Financiarisation

l’ensemble de la planète, avec une chaîne de valeur fragmentée. Le second élément concerne les activités de traitement de l’information, des services, des activités représentent des flux importants qui explose dans l’espace. Avec le mouvement de financiarisation généralisée, il y a une dispersion des actifs et des capitaux en dehors de l’économie réelle complètent ce processus de dégroupage. Les raisons de cet éclatement de flux dispersés reposent sur l’ouverture économique généralisée. Les biens

est une question ancienne. En effet, si au début du XXème siècle, les entrepreneurs dominaient souvent leurs entreprises sans partage, le capitalisme familiale a été transformé par la suite avec le mouvement de concentration des firmes et la financiarisation des entreprises. Cette évolution sʼest manifesté par lʼapparition des managers qui sont mandatés par les fondateurs et les actionnaires pour diriger ces entreprises. Plus récemment, le pourvoir manageriale a été remis en cause avec un retour

capital deviennent plus importants que les travailleurs et que, de ce fait, les actionnaires et investisseurs ont plus de pouvoir sur une entreprise que le patron lui-même. Depuis 1980, on a également vu apparaître un nouvel instrument de financiarisation de marchés : la titrisation. Il s'agit d'une technique qui consiste à rendre liquides des actifs qui ne le sont pas ; les actifs pouvant faire l'objet d'une titrisation étant ceux dont on peut facilement prévoir les flux. Elle a à l'origine

(salariés peu qualifiés, agriculteurs…). « Enfin, certaines catégories sociales peuvent être défavorisées par une libéralisation des échanges. » Enfin, l'argent sale issu de la libération des mouvements de capitaux, des délocalisations et de la financiarisation d'une économie tournée vers le profit à court terme provoque des problèmes économiques de plus en plus perceptibles. « En général, les coûts associés au libre-échange sont concentrés et très visibles : délocalisations, licenciements. » Conclusion

au cours de l’ex) de 73000 €. VA (outil de mesure de la richesse crée) de 1 518 000 €. Excédent d’exploitation (solde entre produits et charges d’exploitation consommées) de 336000 €. Plusieurs méthodes de mesure de la VF. Inscrites contexte financiarisation (domination de l’éco par orga financiers). Classe en 3 catégories. Eléments création pour revenu : Compte de résultat (doc présentant ensemble des produits et charges d’une société), CA (ensemble ventes réalisées) et Résultat de l’ex (résultat

de NTIC (Nouvelles Technologies). Internet accélère la mondialisation de l’information mais aussi du commerce A partir des années 80 la mondialisation devient financière. Ce secteur est celui qui est le plus mondialisé (on parle de financiarisation du monde). La mondialisation a prit un caractère ultra libérale basé sur les 3D : * la Déréglementation : il s’agit de la suppression de ce qui peut faire entrave au commerce comme les douanes et certaines lois nationales * La Désintermédiation :

cadre international FMN  Pays en voie de développement reste national (Chine) / FMN des pays occidentaux  besoins de leurs pays d’origines (Total)  liens se distendent mais ne se rompent pas 4-Financiarisation et modèle US : Montée en puissance depuis 30 ans d’une logique de financiarisation  tirer de suite le meilleur profits des investissements  quittes à handicapé l’entreprise (2009 : Carrefour  dirigeant souhaitent vendre les supermarchés en Asie pour dégager du profits immédiatement)

contemporaines •  Comment influencer / s’adapter à un consommateur en évolution permanente? •  Comment construire une offre différenciée? •  Comment établir la marque dans l ’esprit du consommateur? •  Comment concilier créativité / implication / financiarisation? •  Comment maîtriser la distribution au profit de la marque? •  Comment construire un business global tout en tenant compte des particularités régionales? 5 Le luxe: en effervescence •  De la croissance •  De nouveaux consommateurs • 

(in)cohérence entre politique sociale et stratégie III/ vers une stratégie socio-économique 1/ principes de base et processus de décision * Les principes * Privilégier une approche multidimensionnelle dans l’analyse et la décision stratégique # financiarisation * Eviter la prescription de principes généraux mais développer des capacités s’analyse de situations concrètes intelligences des situations * Définir des indicateurs d’alerte stratégique analyse des couts visibles et

et comme une source de revenu par le prêteur. Or, face à un taux de rémunération attractif, l’entreprise peut être tentée de placer son épargne au lieu de s’engager dans des opérations de production de biens et services. On assiste alors à une financiarisation des firmes (cf. fin du document 1). Le niveau des taux d'intérêt réels passé durablement au-dessus de 5 % en France à partir de 1986 (cf. document 6) explique au moins en partie le fait que l’ensemble des entreprises affichent un taux d’autofinancement