Flashback

22/10 Mise en scène Citizen Kane Citizen Kane est le premier long métrage que réalise Orson Welles en 1941. Ce film contraste avec ce qui sort à la même époque par sa construction cinématographique avant tout. L’histoire est en effet racontée en flashbacks, principalement pour donner une explication à la scène majeure qu’est le prologue. Cette scène qui peut en quelque sorte résumer le film et son intrigue. Le film commence par un noir comme à l’accoutumée. Ce noir lance également la musique qui va

le personnage principal. C’est donc très simple à suivre car on découvre l’intrigue en même temps que le personnage. Au point de vue de la temporalité, on peut dire que celle-ci est aussi plutôt simple à suivre. Bien sûr, parfois Benjamin a des «flashbacks» mais cependant, ceux-ci sont bien indiqués. Le seul point difficile à suivre dans ce récit, est que Pennac ne se censure pas dans son œuvre donc à certains endroits dans le récit, on se demande si c’est bien vrai ou si c’est Benjamin qui rêve.

place where they will be safe, they were judged innocent by the police. Sade and Femi were going to the Police station. This event reminded them an event that happend in Lagos. Policemen came to take their father away. Chapitre 12 : It's a flashback in the history of Lagos, it explained how their father and their mother met and in what circonstances. Students were demonstrating when the Police came and started to shoot them. Their father was checking photos with his wife, people were lying dead

personnages atypiques de Mickey et Mallory ainsi que l’exploration de diverses thématiques typiques des films noirs. Tout d’abord, les aspects stylistiques dans Natural Born Killers renforce la notion du désordre. Le schéma narratif est ponctué de flashbacks, de rêves, de visions et on y retrouve un schème d'action circulaire. En effet, il y a toujours un retour à la situation initiale, car les personnages n'arrivent jamais à une complète émancipation. Un détail très révélateur de cette notion de cycle

Quatrièmement, au début du film on peut voir Derek abattre lui-même deux personnes de peau noire essayant de voler la voiture de son père décédé. Il tua le premier avec une arme à feux et blessa le second. Un peu plus tard dans le film, on revoit en flashback cette scène, ou Derek achève le deuxième homme en lui donnant un coup de pied sur sa nuque accoté sur le trottoir. Le geste de Derek est un geste d’extrême violence volontaire. On peut même distinguer de la violence verbale, dans les paroles de Derek

types of immigration to Australia until 1996 (change in government) without forgetting to highlight the reorientations of the immigration policies which played undoubtedly a key role in the migratory trends. What is worth noticing is that this ‘flashback’ is obviously a necessary stage to fully understand the actual immigration policy and debate in Australia. Since Australia became part of the British Empire in 1788, immigration has been a cornerstone in its economic development and nation building

de Aziz. Le genre est un roman. Dans un moment donné il y a aussi parties au livre de Jean-Pierre à l’histoire, ce n’est pas facile, mais ce n’est pas difficile aussi. La construction de l’histoire n’est pas compliqué. Il n’y a pas beaucoup de flashbacks dans l’histoire, justement quand Aziz pense de retour à Lila. L’écrivain, Didier van Cauwelaert, écrite avec beaucoup de mots. L’histoire se déroule en France(Marseille) et au Maroc. Il a fait Aziz Kemal au narrateur. L’usage de langue n’est pas

chaque heure, chaque minutes,,  anaphore de ‘‘chaque,,  accentuer ‘‘Les larges bras d’un marronnier,,  personnification L 8 à 11  longue énumération Le paragraphe est une analepse  flashback ‘‘Maintenant,,  connecteur temporel Vie présente de prisonnier Partie 3 :‘‘Je n’ai plus qu’une pensé, qu’une conviction, qu’une certitude,,‘‘Une horrible, une sanglante, une implacable,,  insister‘‘Cette pensée infernale comme un spectre de plomb

sept ans qu’Emmanuelle Laborit découvre le langage des signes. Sept longues années sans langage pour communiquer, où se mêle solitude et silence et où chaque souvenir n'est représenté que par des images "Je n'ai de souvenirs que visuels. Comme des flashbacks, des images dont j'ignore la chronologie." (page 15) Un jour par hasard, le père d'Emmanuelle, psychiatre, en écoutant la radio découvre à sa grande surprise qu'il existe un langage permettant aux sourds de s'exprimer autrement que par la parole:

politique et économique par la guerre. En 1919, la France est une puissance relative, elle a perdu son leader cheap auprès du Royaume Unis. Nostalgie du passé, on regrette le temps où la France était une puissance . C’est une rétrospective . Flashback : En 1870, la France est sous le régime de Napoléon III et va engager un conflit armée avec la Prusse, bataille qu’elle va perdre en 1871. La Prusse impose la signature du Traité de Versailles. Fondation de l’empire allemand, indemnités, réclame