Fort de Douaumont

la bataille. C'est au général Robert Georges Nivelle que revint le mérite de l'enrayement définitif de l'offensive allemande (juin - juillet 1916), puis de la reconquête du terrain perdu entre octobre et novembre 1916 avec la récupération du fort de Douaumont, aidé en cela par son subordonné Charles Mangin. Rétrospectivement, Verdun apparaît comme le lieu d’une des batailles les plus inhumaines auxquelles l’homme s'est livré : l'artillerie y cause 80 % des pertes, le rôle des hommes y consiste

autre point de vue de cet épisode mémorable. Elle nous a plongé directement dans le quotidien des soldats, comme dans le Fort de Douaumont ou l’Ouvrage de la Falouse, pour nous toucher davantage quant aux conditions de vie et de combats que les soldats ont pu subir. Cette visite nous a permis de vraiment ressentir l’horreur de la guerre, lors du passage dans l’Ossuaire de Douaumont et le Cimetière National, nous présentant ainsi les conséquences de cette bataille, et les pertes humaines indénombrables

Le village détruit de Fleury : Etant proche du fort de Douaumont il a été complètement ravagé par les attaques allemandes. Pendant toute la durée de cette bataille le village aura changé seize fois de main. Deux mois de combats réduisent le village en ruines. Avant la guerre, il comptait 334 habitants. Il y avait des maisons, des commerçants, et après la guerre il ne restait plus rien, seulement un village détruit, avec aucun signe de vie humaine ou végétale et un paysage ravagé par des millions

pu découvrir la vie des Poilus et la reconstitution de la scène du choix du soldat inconnu. On est aussi allé aussi au Fort de Douaumont, il a été construit en 1884, il a été conçu pour 650 hommes. Il a été pris par les allemands et repris plus tard par les français. Ce fort est bien armé puisque il a une tourelle de mitralleuise et une tourelle à éclispe de 155 mm. Dans le fort, il y avait la présence d'une nécropole allemande puisque 679 victimes allemandes d'une grosse explosion le 8 mai 1946

meurtrière Par un beau jour d’été Sous un ciel bleu d’azur Le clairon a sonné Pour la grande aventure Ils partirent faire la guerre Au nom de la patrie Ils étaient jeunes et fiers Et la fleur au fusil Mais du chemin des dames Au fort de Douaumont Ils ont perdu leur âme Sous le feu des canons Avec la peur au ventre Ils chantaient la Madelon En plein mois de décembre Quand ils montaient au front Ils tombaient un à un Fauchés par la mitraille De la Marne à Verdun Au coeur de

qu'aucun fort ne pouvait résister à l'artillerie lourde adverse. Les garnisons sont alors évacuées et la garde des ouvrages est confiée à des territoriaux. De plus, depuis le début de la guerre, l'armée française connait une grave pénurie de pièces d'artillerie moyenne et lourde. Tous les canons des casemates de Bourges, des coffres et des galeries de contrescarpes qui peuvent être démontés sont récupérés. Seules les pièces des coupoles intransportables sont restées en place. Ainsi le fort de Douaumont

d'armée française, le 20ème, le 13ème et le 1er sont envoyés à Verdun et ils arrivent à partir du 25 février. Le général Joffre décide d’envoyer à Verdun l’état-major de la II ème armée du général Philippe Pétain. Les Allemand s’emparent du fort de Douaumont, le fort le plus important de la région. Pétain ralentit le repli des unités sur la Woëvre, afin que les Allemands ne puissent installer leurs batteries d’artillerie pour pilonner Verdun et il organise le soutient logistique par la route départementale

saillant des lignes françaises, cerné de tous les côtés, la Meuse compliquant la défense du secteur. Dans le saillant, se trouvent plusieurs forts dont ceux de Douaumont et de Vaux. Mais depuis la destruction des fortifications de Liège, Namur et Maubeuge par les obusiers allemands, le commandement français ne croit plus aux places fortes. Les canons des forts de Verdun sont retirés par décret du 5 août 1915, diminuant ainsi très fortement leur capacité opérationnelle. Joffre a besoin de ces canons

Champagne. 21 février : Début de la bataille de Verdun 29 février: Verdun : Après avoir pris Beaumont et le fort de Douaumont, les Allemands suspendent l'offensive. 9 mars: Verdun : Reprise de Douaumont 9 avril : Échec de l'offensive générale allemande sur le front de Verdun. 7 juin :  Offensive allemande à Verdun. Chute du fort de Vaux puis de Thiaumont, Fleury-devant-Douaumont. 1er juillet : Début de la bataille de la Somme, offensive alliée. 15 septembre : Première utilisation des

chimiques telles que les bombes aux phosgènes. Le 1er Juillet la bataille de la somme a lieu, elle se termine par une défaite. Le 24 Octobre le Générale Robert Nivelle ordonne une contre-offensive. Cette contre-offensive conduira à la reprise du fort de Douaumont qui avait été capturé le 25 Février. La bataille de Verdun se termine le 19 Décembre. 2. Les conditions de combat Les soldats français étaient vêtu de tenus bleu et de casque en acier. Le front est constitué de tranchés reliés par des boyaux