Feu du soleil

pour la terre, la pierre, les rochers… le gris aussi pour la couleur de la nuit, de la lune et un marron qui pourrait aussi faire penser à de la terre cuite, de la poterie et pour finir, le jaune, beige, presque orange, pour la lumière, le feu, le soleil… Ces teintes sont de plus en plus claires vers le centre, c’est pourquoi il y a comme un esprit sacré, religieux et puis surtout musical. Je m’imagine que le sombre tout autour représente un passage noir, obscur, mais avec

pôle observé, mesuré, Revenez aux Français apporter des nouvelles. Cependant je vous attendrai, Tranquille admirateur de votre astronomie, Sous mon méridien, dans les champs de Cirey, N’observant désormais que l’astre d’Émilie. Échauffé par le feu de son puissant génie, Et par sa lumière éclairé, Sur ma lyre je chanterai Son âme universelle autant qu’elle est unique ; Et j’atteste les cieux, mesurés par vos mains, Que j’abandonnerais pour ses charmes divins L’équateur et le pôle arctique

leur enfance, les jambes et la nuque pris dans des liens qui les obligent à rester sur place et à ne regarder que vers l’avant, incapables qu’ils sont, à cause du lien, de tourner la tête ; leur parvient la lumière d’un feu qui brûle en haut et au loin, derrière eux ; et entre le feu et les hommes enchaînés, une route dans la hauteur, le long de laquelle voici qu’un muret a été élevé, de la même façon que les démonstrateurs de marionnettes disposent de cloisons qui les séparent des gens ; c’est par-dessus

personnage. Comme en témoigne le champ lexical des sensations. B. Le champ lexical des sensations. Le narrateur personnage précise à l’extrême tous les phénomènes qui l’entourent : « une plage vibrante se pressait derrière moi », « la brûlure du soleil gagnait mes joues », « j’ai senti des gouttes de sueur s’amasser dans mes sourcils » « son image dansait devant mes yeux », « le front surtout me faisait mal ». On remarque que le toucher et la vue sont les deux sens sollicités, que le sujet est à

une personnification... ( ! à nuancer, car il est peut-être issu des rééditions) _"la mer" "le soleil" > métaphores . fusion d'éléments contraires = nouvelle réalité _"allée" > personnification. forme passive / supprime le "qui est [allée]" > plus directe, suppression de l'écran entre le réél et la façon de le décrire, créant une nouvelle réalité (l'alchimie du verbe) _"la mer" = eau / "soleil" = feu > éléments primitifs > rappelle la mythologie, voire la création d'un monde? -2ème strophe;

de conflit entre eau et feu. Lui correspondent tous les symboles de la lumière- : la troisième séparation a lieu entre zénith et nadir. Au-dessus de la fertilité végétale et de l’âme lunaire et aquatique se différencie le symbolisme de l’esprit et de la lumière-illumination. Ce symbolisme oppose les images ascensionnelles de l’air et du vent aux images de la pesanteur de la terre. Au soleil terrestre et à ses cycles de fécondation se sur ordonne la permanence du soleil céleste, porteur de la clarté

distinguer trois mouvements. Tout d'abord, la première strophe révèle l'opposition entre le monde des hommes et les aspirations vaines du poète. Puis, les strophes 2 et 3, des vers 5 à 12, soulignent le caractère inaccessible du Beau, assimilé au soleil. Enfin, dans la dernière strophe, Baudelaire engage une réflexion sur la postérité et constate le double échec du poète.1er MVT: « Les amants des prostituées / Sont heureux, dispos et repus » - Le poème s'ouvre sur une évocation des plaisirs charnels

nouveau les deux Arabes. En quoi ce passage est-il révélateur de l’absurdité et provoque ensuite la chute de Meursault ? Pour réponde à cette question nous allons parler du rôle du soleil omniprésent dans le texte, ensuite pourquoi cet extrait est tragique et pour finir la prise de conscience de l’absurde. Le Soleil est omniprésent dans cet extrait mais aussi dans tout le roman. On peut constater dans cet extrait qu’il apparait déjà à la première phrase et en tout cinq fois. Il est très présent

contact de la nature. _ « Pourvu qu'ils me laissent le temps Il sautait a travers les herbes Il a cueilli deux feuilles jaunes Gorgées de sève et de soleil »_ L’évadé voit sa nouvelle vie qui commence en jaune. De ce fait, lorsqu’il saute à travers les herbes, il cueille « deux feuilles jaunes gorgées de sève et de soleil ». Le soleil et la sève sont également de couleur jaune, couleur associée à la joie, à la bonne humeur. Ce procédé crée un effet de chaleur qui embellit ainsi le paysage

triomphait », « toute une plage vibrante de soleil se pressait derrière moi. », « s'opposait », « s'appuyait », « respiration », « haletait ». (La mer est elle-même prise par la chaleur.) Cette personnification renforce l'idée que Meursault est sous l'influence de quelqu'un. La personnification peut être complétée par le terme « épée de lumière » comme il concerne l'armement. On constate aussi la présence d'une hyperbole « air enflammé » qui montre à quel point, le soleil le brûle. Lorsqu'il aperçoit l'Arabe