Flèche rouge

en bas, sans attirer le regard sur un endroit précis. « Composition en losange (deuxième tableau losangique) » - 1919 « Composition en losange (troisième tableau losangique) » - 1919 *Mondrian à divisé son tableau en une grille. « Composition en rouge, jaune, et bleu » - 1921 Trait noir qui ne vont pas jusqu'en bas du tableau, contraste entre les différents blanc. Transformation de la surface en plan. Séparation horizontale et verticale est très important pour lui. Entre les couleurs de Mondrian

Michel Pastoureau : Bleu. Histoire d’une couleur. Tout au long du texte j’ai pu constater que la couleur était un phénomène de société, que c’était la société qui faisait la couleur. Le système tripolaire blanc, noir, rouge, installé depuis l’antiquité a changé au cours des siècles. En latin, le lexique du bleu reste imprécis et instable. Cependant, vers 1100 Le bleu a changé de statut, se fixe dans l’iconographie ; Le manteau de la vierge, les vitraux gothique. Par la suite le bleu deviendra

nationales. Balises des : - GR : rouge et blanc - GR de pays (GRdP) : rouge et jaune - Petites randonnées (PR) : jaune Les GR sont marqués sur le terrain par un balisage France (exception faite du massif vosgien au sein duquel prévaut le balisage spécifique du Club vosgien), Belgique, Pays-Bas et Espagne : deux traits de peinture horizontaux, un rouge et un blanc. Luxembourg : rectangles ou ronds jaunes Suisse : traits horizontaux blanc-rouge-blanc (itinéraires dits de montagne) ou

La Rencontre, Gustave Courbet. L'oeuvre proposée est la reproduction d'une peinture de Gustave Courbet datant de 1854, et qui le représente avec son mécène. Un autoportrait du peintre, donc, inscrit ici dans le paysage. La Rencontre est une huile sur toile de 129x149cm, exposée au Musée Fabre à Montpellier. 1. Quel regard le peintre pose-t'il sur lui-même au travers de ce tableau? La Rencontre représente une scène privée entre Gustave Courbet et son mécène Bruyas, accompagné de son

caractères de cette femme. Je vais vous les expliquer dans la partie suivante. Ensuite, les fleurs ont deux couleurs différents : rouge et blanc. Ça signifie, sans aucun doute, la contradiction de cette femme. Extérieurement, elle est calme, mais elle a un cœur chaud, son enthousiasme ne peut pas être caché par toutes sortes d’apparence et la position de rang. La couleur rouge symbolise la vitalité et l’inspiration. Il semble que les fleurs rouges donnent une inspiration à la femme. C’est la raison pour

 La drogue tue plus de 73 000 personnes chaque année C’est une réalité Dans ce dépliant, nous vous présentons les drogues les plus consommées en France. En France et en Europe, la consommation de drogues a particulièrement augmenté durant les années 90, pour ensuite se stabiliser, voire régresser à la fin des années 2000. Si de nouvelles drogues de synthèse apparaissent, le cannabis reste

 Le poèmémo Mon anthologie est composée de poèmes qui se répartissent en trois parties représentants différents genres littéraires des XIX et XXe siècles. C’est ainsi que j’ai découvert les plus grandes œuvres poétiques de l’époque. Ma première partie nous renseigne sur le genre romantique pendant cette période, celle-ci est composée de neuf poèmes. Ceux-ci écrient en alexandrins, certains auteur romantique très connus y figure comme Victor HUGO Alphonse DELAMARTINE, George

reflètent quelque chose de détruit. La "bouche ouverte" est une caractérisation de la mort du soldat ; sa tête est nue car son casque a roulé par terre ; "la nuque baignant" vers 6 signifie qu'elle baignait dans le sang, c'est à dire le sang sur l'herbe : rouge du sang + vert de l'herbe = cresson bleu. "Etendu" signifie un corps sans vie et le "lit" du vers 8 devient un lit de mort. Les glaïeuls évoquent les fleurs que l'on posent sur une tombe => il a les pieds dans les glaïeuls. Plus rien ne bouge

Texte Intégral 

Pendant plusieurs jours de suite des lambeaux d'armée en déroute avaient traversé la ville. Ce n'était point de la troupe, mais des hordes débandées. Les hommes avaient la barbe longue et sale, des uniformes en guenilles, et ils avançaient d'une allure molle, sans drapeau, sans régiment. Tous semblaient accablés, éreintés, incapables d'une pensée ou d'une résolution, marchant seulement par habitude, et tombant de fatigue sitôt qu'ils s'arrêtaient. On voyait surtout des mobilisés

LA RONDE SOUS LA CLOCHE C’était un bâtiment lourd, presque carré, entouré de ruines, et dont la tour principale, qui possédait encore son horloge, dominait tout le quartier. Fenimore Cooper. Douze magiciens dansaient une ronde sous la grosse cloche de Saint-Jean. Ils évoquèrent l’orage l’un après l’autre, et du fond de mon lit je comptai avec épouvante douze voix qui traversèrent processionnellement les ténèbres. Aussitôt la lune courut se cacher derrière les nuées, et une