Flexion

hétéronyme, et nasale ou temporale. Hémiasomatognosie : Le patient perd la connaissance de son hémicorps paralysé → hémiplégie / héminégligence. Hémibalisme : Mouvements involontaires, arythmiques, brusques, prédominants au membre supérieur en flexion et en rotation de l'avant bras stéréotypés. Hémiplégie : Paralysie d'un hémicorps par atteinte centrale du faisceau pyramidal, dont les signes sont variables en fonction du niveau de la lésion. Homéostasie : Tendance de l'organisme à maintenir

le syndrome cérébelleux et dans le syndrome pyramidal (pour celui-ci, seulement en cas d’atteinte aiguë à la phase initiale; au bout de quelques jours, l’hypotonie est remplacée par une hypertonie spastique). Les manœuvres d’étirement passif (flexion/extension du coude, du poignet, du genou) permettent de préciser les caractéristiques de l’hypertonie : - L’hypertonie spastique ou spasticité pyramidale est caractéristique du syndrome pyramidal. Elle est élastique (lorsque l’examinateur relâche

Bord interne du pied base du 1er métatarsien et bord interne du 1er cunéiforme ; ACTION : Flexion ; adduction ; rotation interne du pied ; supination. EXTENSEUR PROPRE DU GROS ORTEIL INSERTION : Face interne du péroné et sa partie moyenne; CORPS MUSCULAIRE : Il descend le long du péroné et se dirige vers le gros orteil TERMINAISON : Phalange terminale (phalangette) du gros orteil ; ACTION : Flexion du pied ; extension du gros orteil ; adduction. EXTENSEUR COMMUN DES ORTEILS INSERTION :

droite postérieure ( Les deux chaînes croisées postérieures ( La chaîne droite antérieure ( Les deux chaînes croisées antérieures ( Chaînes des membres inférieurs La chaîne d’extension La chaîne d’ouverture La chaîne de flexion La chaîne de fermeture Source : revue « Kiné 2000 », volume 7, 96/2, p9-16 LA METHODE « DES CHAINES MUSCULAIRES » EN GENERAL a) Présentation de la méthode Le terme « chaînes » trouve sa justification

vers les orteils, avec une pointe émoussée : le gros orteil subit une extension vers le haut, lente et complète ; les autres orteils s'étendent parfois en éventail. C'est l'inverse du réflexe normal, au cours duquel le gros orteil doit se mettre en flexion, vers le bas, et la voûte plantaire se creuser. Parfois, le signe de Babinski n'apparaît que quand on frotte la face interne du tibia ou quand on pince le tendon d'Achille, mais sa signification est la même. Score de GLASGOW Haut du formulaire

Angle poplité : cuisses fléchies, cet angle est de 90° chez un nouveau né à terme Des adducteurs : doit être égal à 30° à la naissance -de dorsi-flexion : angle pied-jambe = 0° - talon-oreille : doit être de 90° chez un nouveau né à terme - flexion répétée de la tête - flexion ventrale du tronc - extension dorsale du tronc - flexion latérale du tronc L’examen des réactions antigravitaires Cet examen se fait à partir de plusieurs manœuvres : * la suspension ventrale

point d’appui dynamique. Ainsi l’énergie cinétique acquise lors de la course peut-être transmise à la jambe de frappe (au segment libre). 3.1.4 La frappe Pour ce qui est de la jambe de frappe on passe d’une flexion à une extension complète de la jambe sur la cuisse mais aussi à une flexion de la cuisse sur le tronc. On passe progressivement d’une vitesse nulle à une vitesse optimale. Le cou-de-pied frappe le milieu du ballon pour transmettre au mieux l’énergie apportée par la jambe de frappe. (il

| | | | |- B: légère flexion volontaire du pied | | | | | | |- C: réflexe achilléen + légère flexion volontaire du pied | | | | | | |- D: réflexe achilléen + forte flexion volontaire du pied | |

Membres supérieurs : Developpé couché Developpé incliné Biceps Membres inférieurs : Demi squats Flexion jambes- banc suédois Mollets – banc suédois ou sol. Exercice Description Charge Intensité Ressentie Membres supérieurs Developpé couché Developpé incliné Biceps Membres inférieurs Demi squats Flexion jambes- banc suédois Mollets – banc suédois ou sol. I. Membres supérieurs 1) Developpé

r´fraction peut varier entre n = 1, 61 e e (λ = 700 nm, rouge) et n = 1, 67 (λ = 400 nm, violet). Mais on se limitera ` des rayons a de lumi`re monochromatique (une seule fr´quence, donc un seul indice de r´fraction). e e e 4. R´flexion et r´fraction de la lumi`re e e e 4.1. R´flexion de la lumi`re e e Quand la lumi`re frappe la surface d’un objet, une partie en est r´fl´chie. Le reste est e e e absorb´ par l’objet (et transform´ en chaleur) ou, si l’objet est transparent (comme le e e A. G´n´ralit´s