Financiarisation

institution à but lucratif ? Selon la définition du musée adoptée par l'ICOM (2007), « un musée est une institution permanente sans but lucratif au service de la société et de son développement ». Cependant, face à la crise économique et à la financiarisation des marchés1, de nouveaux paramètres financiers sont apparus au sein des institutions muséales. Il s'agit ici d'aborder la réalité financière des musées. En effet, de nombreux musées ont subi de fortes réductions de subventions annuelles

La crise de l’économie réelle Après la chute du mur de Berlin et la victoire du marché sur le socialisme et émergence du capitalisme mondial. « Les maîtres mots étaient tous rattachés à l’idée même du marché : dérégulation, déréglementation, financiarisation, mondialisation ». « Lorsqu’on regardera cette période, on s’apercevra que jamais le monde ne fut confronté à un tel transfert d’activité des pays de l’OCDE vers les pays émergents ». Les différents capitalismes ont eu du mal à coopérer, à trouver

le fonctionnement d’une société Les NTIC favorisent : → Développement d’entreprise-réseaux → La création d’un marché financier global dès les années 1984-1985 Déréguralisation → télécommunication / transport aérien / énergie / La Poste Financiarisation de l’économie : part croissante des activités financières (services banque, assurance, et placement) dans le PIB des pays développés. → l’émergence d’une culture globale : dans les travaux de Théodore Lévitt et en marketing avec la stratégie

n’acceptant pas de formation. III) L’anti mondialisme C’est une analyse critique des conséquences de la mondialisation, cette dernière étant responsable des restructurations et autres délocalisations. Il reproche aussi à la mondialisation, la financiarisation de l’économie et en France ces critiques sont développées par l’association ATTAC (Association pour la Taxation des Transaction financières et pour l’Aide aux Citoyens). Cette proposition de taxation financière a été faite par l’économiste keynésien

premier lieu la répartition des richesses concernent la répartition entre profits et salaires. Une mauvaise répartition va entraîner un blocage de la dynamique capitalisme , et donc une crise économique. Deux mouvement , mondialisation et financiarisation qui ont contribué à la perte du cursus de répartition des richesses. Un pôle = 2 idéologie de références : l'auto-régulation de l'économie par le marché L'hétéro-régulation de l'économie, réguler par une entité extérieur à la sphère

à l'essor économique. Ce rôle primordial explique la place importante de la finance dans les pays développés, avec une part de 5 % à 10 % du PIB (Produit intérieur brut). Finance et Industrie Selon Gabriel Colletis 2, certaines formes de financiarisation des stratégies des entreprises doivent être remises en cause car elles inversent le sens de la relation traditionnelle entre investissement et finance : Au lieu de sélectionner les financements possibles des investissements qu'elles souhaitent

marchés procèdent à une autorégulation. Le rôle de régulateur de l'état est ainsi restreint par un capitalisme qui devient de plus en plus oppressant. Ce changement a bouleversé les façons de pensées et de faire les politiques économiques. Cette financiarisation de l'économie s'explique en tout premier lieu par la mondialisation. La mondialisation est le processus d'ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaire. Avec, l'introduction d'un élément important, la libre circulation

moderne. L’essor spectaculaire du sport dans nos sociétés s’inscrit dans une dynamique non seulement sociale, mais également économique. Poussé par le développement des médias, une dimension internationale de plus en plus prononcée, ainsi qu’une financiarisation accrue, le sport est devenu un spectacle où la soumission au règne du profit se heurte de plus en plus ouvertement aux valeurs sportives d’origine. Cette tension tient à la fois à l’incontestable perméabilité du sport à l’économie du marché,

dans les entreprises, c'est-à-dire le fait de convaincre les salariés qu’il n’existe qu’une pensée unique auxquels tous les salariés doivent se soumettre, celle de la rentabilité et de la croissance continue. Selon Maier, aujourd’hui avec la financiarisation de l’économie, ce sont les marchés qui dictent l’économie. Aujourd’hui, on pratique un management pur, c'est-à-dire que les entreprises se soumettent totalement à la dictature de l’économie. Le problème c’est qu’à force de vouloir de la rentabilité

crises immobilières ont des conséquences assez importantes car plusieurs canaux facilitent les répercussions sur l'activité économique totale : effet richesse des ménages, secteur de la construction intensif en main-d'œuvre. Du fait de la financiarisation des pays développés, une crise du secteur financier peut avoir des répercussions fortes sur le reste de l'économie, via les canaux du crédit.