Fourberies De Scapin Comique De Geste

nom de Zafari) mais qui reste fidèle à son code d’honneur ; un ensemble de « grands », tous plus corrompus les uns que les autres ; des personnages caricaturaux (don Guritan, la duchesse d’Albuquerque, la duègne et un valet) qui apporte une note comique. Intrigue : don Salluste, grand d’Espagne et homme de pouvoir, médite dans l’ombre une terrible vengeance contre la reine qui l’ disgracié. Après avoir surpris les confidences amoureuses de Ruy Blas à son ami Zafari (alias Don César de Bazan) et s’être

âge y paraissait plier devant une mauvaise fortune inutilement combattue. Quoique agile et d'une constitution plutôt robuste que faible, le jeune baron se mouvait avec une lenteur apathique, comme quelqu'un qui a donné sa démission de la vie. Son geste était endormi et mort, sa contenance inerte, et l'on voyait qu'il lui était parfaitement égal d'être ici ou là, parti ou revenu. Sa tête était coiffée d'un vieux feutre grisâtre, tout bossué et tout rompu, beaucoup trop large, qui lui descendait jusqu'aux

âge y paraissait plier devant une mauvaise fortune inutilement combattue. Quoique agile et d'une constitution plutôt robuste que faible, le jeune Baron se mouvait avec une lenteur apathique, comme quelqu'un qui a donné sa démission de la vie. Son geste était endormi et mort, sa contenance inerte, et l'on voyait qu'il lui était parfaitement égal d'être ici ou là, parti ou revenu. Sa tête était coiffée d'un vieux feutre grisâtre, tout bossué et tout rompu, beaucoup trop large, qui lui descendait jusqu'aux

nom de Zafari) mais qui reste fidèle à son code d’honneur ; un ensemble de « grands », tous plus corrompus les uns que les autres ; des personnages caricaturaux (don Guritan, la duchesse d’Albuquerque, la duègne et un valet) qui apporte une note comique. • Intrigue : don Salluste, grand d’Espagne et homme de pouvoir, médite dans l’ombre une terrible vengeance contre la reine qui l’ disgracié. Après avoir surpris les confidences amoureuses de Ruy Blas à son ami Zafari (alias Don César de Bazan)

âge y paraissait plier devant une mauvaise fortune inutilement combattue. Quoique agile et d'une constitution plutôt robuste que faible, le jeune baron se mouvait avec une lenteur apathique, comme quelqu'un qui a donné sa démission de la vie. Son geste était endormi et mort, sa contenance inerte, et l'on voyait qu'il lui était parfaitement égal d'être ici ou là, parti ou revenu. Sa tête était coiffée d'un vieux feutre grisâtre, tout bossué et tout rompu, beaucoup trop large, qui lui descendait jusqu'aux

nom de Zafari) mais qui reste fidèle à son code d’honneur ; un ensemble de « grands », tous plus corrompus les uns que les autres ; des personnages caricaturaux (don Guritan, la duchesse d’Albuquerque, la duègne et un valet) qui apporte une note comique. • Intrigue : don Salluste, grand d’Espagne et homme de pouvoir, médite dans l’ombre une terrible vengeance contre la reine qui l’ disgracié. Après avoir surpris les confidences amoureuses de Ruy Blas à son ami Zafari (alias Don César de Bazan)

fatigue des héros épiques, que n'ignorait pas le carnavalesque médiéval (Le Roman de Renart) mais qui ressurgit avec la génération baroque, lorsque Scarron lance la mode du burlesque (Le Virgile travesti) et triomphe avec sa variante héroï-comique (Le Roman comique), à un moment où la noblesse d'épée connaît ses derniers feux (la Fronde), tandis que l'imaginaire héroïque passe aux femmes (Mlle de Scudéry) et s'amollit en pastorales sentimentales (L'Astrée). Déjà le picaresque espagnol (Guzman de Alfarache

Précieuses ridicules notamment, lui permet de jouer dans la salle du Petit Bourbon. Lorsqu’il prend possession du Palais-Royal en 1661, Molière est apprécié de tous, et particulièrement du Roi. Habilement, il satisfait tous les goûts, alternant le gros comique de la farce, dans Sganarelle par exemple, les divertissements royaux à grand spectacle (musique, danse et chant) comme dans Les Fâcheux, et les comédies sérieuses, subtilement satiriques. Avec la maturité, Molière va se spécialiser dans ce

↘ profiter de la vie 3 : La satire : poème qui dénonce les vices/défauts d’une personne, ou qui critique les meurs d’une société ou d’une institution. B) Au Moyen-âge 1 : L’épopée  Ex 1 : Chansons de geste : exploits militaires victorieux d’un roi ou de sa famille, écrite en Laisse Enée : poème en strophes irrégulières. Exemple : chanson de Roland. Roland : Neveu de Charlemagne. La chanson parle de Roland et de Charlemagne. Cette chanson n’est pas

judiciaires. Les excès du chauvinisme. Il entend défendre les petites gens contre les « décadents » de tout poil. Il se méfie du « progrès ». Il a un côté chansonnier, anarchiste de droite. Mais il se montre soudain un étonnant poète. Seul auteur comique « rescapé », il passe, de son temps, pour le meilleur. Onze pièces sur quarante deux nous sont parvenues dont : Les guêpes (-422) : la manie athénienne de la procédure. Racine en fait Les Plaideurs. Le théâtre grec nous est parvenu atrocement