant le mariage avec deux personnes ne faisant pas partie de la même famille) et l'arc. Seul l'« oncle Vania » voit cette débauche de progrès d'un mauvais œil et ne se prive pas de critiquer Édouard

aperçut comme un cercle de feu sur le haut de la couverture de la Grand’Salle ; peu après, des coristes et quelques voisins aperçurent ce cercle qui s’agrandissait, atteignant la grosseur d’un tonneau. On heurtait aux portes de la salle, mais ni le Concierge, ni les domestiques n’entendirent les appels. Une demi-heure se passa avant que l’on se décida à enfoncer la porte, ils entrèrent dans la petite salle et de là dans la grande ; ils virent le feu au haut des combles. Le feu faisait de rapides progrès

bateaux pour se rendre en Grèce. Arriver a leur destination Spikus a eu plan. Celui-ci : tout le monde dormait alors j’ai dit que nous allions mettre le feu a l’arrière du château et nous rentrerions par les tours. Pas de bruit et dépêchez vous ! plus qu’on approchait plus que j’avais peur de me faire voir. Comme j’avais dit, nous sommes aller mettre le feu a l’arrière. Mais il y avait quelques archers qui étaient situés sur le gros pont alors on a dû les contourner. Je suis rentré tout seul dans la tour