Fils De Pute

Boréal et réédité en 1999 dans la collection « Boréal compact », se veut le regard lucide d'un adulte sur le monde de l'enfance en allée, « un voyage initiatique dans le monde merveilleux de l'enfance déchirée2». Si le héros narrateur, Léon Doré, fils de bourgeois, se projette dans la peau du gamin de dix ans qu'il a été et s'interroge, comme lui, sur le sens de l'existence et sur le monde des adultes, le roman n'est pas pour autant autobiographique. À la suite de la séparation de ses parents

IX (Paris Dauphine) en 1982. Lors de sa deuxième année d’études en 1983, il crée sa première entreprise : Logitec France. L’année suivante, il s’envole pour les Etats-Unis et crée là-bas sa deuxième société : Rainbow Image. Après la naissance de son fils en 1989, il écrit tout au long de l’année 1998 son premier roman «Et si c’était vrai… ». Le livre paraît le 17 janvier 2000 et devient très vite un grand succès : c’est le roman le plus vendu en France de l’année 2000. Ensuite en novembre 2001, il

l’air très coopérative. Pourtant, quand on évoqua la possibilité de redynamiser sa vie sexuelle conjugale en insérant quelques moyens qui marchaient plutôt bien avec sa maîtresse, il répondit : « Je ne vais pas demander ça à ma femme ! C’est pas une pute ! ». Ici, la cause n’est plus vraiment claire, puisqu’on peut se demander qui est à l’origine de la dysérection. Son épouse qui ne fait rien ? Ou ce patient qui n’assume pas sa sexualité et qui a peutêtre complètement inhibé sa femme pendant des années

Arthur se retrouvèrent seuls. La jeune femme en profite alors pour poser des questions sur la place que cette maison a dans le cœur d’Arthur. Elle souhaite également en savoir plus sur la mère d’Arthur et sur le mode d’éducation qui a tant influencé son fils. C’est d’ailleurs Lauren qui incite le jeune homme à ouvrir la « valise noire » de Lili (valise contenant l’essentiel de sa vie : photos, objets…). Arthur apprit que sa mère avait aimé Antoine mais qu’elle avait toujours rejeté cet amour par peur de

transmissibles, et infectent les soldats. Sur douze prostituées de ce genre, dix sont infectées. - Les courtisanes : elles sont au service des grands rois, des personnes de haut-rang. Dans ces familles, la plupart du temps, le père emmenait son fils chez les courtisanes afin d'affirmer sa virilité. Elles sont payées une fortune et son considérées comme "prostituée de luxe". Certaines ne sont propres qu'à une personne. - Les marcheuses : ce sont d'anciennes prostituées ne pouvant plus

bus pour les faire monter dans les quartiers nord de la ville. Ils devaient se rendre à Los Flores, le point de rendez vous était devant le PP, le dernier arrêt de bus de Los Flores. Là un certain Jose les attendait, il avait dix ans et il était le fils de Tamara. Il les saluât et les guida jusque devant sa maison. Marta eu un lège sentiment de trahison, quand elle vue son nouveau ghetto. Ici ce n'était pas mieux qu'a New-York les ghetto restent les même seul le paysage change... Le petit Jose était

Boréal et réédité en 1999 dans la collection « Boréal com­ pact », se veut le regard lucide d'un adulte sur le monde de l'enfance en allée, « un voyage initiatique dans le monde merveilleux de l'enfance déchirée2». Si le héros narrateur, Léon Doré, fils de bourgeois, se projette dans la peau du gamin de dix ans qu'il a été et s'in­ terroge, comme lui, sur le sens de l'existence et sur le monde des adultes, le roman n'est pas pour autant autobiographique. À la suite de la séparation de ses parents

Boréal et réédité en 1999 dans la collection « Boréal com­ pact », se veut le regard lucide d'un adulte sur le monde de l'enfance en allée, « un voyage initiatique dans le monde merveilleux de l'enfance déchirée2». Si le héros narrateur, Léon Doré, fils de bourgeois, se projette dans la peau du gamin de dix ans qu'il a été et s'in­ terroge, comme lui, sur le sens de l'existence et sur le monde des adultes, le roman n'est pas pour autant autobiographique. À la suite de la séparation de ses parents

Boréal et réédité en 1999 dans la collection « Boréal com­ pact », se veut le regard lucide d'un adulte sur le monde de l'enfance en allée, « un voyage initiatique dans le monde merveilleux de l'enfance déchirée2». Si le héros narrateur, Léon Doré, fils de bourgeois, se projette dans la peau du gamin de dix ans qu'il a été et s'in­ terroge, comme lui, sur le sens de l'existence et sur le monde des adultes, le roman n'est pas pour autant autobiographique. À la suite de la séparation de ses parents

s, et qui le font baver un peu.Plus il avance, plus il parle fort, et plus Claire comprend qu’il l’insultevraiment, qu’il la traite de salope et de petite pute. Voilà, c’est son tour, il n’arien dans son panier. Claire lui dit bonjour, très doucement, avec un sourire, etl’autre con se met à gueuler, à vomir ses « grosse salope », « grosse pute »,se met à taper comme un abruti sur la caisse en hurlant. Ses yeux sontvraiment pleins de sang, il est tout rouge et Claire pleure. Elle met ses bras encroix et protège son visage en se baissant un peu