Francis Jeanson

partage de l'Empire à Verdun. Séparation en 3 ensembles : Charles le Chauve reçoit la partie Ouest du royaume de France, Lothaire reçoit la partie centrale (la Lotharingie) et enfin Louis le Germanique reçoit la partie la plus orientale (la Germanie ou Francie orientale). Et on prend l'habitude de considérer que celui qui détient l'Italie, donc la Lotharingie est empereur (car c'est le pape qui sacre). Donc le premier couronné empereur au moment du partage, c'est Lothaire. Au début de notré période, en

à 987. Hugues était le premier souverain de la dynastie capétienne. Il a été roi des Francs de 987 à 996. 1er juillet 987 : Le 1er juillet 987, exaspérés par la faiblesse des derniers héritiers de Charlemagne, les principaux seigneurs de Francie occidentale offrent la couronne royale au meilleur d'entre eux, le comte de Paris Hugues Capet. Les Capétiens : C’est une dynastie princière d’origine franque qui commence avec Hugues Capet, roi des Francs, et qui règne, notamment sur la

du cycle de Rankine 5  Schéma de la turbine à vapeur 6 2. Relations mathématiques applicables aux turbines 8 3. Les différents types de turbines 8  La turbine à vapeur 8  La turbine hydraulique 9  Les turbines Pelton 11  Les turbines Francis 11  Les turbines Kaplan 12  Les turbines Banki-Mitchell (Crossflow) 13  La turbine à gaz de combustion 14  Explication de la turbine à gaz de combustion simple 14  La centrale TGV 15  La turbine à air 16 4. Turbines utilisées dans les

Biographie de Francis Ponge Né à Montpellier, le 27 mars 1899, Francis Ponge fait des études de lettres, puis de droit. Il écrit ses premiers textes et travaille quelques mois comme secrétaire de fabrication aux éditions Gallimard. En 1931, après son mariage, il entre comme salarié aux Messageries Hachette. Il se consacre à la poésie pendant ses moments libres. Après avoir fréquenté le groupe surréaliste, il adhère au Parti communiste et se brouille avec sa famille bourgeoise. Licencié en

sans vanité du bois blanc. Tout neuf encore et légèrement ahuri d'être dans une pose maladroite à la voirie jeté sans retour, cet objet est en somme des plus sympathiques, -sur le sort duquel il convient toutefois de ne pas s'apesantir longuement. Francis Ponge.

Le corpus regroupe 4 poème : « Le Verre », écrit par Charles-Francois Panard en­ 1764, « La Pipe », rédigé en 1857 par Baudelaire et enfin deux poèmes écrit au 19eme siecle, « La Valise » de Francis Ponge et Persiennes de Louis Aragon. 1) Malgré des formes poétiques très différentes, ces poèmes ont pour point commun d’être dédié à un objet du quotidien. Baudelaire a choisi la pipe, Aragon évoque une persienne, Ponge se réfère à une valise et enfin le poème de Panard traite d’un verre. A cela s’ajoute

personnelle. Bibliographie[modifier | modifier le code] Francis Ponge, Le Parti pris des choses, coll. « Métamorphoses », NRF-Gallimard, 1942 ; rééd. in Œuvres complètes, NRF, tome 1, 1999 Michel Collot, Francis Ponge : entre mots et choses, Seyssel, Champ Vallon, coll. « Champ poétique », 1991, 272 p. (ISBN 2-87673-113-4) Serge Martin, Francis Ponge, Paris, Bertrand-Lacoste, coll. « Références », 1994 Serge Martin, article « Francis Ponge » et analyse du Parti pris des choses, dans Le Robert

Francis Ponge (1899-1988). En 1940, entre dans la Résistance lors de la Seconde Guerre mondiale, et sera décoré. En 1981, il reçoit le Prix national de poésie. Introduction Le poème en prose Le Pain est extrait du recueil Le Parti pris des choses (1942) dans lequel Francis Ponge (1899-1988) évoque de nombreux objets dans des textes courts. Le titre du recueil est contradictoire car les choses, objets sans conscience, ne peuvent prendre parti. Francis Ponge veut dans ce recueil restituer leur

Revue du monde libre. Symbole de la Résistance, il fut imprimé à Londres au format in-32 et parachuté à des milliers d’exemplaires par la Royal Air Force sur les territoires en guerre. En moins de dix ans, ces vers allaient inspirer une cantate à Francis Poulenc, deux tapisseries à Jean Lurçat et un “poème objet dépliant” illustré par Fernand Léger. Comme souvent pour les œuvres artistiques majeures, ces 21 quatrains ont une origine mystérieuse. Ce n’est pas la Liberté qui inspira à l’origine le poète

concéder de plus en plus d'autonomie à leurs vassaux pour conserver leur soutien[3]. Le règne de Charles le Chauve est symptomatique : après le partage de Verdun intervenu en 843 entre les trois fils de Louis le Pieux, il hérite du royaume de Francie occidentale, mais il a besoin du consentement et de l'appui de l'aristocratie pour entrer véritablement en possession de son royaume : à l'assemblée de Coulaine en novembre 843, il leur concède « la jouissance paisible de leur fonction et de leurs