Folies Bergère

petits bleus " les télégrammes fermés circulant dans Paris.) Clothilde aime sortir surtout dans les endroits drôles, commun des ouvriers . A force de vagabonder, Duroy n’a plus d’argent et Clotilde lui laisse des pièces dans son manteau. Aux « Folies Bergères » Rachel rôde autour de George et Clotilde et elle comprend qu’ils sont aussi amants elle se fâche donc et part. CHAPITRE VI : Il s’est réconcilié avec Rachel.  George a été vexé par une remarque de son ancien camarade, Duroy se jure de se venger :

d’ailleurs George Duroy avant son accensions sociale fait partit des ouvrier et vit au milieu d’eux car la majorité des habitants de son immeuble sont des ouvriers. Les prostituées ont également leurs place dans le roman cela va de Rachel aux folies bergères dans Bel-ami a Nana l’actrice et enfaite plus souvent prostituée dans Nana. Peut être es-ce le fait de voir ces personnages avoir un rôle dans le roman qui choque l’héroïne de Zola. L’aspect immonde auquel elle fait allusion peut être aussi la

charme et sa beauté qu'il parvint à les manipuler. Nous allons donc décrire le rôle de chacune d'elles. Le rôle des femmes dans l’ascension sociale de Bel-Ami. La toute première femme qui apparait dans l’œuvre est Rachel, une prostituée des Folies bergère. C'est une grosse brune, attirante et habituée aux hommes. Elle tombe instantanément sous le charme de Duroy. Même si Georges cherche quelque chose de plus profond au début de l’histoire, il s’abandonne toutefois à cette fille facile. Contrairement

naissance à des loisirs mondain tels les opéras et les cabarets. Les impressionnistes se sont intéressés à ces nouveaux phénomènes. Certains s’intéressèrent d’avantage à ce côté festif des nouveaux modes de vie, par exemple Manet qui peint Un bar aux folies-Bergère en 1881 qui fait l’éloge en même temps que la condamnation des loisirs dans les grandes villes. Cette thématique est également retrouvée dans sa toile Le bal de l’Opéra d’Henri Gervex peint en 1886. Ainsi que dans les célèbres toiles d’Auguste

par leur esprit et leurs talents, et essaient de renoncer à l'image négative de leur condition. II) Présentation des femmes dans Bel-Ami et leur rôle La première femme à apparaître dans le roman est Rachel, une prostituée travaillant aux Folies-Bergère. Elle est présentée comme une femme grosse et brune. C'est la première à rencontrer Duroy (au chapitre I de la première partie). Elle tomba vite sous son charme et s'offrit à lui sans même le faire payer. Rachel n'est pas un personnage important

Vandon Maxime 1BT 20 Observation Français mercredi 25 février 2015 Succès auprès des femmes 58-485 Duroy était aux folies bergères tiens, v'là un joli garçon : s'il veut de moi pour dix louis, je ne dirai pas non Ce passage montre que Duroy peut séduire des femmes intentionnellement 59-532 une prostituée venait de commander des verres C'est ton ami qui me séduit Ce passage montre encore que Duroy sans le vouloir séduit la prostituée 59-543

faubourg Montmartre dans le 9ème arrondissement parisien. La boutique date de 1761, elle est donc la maison mère d’une chaine de 9 boutiques situés en Ile de France. Elle est au cœur d’une zone touristique, notamment près du musée Grévin, des Folies Bergères et d’une zone très commerçante composée de nombreux restaurants et brasseries comme le Chartier. Accessibilité | L’unité commerciale se trouve a proximité d’un grand boulevard traversant Paris : le boulevard Haussmann qui devient boulevard

ensuite prendre un verre pendant ce temps Forestier proposa a Duroy si il ne voulait pas devenir journaliste à ses côtés. Puis il l’invita à un dîner chez lui et lui prêta de l’argent pour s’acheter des habits corrects. Ensuite ils partirent au « Folies Bergères ». Ils se placèrent dans des loges au-dessus de la scène. Plus tard dans la soirée ils furent la rencontre de deux prostituées deux grosses femmes l’un brune et l’autre blonde. Au départ de Forestier Duroy décida de rester un peu, il profita alors

d'ombre, pas assez de sombre. Il faudrait un très beau jardin, très vaste. Ce serait charmant. Où veux-tu aller ? " Duroy, perplexe, ne savait que dire ; enfin, il se décida : " Je ne connais pas les Folies-Bergère. J'y ferais volontiers un tour. " Son compagnon s'écria : " Les Folies-Bergère, bigre ? nous y cuirons comme dans une rôtissoire. Enfin, soit, c'est toujours drôle. " Et ils pivotèrent sur leurs talons pour gagner la rue du Faubourg-Montmartre. La façade illuminée de l'établissement

LE COMTE s'approche. – Quoi, Madame, vous plaisantiez ? LA COMTESSE, se remettant un peu. – Eh ! pourquoi non, Monsieur ? LE COMTE. – Quel affreux badinage ! et par quel motif, je vous prie ?... LA COMTESSE. – Vos folies méritent-elles de la pitié ? LE COMTE. – Nommer folies ce qui touche à l'honneur ! LA COMTESSE, assurant son ton par degrés. – Me suis-je unie à vous pour être éternellement dévouée à l'abandon et à la jalousie, que vous seul osez concilier ? LE COMTE. – Ah ! Madame, c'est