Folies Bergère

raison. Ses cheveux étaient disposés de façon à cacher son visage. Elle portait des chaussures à talons noirs défraîchis. Jules l'observait. Lorsque la femme lui adressa la parole en lui tendant une carte. Elle lui avait chuchoté « je suis aux Folies Bergères ». Sur la carte, il y avait d'inscrit son nom, Rachel. Jules ne s’intéressait pas à ce genre de ménage. Il tourna la tête vers le balcon de la jeune femme, mais quand celui-ci voulu la voir, elle n'était plus seule. Un homme de grande

vient, l'affiche pendant la révolution industrielle, où Jules Chéret, peintre, était « le père de l’affiche moderne ». Ses premières affiches en couleurs furent commandées par, des cabarets, des music-halls et des théâtres comme : l’Olympia, Les Folies Bergères, le Moulin Rouge, etc. Affiche : Affiche « Moulin Rouge ». Ses œuvres étaient frivoles, inspirées du style rococo. Les femmes y étaient représentée joyeuses, élégantes et vives. Pendant la 1ere guerre mondiale : en France la publicité c’est

devient chef des chroniqueurs puis chef des échos de La Vie Française. Georges Duroy séduit, tout au long de l’histoire, les femmes. Celles-ci lui permettent de grandir dans sa carrière et donc de gagner plus d’argent.Il a d’abord une liaison, aux Folies-Bergères, avec Rachel.Il séduit ensuite Madame Clotilde de Marelle. La fille de celle-ci, Laurine, lui donne le surnom de Bel-Ami.Madame de Marelle lui prête de l’argent et loue un appartement (127 rue Constantinople) pour qu’ils puissent se retrouver

qu’ils se renvoient leur reflet à l’infini). Diego Vélasquez, Les Ménines, 1657 huile sur toile 318 × 276 cm Musée du PradoDiego Vélasquez, Vénus à son miroir, Vers 1644-1648 (122,5 x 177 cm), National Gallery, LondresEdouard Manet, Un Bar aux Folies-Bergères, 1881-82, Courtauld Institute of Art Gallery, LondresNorman ROCKWELL, Triple autoportrait, 1960, peinture | |

plaisirs qu’offre Paris. Mme de Marelle, ayant perçu les limites financières de son amant, lui fait régulièrement don de petites sommes qu’il rechigne à accepter. Duroy doit satisfaire tous les caprices de cette femme qui lui demande de l’amener aux Folies Bergère, où Rachel, une ancienne conquête du séducteur, le reconnaît. Duroy se sauve laissant Mme de Marelle. Chapitre VI Duroy confesse à Mme Forestier qu’un sentiment amoureux est en train de naître à son égard. Aussitôt elle le remercie et évoque

Virginie Walter et sa fille Suzanne.        Au début du roman, Duroy est en manque d'amour. Il réussit à en voler mais il espérait plus et mieux. La première femme dont on entend parler dans le roman est une prostituée, Rachel, rencontrée aux Folies Bergères. Elle est appelée la " fille à un ou deux louis ". C'est une grosse brune qui allume le désir. Malgré son habitude des hommes, Rachel tombe sous le charme de ce jeune homme et se donne à lui, même pour un louis et même pour 10 francs. La première

contente du simili, c'est-à-dire du mensonge. Ainsi ce n'est même pas le luxe, c'est le toc qui se trouve hypertrophié. Sombart a indiqué l'origine bourgeoise du simili ; il est certain que chez nous, ce sont surtout des théâtres petit-bourgeois (Folies-Bergère, Comédie-Française, Théâtres lyriques) qui en font la plus grande débauche. Ceci suppose un état infantile du spectateur auquel on dénie à la fois tout esprit critique et toute imagination créatrice. Naturellement, on ne peut complètement bannir

cela, le romancier ancre son récit dans un cadre spatio-temporel précis, au moyen par exemple de noms de lieux qui existent bel et bien: noms de grands boulevards parisiens (boulevard Poissonnière, boulevard Malesherbes…), d’établissements (les Folies-Bergère, le café Riche), de monuments (église de la Trinité, église de la Madeleine). Il ponctue également ses descriptions de détails qui rendent le récit plus réaliste. Ce sont les effets de réel. Le héros du roman, Georges Duroy, est réaliste puisque

Il rencontre un vieil ami : Forestier qui lui propose un travail de journaliste. Duroy ne parvient pas à écrire son article et décide d’aller demander de l’aide à Madame Forestier. Il rend visite à Mme Marelle, il devient son amant. Il va aux folies bergère pour revoir la prostituée qu’il avait rencontré précédemment. Il rend visite à Mme de walter qui l’apprécie beaucoup et elle le nomme chef des échos. Puis le ménage Forestier s’en va à Cannes à cause de l’état de santé critique de monsieur Forestier

physique avantageux, et un succès dans énormément de matières, notamment auprès des femmes, p.36 : Dans cet extrait, Duroy et Forestier vont aux Folies-Bergères et rencontrent deux prostituées. L’une des deux dit à Forestier que Duroy lui plaît…   « C'est ton ami qui me séduit. Il est vraiment un joli garçon. Je crois qu'il me ferait faire des folies ! » Duroy, intimidé, ne trouvait rien à dire. Il retroussait sa moustache frisée en souriant d'une façon niaise. Le garçon apporta les sirops, que