Forêt Vierge Au Soleil Couchant

la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténodactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi Les inscriptions des enseignes

ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d'aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténodactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi Les inscriptions

la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d'aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi –6– Les inscriptions

la poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d'aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J'ai vu ce matin une jolie rue dont j'ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi Les inscriptions des enseignes

poésie ce matin et pour la prose il y a les journaux Il y a les livraisons à 25 centimes pleines d’aventures policières Portraits des grands hommes et mille titres divers J’ai vu ce matin une jolie rue dont j’ai oublié le nom Neuve et propre du soleil elle était le clairon Les directeurs les ouvriers et les belles sténo-dactylographes Du lundi matin au samedi soir quatre fois par jour y passent Le matin par trois fois la sirène y gémit Une cloche rageuse y aboie vers midi 3 Les inscriptions

anonymes mais certains noms nous sont parvenus. Il s’agit par exemple de Rutebeuf ou de Charles d’Orléans. Rondeau de printemps Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie, Et s'est vêtu de broderie, De soleil luisant, clair et beau. Il n'y a bête ni oiseau Qu'en son jargon ne chante ou crie : " Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie. " Rivière, fontaine et ruisseau Portent en livrée jolie Goutte d'argent d'orfèvrerie ; Chacun

..............................................118 Tableaux parisiens.....................................................................119 LXXXVI. – Paysage ..................................................................119 LXXXVII. – Le soleil ............................................................... 120 LXXXVIII. – À une mendiante rousse.....................................121 LXXXIX. – Le Cygne ............................................................... 123 XC. – Les sept vieillards

...................................... 68 Tableaux parisiens......................................................................68 LXXXVI. – Paysage........................................................................... 68 LXXXVII. – Le soleil......................................................................... 69 LXXXVIII. – A une mendiante rousse ..............................................70 LXXXIX. – Le Cygne....................................................................

.................................................118 Tableaux parisiens.....................................................................119 LXXXVI. – Paysage ..................................................................119 LXXXVII. – Le soleil ............................................................... 120 LXXXVIII. – À une mendiante rousse.....................................121 LXXXIX. – Le Cygne ............................................................... 123 XC. – Les sept vieillards

. Moi, je n'ai pas tous ces défauts : Je monte sur mes grands chevaux. Et je galope, et je voltige, Bride abattue, jusqu'au vertige Des étincelles sous leurs fers, Mes chevaux vont un train d'enfer. Je parcours ainsi l'univers, Monts, forêts, campagnes, déserts... Quand mes chevaux sont fatigués, Je rentre à l'écurie - calmé. Jacques Charpentreau Le soir indécis 8 points Le soir vient entre chien et loup, Ombre parmi les ombres grises, Entre policier et filou, Entre mule