Finances Publiques Classiques Et Finances Publiques Modernes

La finance et l’´ ethique dans un environnement financiaris´ e : le cas de la finance solidaire Thi´edj´e Gaudens-Omer Kouakou To cite this version: Thi´edj´e Gaudens-Omer Kouakou. La finance et l’´ethique dans un environnement financiaris´e : le cas de la finance solidaire. Economies and finances. Universit´e Toulouse le Mirail - Toulouse II, 2012. French. <NNT : 2012TOU20031>. <tel-00768203> HAL Id: tel-00768203 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00768203 Submitted on 21 Dec 2012 HAL is a

Finances publiques Introduction : La notion de finance publique est assez complexe puisqu’elle comprend 2éléments : la notion de finance (capital productif, ensemble de bien qui produit et qui coûte  dépense et recette) ainsi que l’aspect publique (finance des personnes publiques : Etat, CT, établissement public). Au 18ème s’affirme la notion d’état nation. Depuis le 19ème siècle les finances publiques ont évolués avec le rôle de l’Etat, à ce moment-là l’Etat était un Etat libéral, aussi

achetée = Ils ont fait l’acquisition moyennant finance) Cas : Des juges au parlement ( Paie le dt d‘exercer ( Aujourd‘hui : Les notaires). Hérédité dénoncé des charges ++ charges parlementaires. 8 Fonctionnaires du présent = Les commissaires (préfigurant les fonctionnaires modernes).

désintermédiation, décloisonnement). En effet, la déréglementation consistait à abolir les réglementations entravant la liberté dans les opérations financières internationales. La désintermédiation traduisait le développement de la finance directe par rapport à la finance indirecte, c’est-à-dire le recours de plus en plus important, pour toute opération de placement ou d’emprunt, aux marchés financiers internationaux, sans passer par les intermédiaires financiers et bancaires. Enfin, le décloisonnement

: 1. Etat d’esprit : rapport au temps de celui qui se veut moderne. 2. Auto proclamation : revendication Pb : _ Pourquoi pensaient-ils être moderne ? _ Qu’étaient-ils en vérité dans leur contexte ?  Modernité : mise en relation idée et rapport au temps => Q° : La vérité est-elle du domaine de l’éternité, a-t-elle une histoire? I/L’idée de progrès des connaissances • Idée de progrès ambiguë 1. Anciens Modernes Progrès différence plus et mieux Etymologie : un pas de plus

Finances publiques Introduction : I. La notion de finances publiques A. Les différentes approches des finances publiques • Il existe plusieurs façons de définir les finances publiques ➢ Les finances publiques sont couramment définies comme l’étude des ressources, des charges et des comptes des collectivités publiques, c’est-à-dire principalement - de l’État, - des collectivités territoriales, - de organismes dépendants étroitement de l’État et des

Jacquet Jean Pisani-Ferry Politique économique De Boeck 2009 ch. 1 (3) Antoine Bozio Julien Grenet ed. Économie des politiques publiques La Découverte Repères 2010 ch. 1 & 6 (4) Philippe Van Parijs John Rawls, père fondateur de la pensée politique contemporaine Le Monde 27 novembre 2002 La politique économique est le fait de l'État. Plus précisément des administrations publiques (État central, collectivités locales, administrations de Sécurité sociale). Comment l'étudier ? Pourquoi l'État doit-il intervenir

salarié) SA Au moins 7 Limitée aux apports PDG (dans une SA classique) Entreprise publique – Un si l’État détient tout le capital. – Plusieurs (voire des milliers) si l’État ne détient pas la totalité du capital social. Illimitée s’il l’État détient la totalité du capital, Limitée aux apports si l’entreprise publique est une société anonyme L’État s’il détient la totalité du capital PDG (si l’entreprise publique a un statut de société anonyme) mais agissant sous une tutelle

être amenés à emprunter pour financer l'activité d'une part et régler les déficits d'une autre part .Lorsque les agents économiques ont une épargne disponible qu'ils n'utilisent pas pour investir eux-mêmes, ils ont des « capacités de financement »qu'il mettent à la disposition de l'ensemble de l'économie. A l'inverse, ils ont des « besoins de financement ». Dans ce mémoire on traite deux parties : La première partie traite le secteur public et ses institutions publiques qui participent au financement

commun », et cette idée est par exemple reprise par les physiocrates au XVIIIème siècle. Jusqu’à Turgot, la monnaie est en fait placée au cœur de la Théorie économique. Keynes redonne à la monnaie sa position centrale et rompt avec la conception classique de l’existence supposée d’une dichotomie entre sphère monétaire et sphère réelle. Ainsi se demander ce qu’est la monnaie c’est aussi s’interroger sur la place qu’on doit lui accorder dans l’Economie. N’est-elle qu’un voile et seulement l’intermédiaire