Fourvière

à des « parents […] que l’on voit tous les quinze ans ». Nuits-Saint-Georges, Clos-Vougeot, Chalon-sur-Saône. Descente de la Saône en bateau en vapeur jusqu’à Lyon, où les voyageurs logent à l’Hôtel de l’Europe. L’après-midi, visite du musée. À Fourvière, Flaubert ne touche pas les os des martyrs comme lui avait demandé Alfred Le Poittevin dans une lettre, celle-ci ne lui étant parvenue qu’à Marseille. Mais il pense à son ami au confluent de la Saône et du Rhône, qui « roul[e] de la terre et [est]

serait trop long. A son sommet il compte maintenant une centaine de personnes qui réfléchissent sérieusement et avec un esprit critique — dont des Pères Jésuites, au sujet desquels je disais à mon ami le R.P. Neil que les plus grandes gloires de Fourvières ou de Paris pouvaient supporter leur voisinage ; et je pensais aux RR.PP. Dunn, Thomas, etc. Il y a d’autre part des choses très curieuses et que je ne peux pas supporter. Il est bien certain, par exemple, que la grande masse des catholiques s’est