Flashback

violents, criminels, "Baby-killers". Ils ont été immergés dans une situation de guerre et l'opinion les voit comme déshumanisés à jamais Les vétérans éprouvent le "Post Taumatic Stress Disorders" (PTSD) qui se traduisent par des cauchemars, des flashbacks, des crises de délire violent dont les cures de groupe ne font qu'attiser un aspect sectaire qui contribue à effrayer. Ces stéréotypes ne dépassent pas ce stade. La vérité est autre. Les soldats sont essentiellementa "Lower middle class", sûrement

se concentrer. L’accident l’a transformé. Elle était plus calme, plus réfléchie, moins stressée. Pauline : Pauline est une bonne amie de Margaux. Margaux téléphonait à son père pour dire qu’elle est morte. C’est arrivé pendant le cours de gym. Flashback Mel : à leur dernier été à Noirmoutier 1973, une nuit elle n’a pas pu dormir. Elle est descendue à la chambre de sa mère. C’était une femme que sa mère tenait dans ses bras. Elles étaient nues. C’est ca que Mel veut dire sur le chemin du retour.

extérieures, du passé, qu'il lui fallait pour construire un véritable récit. Vers la fin du film, en effet, Rouch a ajouté des plans filmés quelques années auparavant à Niamey (Niger), pour évoquer les souvenirs d'enfance de ces jeunes nigérians. Par ce « flashback », il démontre une proximité avec le plan « vertovien », car Rouch fonctionnalise le souvenir de Robinson en citant ce lieu nigérian de leur passé. Cet ajout prouve, s’il était besoin, sa filiation avec Flaherty puisqu’il construit son histoire avec

l’Iran contemporain puisqu’on y assiste aux derniers mois de règne du Shah et à l’instauration de la République islamique, avec ses deux péripéties majeures : la révolution imposée dans les mœurs et la guerre Iran– Irak. Par le biais d’un flashback assez conséquent, la réalisatrice évoque également des événements plus anciens, l’arrivée au pouvoir des Pahlavi en 1921 par exemple. Persépolis parcourt ainsi 70 ans d’histoire iranienne. a. Repères chronologiquesPersepolis débute sous le régime

mentionne toutes les modifications qui touchent la situation d'énonciation : changement de narrateur par exemple, ainsi que la chronologie du récit (durée de l'histoire racontée rapportée au nombre de pages du livre mais aussi retours en arrière (flashbacks), anticipations, ellipses, etc. Lorsqu'il s'agit d'une œuvre dramatique, on s'applique à suivre la progression acte par acte et scène par scène de la pièce afin d'en restituer fidèlement la progression. De manière générale, et y compris pour les

et attire notre regard sur les actrices. Elle est d’ailleurs le « fil rouge » de la séquence, omniprésente dans le décor et dans les accessoires. Sans cesse, cette couleur filera la métaphore du sang de Paco. Si le film noir a souvent recours au flashback qui décrit le meurtre, Almodóvar, lui, a préféré l’évocation de la tentative de viol par le seul récit qu’en fait Paula. Raconter plutôt que montrer donne aux paroles une puissance supérieure à l’image. Le récit oral permet également d’enregistrer

l’histoire de l’Iran contemporain puisqu’on y assiste aux derniers mois de règne du Shah et à l’instauration de la République islamique, avec ses deux péripéties majeures : la révolution imposée dans les mœurs et la guerre Iran– Irak. Par le biais d’un flashback assez conséquent, la réalisatrice évoque également des événements plus anciens, l’arrivée au pouvoir des Pahlavi en 1921 par exemple. Persépolis parcourt ainsi 70 ans d’histoire iranienne. a. Repères chronologiques Persepolis débute sous le régime

modifications apportées par le réalisateur et le scénariste. Tout d’abord, la scène d’ouverture du film comporte l’assassinat du Comédien, scène qui est simplement sous-entendue dans le début de la bande dessinée et qui sera repris plus tard par un flashback, flashback qui sera également présent dans le film, ensuite ce n’est pas Rorschach qui va informer Ozymandias mais le Hibou dans le film… Deux différences un peu plus importantes méritent toutefois plus d’attention. Tout d'abord, à la fin du film ce

les préoccupent alors, trouver qui les a trahie. Tous cela ce finiras finalement en bain de sang… Avis personnel J’ai beaucoup aimée ce film, c’est le premier film de Tarentino et un film à petit budget, mais le scénario est géniale avec les flashbacks, et la musique super bien choisie avec l’effet que donne la voix du disc jockey de la radio. J’aime le fait que Tarentino ai son rôle en tant que acteur dans son propre film. [pic] [pic] [pic] ▪ Titre original : The Kid

dimension qui définit mon attachement à la série est la dimension d’attachement aux personnages. Je crois que l’écriture de chaque personnage est très bien exécutée. Chacun d’entre eux est présenté avec le même niveau d’informations et l’intégration de flashback dans la jeunesse des personnages nous permet de les comprendre en profondeur. La série nous donne une grande diversité au niveau des personnages et cela nous permet d’avoir plusieurs options sur différents personnages auxquels s’attacher et s’identifier