Fiscal Maroc Emprunt Obligataires

témoigne l’intérêt croissant des investisseurs pour la réalisation de projets structurants, notamment dans les domaines de l’infrastructure, du tourisme, de l’industrie et des télécommunications, ainsi que la révision à la hausse de la note attribuée au Maroc par les agences de notation internationales. Il reste cependant qu’un certain nombre de fragilités persistent et appellent des solutions dans le cadre d’une stratégie d’ensemble. La croissance, encore volatile et insuffisante, devrait être portée

(S-I)/PIB= (S-I)/GDP -2 % 7 325 27 -7 Notes : cf : pages 90 et suivantes cf : pages 89 et suivantes Indicateurs sociaux/Social indicators Unemployment = taux de chômage (%) Taux de Couverture sociale / social security (%) 1090% Fiscalité/Fiscal Sector Recettes fiscales, en % du PIB/Total revenues, % of GDP Dépenses Publiques, en % du PIB/Total expenditure, % of GDP Déficit Public, en % du PIB/Central govt, balance, % of GDP Dette Publique, en % du PIB/Total Government Debt, % of GDP 25 28 -3 50 Union

CHAPITRE 1 : INTRODUCTION GENERALE SECTION 1 : APERCU SUR LA NORMALISATION COMPTABLE DANS LE MONDE La réforme comptable que le Maroc vient de mettre en place n’est pas un phénomène isolé. Elle tire son origine et ses fondements du mouvement international de normalisation comptable de ces deux dernières décennies.. Le présent chapitre donne un aperçu rapide sur le mouvement de normalisation comptable - à travers les récents développements qu’il a connus au niveau mondial - et explicite sa genèse

régime particulier et qui n’ont pas à être émises par un véhicule spécifique, il apparaît que leur originalité provient du contrat de garantie globale, par lequel un portefeuille de crédits hypothécaires sert à assurer le remboursement des titres obligataires émis. Il n'existe pas aujourd'hui, dans la zone de l'UEMOA, de contrat de garantie qui aurait valablement le pouvoir d'affecter en garantie un portefeuille complet de créances hypothécaires. Il pourrait néanmoins être imaginé des solutions plus

flexibilité aussi bien dans les pays industrialisés avancés que dans les économies émergentes et en développement. Le parcours des dirigeants de la PME n’est pas, pour autant, un long fleuve tranquille. Les questions financières, administratives et fiscales restent des sujets complexes. Bien que l’emprunt soit la forme de financement externe la plus communément recherchée par les PME, aucune entreprise ne peut être financée uniquement par des dettes. Toute entreprise a besoin de fonds propres provenant

…………………………………..10 Section2 : La crise mondiale actuelle ; causes et effets …………………….11 Section3 : Perspectives futures……………………………………………...16 Chapitre 2 : Le Maroc face a la crise mondiale…….……..……..17 Section1 : Le Maroc face à la crise en 2008………………………………….17 Section2 : Le Maroc face à la crise en2012……………………………….....21 Section3 : Le Maroc face à la crise en 2013 …………………………..…….26 Chapitre 3 : Les mesures prises face a la crise financière…….29 Section1 : les premières réponses à a la crise ………………………………

Matière : Le Marché Financier Marocain Professeur : Mr Faouzi BOUSSEDRA Année Universitaire : 2010/11 Introduction générale  Au lendemain de l’indépendance le Maroc s’est employé à prendre un certain nombre de mesures en vue de rétablir sa souveraineté monétaire et financière en mettant sur pied une vraie infrastructure financière et bancaire susceptible de contribuer efficacement au développement socioéconomique du pays. Cet arsenal de mesures et de réformes administratives

moyennes entreprises. En effet, il peut servir au financement de déploiement industriel engendré par l’accélération du progrès technologique ou au financement de l’investissement immatériel pour le développement des entreprises. Le capital risque au Maroc a récemment pris de l'ampleur face aux besoins d'une économie en transformation, confrontée chaque jour aux défis de la mondialisation et à une ouverture plus grande de ses marchés, L'intérêt que représente ce secteur financier réside dans le réseau

généralement des éléments de réponse à une question ; Qu’est ce qui pousse les firmes d’un pays déterminé à s’engager dans des opérations d’investissement à l’étranger plutôt que de limiter leurs activités au marché national ? Au Maroc les premiers flux de l’investissement étranger ont fait leur apparition au début du 20éme siècle avec la mise en place du régime de protectorat. Depuis lors, ces flux ont connu des hauts et des bas en fonction des considérations politiques et économiques

à outil financière sont présentés : instruments financiers (différentes sortes d'actions, différents types d'obligations), instruments juridiques (structure des sociétés holding, pactes d'actionnaires), instruments fiscaux (régime des sociétés mères et des filiales, intégration fiscale), avant de les appliquer à quelques montages d'ingénierie financière classiques tels que l'ouverture du capital en en conservant le contrôle ou sans le conserver, introductions en bourse, fusions et autres types de