Fortification

volonté des pouvoirs régionaux n’est pas de défendre la population, mais de la dominer. Le château ne défend que le pouvoir du seigneur. À partir de l’époque de Philippe-Auguste et de Richard Coeur-de-Lion (fin du XIIe - début du XIIIe siècle), la fortification est de plus en plus souvent l’affaire d’«ingénieurs ». Jusque-là, on cherchait des sites favorables et on comptait surtout sur l’épaisseur et la hauteur des murs. Le développement d’une architecture militaire offensive (lié à la diffusion des machines

frontières ne fait que les repousser en les rendant plus impérméable. Puis nous essairerons de décrire la nouvelle géographie politique tracée par ces murs qui dessine une nouvelle organisation politique. I/ Mondialisation, ébranlement des États et fortifications. A/Le mur ou la matérialisation de la frontière de l'État comme réaction à son « déclin ». → processus de régionalisation ouverture des frontières et atteinte au souveraineté étatique l'ex de l'UE → redéfinition de la communauté politique

d’être une cible durant les deux guerres mondiales, elle fut bombardée à plusieurs reprises. Ces bombardements lui ont permis de se reconstruire et donc d’avoir des édifices de styles de d’époques variées. A l’an Mil au Grognon, les premières fortifications vont apparaître pour se protéger du fleuve et de toutes les attaques venue du fleuve. La ville connut, au rythme de l’accroissement de sa population, quatre enceintes successives. A partir des 16e et 17e s l’importance de la fonction militaire

eau domestiqué, eau protégée + proposition de but qui montre que les fondateurs d’Amaurote ont réfléchi. La ville a été pensée pour être alimentée en eau. * 2e § : la fortification - éléments de la description : remparts (tourelles….), enceinte, fossé, ceinture, buissons, haut/large, profond/ large. => CL de la fortification. => La ville a été pensée pour être protégée. * 3e § : les rues - éléments de la description : -rues : bien à la fois pour… et pour… (CC de but) - constructions

Cannes et la mer Présentation des documents : Synthèse des questions : Des fortifications médiévales et modernes sont élevées contre les ennemis étrangers : les pirates et les infidèles (les sarrasins), les corsaires, les flottes des pays ennemis venant de l’extérieur mais aussi contre les ennemis de l’Etat étant prisonniers. Ces fortifications sont des forts, des fortins, des châteaux, des tours (servant de postes de guets) et des remparts. Le fort, à partir du XVIIème siècle, est une

déformait au lieu d’éclater. Du coté des fortifications, à la fin du Moyen-Âge, l’artillerie de siège est devenue si efficace que plus aucun fort n’est imprenable (plus un mur est haut, plus il est vulnérable), ceci poussant à imaginé de nouvelles fortifications ou tout au moins les améliorer. Dès le XIVème siècle, on voit apparaître les tours à canon, basses et massives, elles pouvaient renforcer les anciens forts existants. En France, ces techniques de fortification vont être rationalisées puis améliorées

Grenoble. Au XVe siècle, Grenoble se développe lentement au creux de sa minuscule enceinte, et, au début du XVIe siècle, le Duc de Lesdiguières va diriger la ville et profondément la transformer en faisant construire : des fortifications (exemple : la « Bastille », une fortification bastionnée surplombant la ville.), fontaines, égouts, mais aussi des routes et des ponts pour franchir l’Isère et le Drac. Enfin, ce n’est qu’au XIXe siècle que la ville va changer de physionomie grâce à la révolution industrielle

il se réfugie alors dans la littérature. Celle-ci lui apportera la gloire qu’il ne trouvera jamais dans les armes. 2. Des écrits qui font scandale Nommé capitaine en 1779, Laclos est envoyé à l’île d’Aix pour surveiller la construction de fortifications, devenues nécessaires dans un contexte où la France était à nouveau en guerre avec l’Angleterre. C’est à cette époque que Laclos rédige Les Liaisons dangereuses. Il demande même en 1781 un congé de 6 mois, pour achever son œuvre qui paraît

plans des fortifications, assure la défense ou le siège des places-fortes. .Dès lors Vauban va s’attacher à renforcer les fortifications du royaume, à commencer par celles de Flandre et d’Alsace. Le Ministre Colbert le charge de tous les travaux de fortifications de la moitié de la France. Les ingénieurs militaires ou civils exécutent ses plans. Il est nommé par Louis XIV commissaire général des fortifications en 1678. Les travaux de terrassement et de construction des fortifications de la citadelle

Originellement la place sert de parvis à la gare de Metz, placée en 1849 à l'extérieur de la ville intra-muros pour des raisons stratégiques et militaires, Metz constituant toujours une place forte considérable pour la France avec ses fortification Vauban. En 1852, la gare est reliée directement à la ville par le biais de la nouvelle porte Serpenoise, permettant l'agrandissement de la place vers la ville. L'annexion voit la transformation de la place qui va devenir un pôle important de transit