Figure Maternelle De Madame Rosa

face à la vie “et pour Banania, Madame Rosa”, “Les crises, c'est ça” → reprise par le pronom → ordre de mots familier “Maryse, qui était amoureuse de moi […] et puis elle me refilait le prix de la passe” “ profiter de Banania pour chaparder ” “je le pincais pour qu'il gueule […] pendant ce temps je fauchais des choses utiles à manger”→ relation cause – but → montre les astuces d'un enfant débrouillard, du picaro qui est très perspicace. c. L'amour matérnel “c'est très dûr pour une vielle femme

bien on causait sérieusement avec Madame, que tout le monde respectait. Puis on rentrait se coucher avant minuit. Les jeunes gens quelquefois restaient. La maison était familiale, toute petite, peinte en jaune, à l’encoignure d’une rue derrière l’église Saint-Étienne ; et, par les fenêtres, on apercevait le bassin plein de navires qu’on déchargeait, le grand marais salant appelé “Retenue” et, derrière, la côte de la Vierge avec sa vieille chapelle toute grise. Madame, issue d’une bonne famille de paysans

d’injustices et de persécutions présentes et passées. Dans La Vie devant soi, le personnage principal et narrateur, Momo, fils d’Aïcha et de son souteneur, Youssef Kadir, est mis en nourrice chez la vieille Madame Rosa, juive et ex-prostituée. Momo écrit ce récit, vers l’âge de 14 ans, après la mort de Madame Rosa, pour ses parents d’adoption, parisiens, blancs, bourgeois émus par le bagout et le besoin d’amour de Momo. Ils sont en quelque sorte l’image en miroir du lecteur, qui va être aussi surpris qu’eux

on causait sérieusement avec Madame, que tout le monde respectait. Puis on rentrait se coucher avant minuit. Les jeunes gens quelquefois restaient. La maison était familiale, toute petite, peinte en jaune, à l’encoignure d’une rue derrière l’église Saint-Étienne ; et, par les fenêtres, on apercevait le bassin plein de navires qu’on déchargeait, le grand marais salant appelé « la Retenue » et, derrière, la côte de la Vierge avec sa vieille chapelle toute grise. Madame, issue d’une bonne famille de

Guy de Maupassant La maison Tellier BeQ Guy de Maupassant La maison Tellier La Bibliothèque électronique du Québec Collection À tous les vents Volume 192 : version 1.01 2 Du même auteur, à la Bibliothèque : Mademoiselle Fifi Le Rosier de Madame Husson Contes de la bécasse Pierre et Jean Sur l’eau Les dimanches d’un bourgeois de Paris Miss Harriet La Petite Roque La main gauche Yvette Bel-Ami Mont-Oriol Notre cœur Fort comme la mort 3 La maison Tellier Édition de référence : Paris, Paul

Le taureau à gauche est l'incarnation de la brutalité, de l'obscurité dans la corrida. Dans ce tableau, il représente les Nationalistes dans cette guerre. Le cheval, quant à lui, incarne la victime innocente de cette corrida. Les différentes figures de l'animal traduisent la terreur, la douleur. Ce cheval représente le peuple opprimé et les Républicains. La colombe symbolise la paix. Or ici, elle se situe entre le taureau et le cheval et on peut remarquer qu'elle s'efface dans l'obscurité

dramatique, plus cru, plus vivant, moins conformiste que sa dénaturation collective, il échappa à l’oubli grâce au geste de Hugo lui-même, qui le sauva du feu en 1867, et par l’édition collective qui en fut faite en 1985, chez Plon, sous la direction de Guy Rosa et Anne Ubersfeld, sous l’appellation Victor Hugo raconté par Adèle Hugo 1. Dans son étude datant de 1980, Philippe Lejeune, au vu des brouillons d’Adèle, constatait que les différentes strates de correction qui s’y laissent déchiffrer font apparaître

Dimanches de Jean Dézert Cet extrait de roman a le mérite de faire découvrir aux élèves une œuvre assez peu connue. De plus, ce premier portrait du personnage de Jean Dézert dessine une vision désabusée de l’homme et du monde, en décalage avec la figure du héros triomphant. Un antihéros Livre du professeur Français 1re © Éditions Belin 2011 1. « Jean Dézert ne parle jamais de sa famille » ; « Ses yeux ne quittent pas la terre » ; « Ses regards ne s’élèvent pas au-dessus de ce monde », etc

l’essor des Droits de la Femme, et d’en accélérer les succès. » Cet appel est insistant dans toute la seconde partie du texte, jusqu’aux injonctions finales : « Soutenez, Madame, une si belle cause ; défendez ce sexe malheureux, et vous aurez bientôt pour vous une moitié du royaume, et le tiers au moins de l’autre. / Voilà, Madame, voilà par quels exploits vous devez vous signaler et employer votre crédit. » Ce texte est le prétexte d’un autoportrait d’Olympe de Gouges: Une image d’Olympe de Gouges

d'anciennes victimes : quatre sénateurs (Victor Hugo, Jean-Baptiste Massé, Elzéar Pin, Victor Schœlcher) et quatre députés (Louis Greppo, Noël Madier de Montjau, Martin Nadaud et Alexandre Dethou)[51]. Jusqu'à sa mort, en 1885, il reste une des figures tutélaires de la république retrouvée — en même temps qu'une référence littéraire incontestée[52]. Il décède le 22 mai 1885[53], dans son hôtel particulier « La Princesse de Lusignan », qui était situé à la place de l'actuel 124 avenue Victor-Hugo