Fleurs Bleues Personnages

bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! Baudelaire Les Fleurs du mal, 1857 Ce poème est intitulé «A une passante», il a été écrit par Baudelaire et fut publié une première fois en 1855 puis dans son recueil de poèmes Les Fleurs du mal en 1857. Il s'agit d'un sonnet qui appartient aux tableaux parisiens, il est donc lié à l'inspiration de la vie mais aussi à celui du temps. Baudelaire nous

détaché de la croix. Ce thème, répandu dans l’art occidental à partir du XIVe siècle en peinture aussi bien qu’en sculpture, est centré sur la douleur de la Vierge. La Vierge, la tête couverte d’une voile blanc, porte une robe rouge et un manteau bleu doublé de blanc. Sur son visage vieilli se lisent l’affliction et une infinie tristesse. Elle apparaît, néanmoins, retenue, confiante dans la résurrection. Sa douleur est intériorisée. Elle est ainsi proche de la description qu’en donne l’Evangile

La mort des amants p.177 et 148 Ouvre la 5ème section des fleurs du mal qui est ‘ La mort ‘ Forme : Sonne, donc 2 quatrains et deux tercets formés de décasyllabes. Rimes : ABAB (alternées) ABAB (alternées) CC (plates) DEDE (alternées) Composition : Deux quatrains --> La vie des amants avant la mort Deux tercets --> La mort des amants 1er tercet : Le moment de la mort / 2ème : après la mort Thèmes développés : L’amour --> conception idéale de l’amour

nous rend « heureux comme avec une femme » ! Les phrases exclamatives qu’a introduites l’auteur dans Ma Bohème décrivent ce plaisir de liberté et le rendent plus concret à nos yeux. Dans ces deux poèmes, Rimbaud interprète l’errance à travers un personnage qui ne connait pas sa destination, qui va « loin, bien loin, comme un bohémien »… Son vagabondage se traduit aussi par les effets de répétition du verbe « aller » telles que «j’irais dans les sentiers », « j’irai loin » dans Sensation ou « je m’en

début de la Première guerre mondiale. Beaucoup de personnages sont présents, on peut les diviser en deux catégories : les soldats (reconnaissables à leurs uniformes et aux armes qu'ils portent), déjà dans les wagons ou sur le point d'y monter; les civils (parents,épouses,enfants des soldats), qui sont sur le quai. La première chose que l'on remarque sur ce tableau est le personnage au milieu du tableau qui écarte les bras. Il tient un bouquet de fleurs blanches et son fusil dans une main et son képi

associes. La tristesse du roi est une sorte d’autoportrait de Matisse. C/ Description de l’œuvre  Dans ce tableau on peut voir trois personnages : • Au premier plan on voit une sorte de grenouille assis sur le sol, jouant du tam-tam. • Au second plan on voit une forme noire avec des gants noir et recouvert sur le corps de fleurs jaunes. Ce personnage a à la main une guitare jaune. • Au dernier plan on peut voir une forme blanche et noire marchand sur la pointe des pieds et le haut de cette

symbolisent le manque de nutrition. Au deuxième plan, il y a un bâtiment marron avec des grandes fenêtres noires. Le seul signe de vie pourrait être la plante, toutefois, il manque des feuilles ou des fleurs. A gauche, on voit une table et trois chaises vide ce qui accentue la solitude du personnage. Au dernier plan, il y a une source de lumière qui éclaire directement l'homme. On voit aussi un immeuble vert constitué de fenêtres rouges. Dans le coin gauche, on voit la lune et des étoiles rouges

gauche derrière, se trouve un gros vase vieux rose contenant des fleurs aux formes imprécises au bout de longues tiges : des taches vertes figurent les feuilles et tiennent lieu de couleurs pour les pétales. Placé devant, trône un grand miroir ancien sur pieds ,aux contours dorés, dans lequel on aperçoit en partie le reflet du visage du personnage qui se regarde . Au premier plan, à droite,le regard se porte sur l’étrange personnage vu de profil qui semble s’observer avec effarement* et consternation

sensualité sont hors du commun. Elle est accompagnée de deux personnages ailés à sa gauche, qui soufflent sur Vénus. L’un est vêtu d’une étoffe bleue, l’autre d’une étoffe verte. Ce sont Zéphyr, divinité du vent et Chloris celle des fleurs. Flore, la déesse du printemps est à droite ; elle est vêtue d’une robe blanche avec des fleurs et tente de recouvrir Vénus avec un drap rouge. On dirait que la nature fête la naissance de Vénus car fleurs tombent doucement du ciel. Cette scène se passe sur un littoral

d'histoires. Les différentes histoires, que ce soit celle de Colin et Chloé ou celle d'Isis, sont racontées parallèlement. De plus, l'auteur n'a pas recours à l'usage de rétrospections. En outre, le temps se déroule et change selon l'envie de personnages comme nous le prouve ces extraits : -« Colin avait invité à dîner, comme tous les lundis soir, son camarade Chick qui habitait tout près. On n'était encore que samedi, mais Colin se sentait l'envie de voir Chick. » -« à peine avait-il fini les