Fin Du Second Triumvirat

que Jules César se ferait couronner roi de Rome. L'assassinat eut comme résultat la guerre civile des Libérateurs suivie de la prise du pouvoir par Octavien Le complot[modifier | modifier le code] Le premier complot sérieux a lieu à Narbonne à la fin de 45 av. J.-C. où César séjourne après avoir vaincu les derniers Pompéiens en Espagne. Caius Trebonius, un ami de César qui avait été son légat pendant la guerre des Gaules mais qui était en semi-disgrâce parce qu'il avait été vaincu par les Pompéiens

termina en 1927 lorsque «[…] le Guomintang a trahi la politique de Sun Yat-Sen pour devenir une force contre-révolutionnaire, alors que le Parti communiste devenait la force de la révolution.» En effet, quand Sun Yat Sen meurent en mai 1925 et qu’un triumvirat est formé pour contrer la crise de succession, Chiang Kai Shek, le général de l’académie militaire Whampoa, s’illustre en écartant les autres protagonistes et en transformant la République en dictature militaire. Il entame la Beifa, une grande expédition

action personnelle qu'il a créé autour de lui ces amitiés qui font sa force politique. La première étape du cursus honorum est le questure (quaestura, ae), les questeurs (quaestor, oris) sont des magistrats responsables des finances. La seconde étape est l'édile (aedile) est le responsable de la police municipale chez les Romains, il est chargé de réprimer la petite délinquance et les flagrants délits. La troisième étape est la prêture (praetor) est détachée du consulat à partir de 367

historique a. La vie politique à Rome après les ides de Mars A la mort de César, Rome a déjà une très longue histoire dont les origines sont inconnues. La mort de César n'aboutit pas à la fin de la république mais à une nouvelle période de trouble qui va durer 14 ans. Cette période est marquée par le second triumvirat de Marc Antoine, Octave et Lépide. Les tyrannicides, partisans de la Res publica, Brutus et Cassius furent contraints de s'exiler. L'histoire se joua alors autour des deux personnages

l’armée à l’âge de seize ans en 1771. Il sert aux colonies (Isle de France) et prend part à des actions militaires aux Indes sous M. de Bellecombe et le Bailly de Suffren. Il concourt en Inde à la défense de Pondichéry. Après la paix de 1783, il met fin à sa carrière, en donnant sa démission après une altercation avec le maréchal de Castries, ministre de la Marine. Il se retire avec le grade de capitaine, et vient à Paris. Premières années à Paris De 1783 à 1789, il se trouve fort dépourvu et désœuvré

même colline une nouvelle cité.  D'un point de vue plus concret, les traces d'habitations dans cette région remontent à peu près au VIIIe siècle avant J.-C. Les Étrusques y vivaient en petits villages. Cette civilisation prospéra du VIIe siècle à la fin du VIe siècle avant J.-C. et créa sur la colline du Capitole une véritable ville. La République romaine est proclamée en -509. Elle étendit son pouvoir sur tout le territoire de la péninsule au prix de nombreuses guerres. Les généraux gagnèrent en

Le décor pour ces deux fragments de frise est organisé en deux registres, sur le premier, la représentation d’une procession triomphale et d’une bataille, et au second, une bande de feuilles d’acanthes. Sur la première frise, nous constatons la représentation de trois chevaux en mouvement avec trois personnes qui se détache d’un fond neutre. Les quadrupèdes sont harnachés constatable sur celui de gauche équipé d’un harnais, d’une selle et d’un poitrail. De plus, ce dernier est monté par un

publication de ce texte. Suétone y expose le début de la carrière militaire mais aussi et surtout la carrière politique de l’Imperator Caius Julius Caesar, de son exode pendant la dictature de Sylla jusqu’à sa préture en 62. Ambitieux, brillant, fin stratège et tacticien, nous pouvons nous demander en quoi Jules César, de son destin exceptionnel, marqua le monde romain et l’histoire en général. Et cela pose le problème de savoir par quel moyen César construisit tout au long de sa vie cette réputation

citoyenneté romaine comme réponse naturelle à la politique agraire : « certains proposaient d'octroyer la citoyenneté romaine à l'ensemble des alliés » (l.1-2). Mais comme on le voit de la ligne 5 à 6 si en -125, le consule et triumvirat « Fulvius Flaccus leur apportait son concours à cette fin » en proposant une loi faisant d'eux des citoyens à part entière, en revanche, « le Sénat s'irritait que les Romains eussent l'intention de traiter leurs sujets comme des égaux ». Sans doute redoutent-ils que cela bouleverse

fonctions aux plébéiens. En 287, la loi hortensia abouti en matière politique, à une égalité des droits entre patriciens et plébéiens. Grâce à cette loi, les plébiscites deviennent des lois valables pour l’ensemble des citoyens romains. C’est la fin du conflit. Il n’y a plus vraiment de distinctions politique entre ces de types de familles. Sauf que les plébéiens ne peuvent toujours pas accéder à certaines prêtrises et les patriciens ne peuvent pas devenir tribun de la plèbe. Apparition d’un