Financement participatif

172.3 milliards de dirhams, en hausse de 12.8% depuis le début de l’année. Des conditions plus favorables en matière d’octroi de crédits ne sont pas étrangères à cette hausse. Les prêts immobiliers consentis par les banques et les sociétés de financement pour financer toutes les opérations immobilières : Acquisition de terrain ou travaux de construction de résidence principale ou secondaire, investissement locatif..etc, ont connu une croissance relativement significative durant l’année 2006. Selon

industriel, le financement des entreprises a subit une évolution considérable. Ainsi je vais faire l’étude de cette évolution en présentant et décrivant en premier lieu le mode de financement de ses dernière jusqu’en 1980, qui est l’endettement bancaire, puis en second lieu le mode de financement qui viendra le remplacer des lors, l’autofinancement. Jusqu’en 1980, c’est l’endettement bancaire qui domine. Ce mode de financement est appeler endettement bancaire car l’essentiel du financement est fait

I) Le Financement de l’Econmie a. Qu’est ce que le financement de l’économie ? Le financement de l’économie c’ est mettre en relation les agents ayants des capacités de financements avec les agents ayant des besoin de financement. b. Capacité et besoins de financement. La capacité de financement est le solde du compte de capital. Ce solde est égal à l'épargne brute augmentée des transferts nets en capital et diminuée des dépenses faites à des fins d'accumulation : On parle de capacité de financement

rapport à la moyenne nationale. Le financement des investissements est essentiellement fait par la dette. Celle-ci est indispensable mais elle reste un moyen onéreux de financement. Nous verrons dans une deuxième partie la structure de l’endettement et l’état des comptes de la commune par rapport à ce point. Quand la commune décide de dépenser 1 euro pour le bien des habitants, 33 centimes proviennent d’une dette. Certes, c’est un moyen de financement indispensable pour une commune mais il faudra

Les principales sources de financement sont l'épargne et les revenus et plus values de placement (pour les particuliers) les fonds propres (fonds apportés par les investisseurs) et l'autofinancement (pour l'entreprise) le crédit (fonds d'emprunt), les aides publiques pour certains types d'investissements (R&D...) le prélèvement obligatoire (impôts et cotisations sociales, etc.) accessoirement le don, l'héritage, etc. Pour les entreprises, les financements classiques par autofinancement

souvent régler leurs propres fournisseurs très rapidement. Pour faire face à de telles situations, les établissements de crédit proposent aux entreprises différentes solutions de financement pour le poste client. Ces solutions s’appuient notamment sur la mobilisation de leurs créances commerciales. Le choix du financement adapté à chaque entreprise s’effectue sur la base d’une analyse précise de son cycle d’exploitation, de la nature de ses créances et de leurs modalités d’encaissement. Cette

banque. • Salam (Forward) C’est un accord à court terme par lequel une institution financière verse, d'avance, les montants correspondant à la livraison future d'une quantité définie de marchandises. Un Salam est principalement utilisé pour le financement des marchandises. Il est semblable à un forward (1) où la livraison est à une date future en échange du paiement au comptant. • Istisna’a (Contrat de traitance) C’est un contrat d’entreprise en vertu duquel une partie (Moustasni’i) demande à

les pauvres du monde entier, généralement exclus des systèmes financiers classiques. En effet, malgré l’évolution des systèmes financiers bancaires, la grande partie des populations du monde généralement plus vulnérable, n’a pas accès facile au financement de leurs activités. Comme la situation de pauvreté s’accentue de jour en jour dans le monde, la communauté internationale n’a pas manqué de réfléchir sur la situation et de prendre des initiatives. Ainsi en 1998, l’Assemblée Générale des Nations

situation en termes de « jeunes » ou « anciens salariés ». La flexibilité des ressources humaines au niveau du temps de travail, des compétences, de la mobilité géographiques… C- Le diagnostic des ressources financières L’autofinancement Le financement par augmentation de capital Les cessions d’actifs Le recours à l’emprunt D- Le diagnostic des ressources matérielles et immatérielles : il permet de s’interroger sur la quantité de ressources, l’âge des machines, la capacité de production… 3

maîtriser (celles en gras peuvent apparaître dans l’intitulé des sujets de bac) Croissance, investissement matériel et immatériel, FBCF, capital fixe ou technique, consommations intermédiaires, valeur ajoutée, financement interne et externe, épargne, autofinancement, taux d’autofinancement, financement direct ou indirect, action, obligation, taux de marge, taux de rentabilité, EBE, profitabilité, demande anticipée (ou demande effective selon la terminologie de J.M Keynes), taux d’intérêt Savoir-faire