Figures De Style Dans Le Lac De Lamartine

l’absence d’une adhésion claire à un programme littéraire ou d’une imitation démontrable de telle ou telle écriture. Pourtant, les marques d’adhésion de Schehadé au surréalisme ne manquent pas, même si elles sont quelque peu tardives, alors que son style s’est défini autour de 1930. Parmi ces marques, il faut tout d’abord revenir à l’échange épistolaire avec Eluard, consécutif à l’envoi de Poésies (qui deviendra Poésies I), en 1938. J’avais cité des passages de cet échange dans le cours d’introduction

d'abord frappé par le paysage, puis par les usages du pays. Il sentit peu à peu la fièvre de sa passion s'apaiser sous l'influence bienfaisante de la nature et de l'altitude. À son retour, il s’installa à Meillerie, en face de Vevey, de l’autre côté du lac de Genève d’où il pouvait voir, grâce à une longue-vue, le château de Clarens où séjournaient les d’Étanges. Mais Julie, souffrant de son absence, tomba malade et Claire le conjura de revenir. Cela suffit à la faire revivre et, leur passion étant irrésistible

la forme d’un dessin (schématique), représenteriez-vous ce que décrit le premier quatrain ? b) Quel est le mètre retenu dans ce poème ? Quelle impression son usage contribue-t-il à susciter (en relation avec le thème du sonnet) ? c) Sur quelle figure de style sont construits les trois premiers quatrains ? En quoi renforce-t-elle la tonalité du poème, très différente de celle de Correspondances ? 2. Du silence au cri de déchirement a) À quel vers se manifeste le premier son ? Le qualifieriez-vous de

leva et prit Camille à bras-le-corps. Le commis éclata de rire. « Ah ! non, tu me chatouilles, dit-il, pas de ces plaisanteries-là… Voyons, finis : tu vas me faire tomber. Laurent serra plus fort, donna une secousse. Camille se tourna et vit la figure effrayante de son ami, toute convulsionnée. Il ne comprit pas ; une épouvante vague le saisit. Il voulut crier, et sentit une main rude qui le serrait à la gorge. Avec l’instinct d’une bête qui se défend, il se dressa sur les genoux, se cramponnant

perruque », « populace du style au fond de l’ombre éparse ». L’identification de la langue poétique à toute la langue ordinaire est un acte politique. C’est aussi un acte religieux, parce que le mot, chaque mot, « jailli de l’ombre » est « face de l’invisible, aspect de l’inconnu », et, comme tel, non interchangeable. - Pour ce faire, les romantiques partent en guerre contre la rhétorique, soit contre une conception de la poésie : => qui suppose  d’accorder le primat aux figures dites poétiques et

pleut bergère) et sa participation « poétique » au calendrier révolutionnaire. La poésie du XIXe siècle [modifier] Lamartine ------------------------------------------------- Le romantisme [modifier] Le romantisme nourrit toute la première moitié du XIXe siècle et pour la poésie plus précisément les années 1820- 1850 : par convention, des Méditations poétiques de Lamartine, en 1820, aux Contemplations de Victor Hugo en 1856. Ce mouvement esthétique européen fait une place toute particulière

connaissance A la fois un art et un mode de vie. Auteurs cherchent à dévoiler le surréel dans leur vie. Ecriture libre de toute règle Auteurs Victor Hugo, Arthur Rimbaud, Alphonse de Lamartine Hérédia, Th. Gautier Verlaine, Rimbaud André Breton, Philippe Soupault, Louis Aragon Œuvres « Le dormeur du Val », « Le Lac » Vénus de Milo Brise Marine, Clair de lune « Le paysan de Paris », « Champs magnétiques » Poésie médiévale Introduction Il y avait deux formes de poésie au Moyen-Âge : la poésie

9 1) LE JUDICIAIRE. 9 2) LE DELIBERATIF. 10 3) L’EPIDICTIQUE. 10 B) QUATRE PARTIES DE LA RHETORIQUE. 10 1) L’INVENTION. 10 2) LA DISPOSITION. 10 3) L’ELOCUTION. 10 4) L’ACTION. 11 3 / LES FIGURES 11 1/ LES FIGURES DE MOTS. 12 2/ LES FIGURES DE SENS 13 3/ FIGURES DE CONSTRUCTION 16 4/ FIGURES DE PENSEE. 17 4/ ARGUMENTS ET PRINCIPES DE PERSUASION. 19 A) LES DIFFERENTS TYPE D’ARGUMENTS. 20 1) L’EXEMPLE. 20 A) LE PRECEDENT. 20 B) L’ARGUMENT D’AUTORITE. 20 C) LA FORMULE. 20 D) L’ANALOGIE

dans le seul but de le faire s’améliorer encore. Aussi, va-t-il définir implicitement le rôle de l’auteur lors de la composition de son œuvre, et de quoi sera composé sa nouvelle idéologie littéraire: par exemple, si l’auteur présente une grande figure historique, il doit conserver son air et son allure, il ne doit aucunement l’interpréter ; l’imagination du romancier doit naître de la fidélité du peintre et de la bonne foi de l’historien. Il défend ensuite le dialogue, cependant, il ne faut pas

élèves, dues à leur ignorance de la civilisation occidentale. D’où le mérite et la raison d’être du présent manuel. L’auteur l’a composé uniquement à l’intention des étudiants indiens abordant l’étude de la littérature française. Il l’a écrit dans un style simple et clair. Au besoin il n’a pas hésité à fournir des explications en anglais, langue avec laquelle nos étudiants sont plus familiers qu’ils ne sont avec le français. D’ailleurs l’auteur n’a pas travaillé dans l’abstrait; le manuel est le résultat