Forces armées rwandaises

Les autorités rwandaises hutu se défendent avec l’armée contre l’agression militaire du FPR et participent à la « liquidation » de tous les tutsis du Rwanda. Une guerre civile éclate. Les faits : En 1992, les milices armées hutus nommées « interahamwe » (qui signifie unité) sont créées. En 1993, avec l’appui des autorités belges et françaises, c’est l’accord de paix et de partage du pouvoir. C’est aussi le retour des réfugiés tutsis. Il y a intervention des forces armées de l’ONU (MINUAR*)

Comment un tel massacre a pu avoir lieu ? Pour répondre à cette question nous allons analyser le contexte historique, social, et politique. Avant la colonisation belge, les termes « Hutu » et « Tutsi » distinguaient des catégories de la population rwandaise, qui renvoyaient à des spécialisations socio-économiques. En effet, les Hutu étaient des agriculteurs et les Tutsi des éleveurs. Des Hutus pouvaient disposer du bétail tandis que des Tutsi pouvaient pratiquer l’agriculture. Les hommes les plus riches

réintégrée dans l'APR (Armée patriotique rwandaise), les nouvelles forces gouvernementales rwandaises. En 1996-1997 de nombreux réfugiés civils Hutu, poursuivis dans les forêts du Congo, ont été massacrés (200'000 selon Rony Brauman, Stephen Smith et Claudine Vidal[20]) par les forces alliées (armées du Rwanda, l'APR, et de l'Ouganda, et rebelles zaïrois) ou sont mortes de famine ou d'absence de soins. Dix ans après le génocide, les affrontements entre les forces génocidaires et le FPR au Zaïre constituent

de plusieurs forces armées à la crise qui secoue la RDC. Présence motivée par une seule raison, à savoir la sécurité de leur frontière avec la RDC. Hormis ses intentions expansionnistes, le point nodal de la présence des forces rwandaises en terre congolaise est l'hébergement par cette dernière des cerveaux du génocide rwandais et des éléments de l'ex-FAR au sein de cette population en fuite. Ce qui pour Kagame contribua à prolonger l'état de guerre audelà des frontières rwandaises. La question des

Bibliographie Annexes        1 Liste des abréviations ADF ADM AFDL FAR FAZ FUNA LRA MLC NALU NIF NRM/A PLC RPA Allied Democratic Force Allied Democratic Movement Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération Forces Armées Rwandaises Forces Armées Zaïroises Former Uganda National Army Lord’s Resistance Army Mouvement de Libération du Congo National Army for the Liberation of Uganda National Islamic Front National Resistance Movement/Army Parti de la Libération

effet, le rôle de l’Opération Turquoise était de protéger les civils hutus et tutsis sans prendre part au conflit armé qui opposait ces deux communautés. Les militaires n’ont donc procédé à aucune arrestation laissant ainsi les deux ethnies s’entretuer. La neutralité de l’intervention fut vivement critiquée par la suite pouvant être apparentée à de la complicité avec les Forces Armée Rwandaise, responsables du génocide. Effectivement, en restant neutre, et en laissant en liberté les Hutus qu’ils croisaient

FPR, des réfugiés Tutsis engagent une rébellion dans le pays = face aux forces armées loyalistes du Président Hutu Juvénal Habyarimana = parmi les rebelles Tutsis : l’actuel Président rwandais : Paul Kagamé + la Belgique, la France et le Zaïre choisissent leur camp = …et apportent leur soutien au gouvernement Hutu en place -> une aide proposée par le Président français François Mitterrand (soutien logistique : arme et entraîne l’armée Hutu) 4 1993 : un espoir se dessine + avec la signature

responsables de la plupart des massacres pendant le génocide. 17. Qu’est-ce que FAR? Les Forces Armées Rwandaises. C’est l’armée qui représentait le Rwanda, formé principalement d’Hutu. 18. Quelles sont les revendications de chacun des groupes impliqués dans le Génocide? Ces accords prévoient à terme l’intégration politique et militaire des différentes composantes internes et externes de la nation rwandaise et le départ des troupes françaises, former un gouvernement de transition consacrant la

monstrueuse : en une centaine de jours, des centaines de milliers de personnes sont assassinées. Des débats existent sur le nombre de tués (très majoritairement des Tutsis) : la fourchette basse donne 500 000 morts, la plus haute, celles des autorités rwandaises actuelles, 2 millions. L'estimation qui revient le plus souvent tourne autour de 800 000, jusqu'à un million. On estime que les ¾ de la population tutsie furent éliminés. La question qui guidera mon exposé sera la suivante : comment le génocide

l’aéroport de Béni, où comme par hasard, des assassins prévenus (par qui ?) l’attendaient pour l’abattre ! Où est passé le téléphone abandonné par les assassins sur le lieu du crime ? Les ombres d’un général rwandais infiltré et d’une «hirondelle» rwandaise au service de Kagamé et «Kabila» ! D’après le témoignage de notre source oculaire, témoignage recoupé et confirmé par deux autres sources, juste après l’incident, les éléments des FARDC arrivés et déployés sur les lieux du drame ont découvert un