Fou d'elle

dises c'est que tu l'aimes, que tu aimes tout d'elle, ses défauts, les pires, le goût de ses larmes quand rien ne va plus, l'odeur de ses cheveux quand tu l'embrasses dans le cou, ses tâches de rousseurs quand l'été pointe le bout de son nez. Et quand j'évoque le mot amour, s'il te plait ne l'associe pas au sexe. Parce que tu vois, savoir combien de fois tu te la tapes tous les jours, moi je m'en fou. Merde, il y a des mots pour parler d'elle. Pas des mots en toc, pas des mots qui soient

Elle ferma la porte, elle se pendit à son cou. Il s’échappait d’elle une odeur tiède, une odeur de linge blanc et de chair fraîchement lavée. Laurent, étonné, trouva sa maîtresse belle. Il n’avait jamais vu cette femme. Thérèse, souple et forte, le serrait, renversant la tête en arrière, et, sur son visage, couraient des lumières ardentes, des sourires passionnés. Cette face d’amante s’était comme transfigurée ; elle avait un air fou et caressant ; les lèvres humides, les yeux luisants, elle rayonnait

est caché sous le balcon. Celui-ci prend donc la place de Christian, sans que Roxane s’en rende compte. C’est la mise en abyme. -Champ lexical de l’exaltation : « j’étouffe », « je suis fou », «  je n’en peux plus », «c’est trop », « je frissonne ». -Nombreuses hyperboles : « tous ceux », « j’étouffe », « je suis fou », « tout le temps », « je me souviens de tout, j’ai tout aimé », « tellement » -La passion est si extrême qu’elle va jusqu’au sacrifice

me dises c'est que tu l’aimes. Que tu aimes tout d’elle. Ses défauts. Les pires. Les gouts de ses larmes quand rien ne va plus. L'odeur de ses cheveux quand tu l'embrasses dans le cou. Ses tâches de rousseurs quand l’été pointe le bout de son nez. Et quand j’évoque le mot amour. S' il te plait. Ne l’associe pas au sexe. Parce-que tu vois. Savoir combien de fois tu te la tape tous les jours. Moi. Je m'en fou. Merde. Il y a des mots pour parler d’elle. Pas des mots en tocs. Pas des mots qui soient faux

Résumé des caprices de Marianne par scènes | Acte 1 : Scène 1 : Une rue devant la maison de Claudio Ciuta accoste Marianne à la sortie de l’église pour lui dire qu’un jeune homme (Coelio) est fou amoureux d’elle. Celle-ci répond que ce jeune homme perd son temps et que s’il continue à dire cela, elle en instruira son mari. Coelio est alors désespéré et en errant dans la ville rencontre Octave qui depuis 8 jours fête le carnaval et n’est pas rentré chez lui. Lui aussi est malheureux mais ne le

seuls rivaux que Shakespeare et la Bible. Le personnage En analysant l’œuvre « Rendez-vous avec la mort », on peut rapidement se rendre compte que le personnage le plus important et le plus marquant de l’histoire est Mrs Boynton. C’est autour d’elle que l’intrigue tourne. Âgée d’une soixantaine d’années, la dame est accompagnée par sa famille qui est constituée de deux filles et deux garçons. En faite, Mrs Boynton n’a qu’une vraie fille. Les autres membres de la famille sont des enfants de son

tout pour un rêve que l’on est seul à faire Personnages : Frankie Dunn (Clint Eastwood), Le soigneur, et entraineur de Maggie Fitzgerald la Boxeuse Depuis 17 ans propriétaire du centre d’entrainement. Il a une fille mais n’a plus de nouvelles d’elle depuis des années il s’entête à envoyer une lettre par semaine à sa fille, qui lui renvoi les lettres avec la mention « Retour à l’expediteur » Maggie Fitzgerald (Hilary Swank) , Une fille qui est passionnée par la boxe et qui souhaite être entrainé

Qu'est-ce qu'un coup de foudre ? Un coup de foudre est un sentiment qui ne prévient pas de sa venue, qui nous fais rendre le coeur fou en un seul coup et sans même le savoir et sans même pourquoi on a ce sentiment pour cette personne, c'est une sensation bizarre car en nous on s'attend aimer la personne que l'on veut, c'est-à-dire au physique parfait pour nous, tant dis que le coup de foudre viens naturellement nous apporter un bout de sentiment pour la personne qui pourrait être

propre frère. Elle se fou des supplices de sa sœur Ismène, car elle aime mieux mourir honorablement et que l’on se souvienne d’elle que de laisser Polynice être la proie des oiseaux et des chiens. Pour celle-ci, tout le monde on le droit de mourir et d’être enterrer convenablement, même si ils n’ont pas toujours été décent envers la cité. De plus, Antigone a une très forte arrogance envers l’autorité : « Si donc ma conduite te [Créon] paraît insensée, peut-être est-ce un fou qui me taxe de folie.»

En répétant et en personnifiant le sang aux lignes 4 à 7 de la page 250, Brodeck insiste sur se sang qui devient fou, comme un humain, et qui va pousser les membres de la foule à faire le mal, parce qu’ils sont noyés dans la masse qui masque les actions individuelles et ouvre la porte à toutes les bassesses, à toutes les horreurs qu’un individu isolé ne ferait jamais :