Francis Ponge Le Plaisir De La Porte

brutalement, confèrent au lieu moderne et banal la dimension d'un enfer contemporain, à la fois onirique et macabre. Il ne fait aucun doute que Raymond Queneau se plaît à jouer ici de nos peurs inconscientes, en particulier celle du noir, avec un plaisir quasi enfantin. N'y a-t-il pas cependant, derrière ce tableau fantaisiste et fantastique, l'expression de l'angoisse, plus sourde, plus « souterraine », de la mort ? Sujet 2 : dissertation Introduction Pour bon nombre d'auteurs, la prose romanesque

savoir-faire technique des hommes. Ils répondent à des besoins vitaux : protéger les hommes de leur propre fragilité (les objets habillent, protègent, réchauffent, nourrissent, soignent) mais ils répondent aussi à des désirs (Ils divertissent, augmentent le plaisir de vivre mais aussi la liberté de se déplacer, de se cultiver et d’échanger qui est une liberté de pensé) Dans cette perspective ce qui pourrait définir un objet c’est sa fonction, son utilité. On remarque cependant très vite que l’on ne peut réduire

…………………………………………………………………. ... 35 - le poème à commenter : Une et Plusieurs VI. - Jules SUPERVIELLE (1884-1960) ……………………………………………… 36 - le poème à commenter : Les chevaux du temps ………………………….. ………. 37 VII. - Francis PONGE (1899–1988) …………………………………………………. 38 - le poème à commenter : Le Cageot ………………………………………………. 39 VIII. - Henri MICHAUX (1899-1984) ……………………………………………….. 40 - le poème à commenter : Dans la Nuit (Lointain

m'a-t-elle dit, garde que ce convoi, 45Quand je vais chez les Dieux, ne t'oblige à des larmes. Aux Champs Elysiens j'ai goûté mille charmes, Conversant avec ceux qui sont saints comme moi. Laisse agir quelque temps le désespoir du Roi. J'y prends plaisir. A peine on eut ouï la chose, 50Qu'on se mit à crier : Miracle, apothéose ! Le Cerf eut un présent, bien loin d'être puni.  Amusez les Rois par des songes, Flattez-les, payez-les d'agréables mensonges, Quelque indignation dont leur cœur soit rempli

relativement complexe, reflet d'une conscience puisant aux racines de la chrétienté. À la fois prière incantatoire et oraison funèbre, ce poème d'une grande force lyrique se veut également célébration de la guerre et héroïsation des humbles, regard porté vers le ciel et vers les vivants pour défendre « ceux qui sont morts pour la terre ». Cette ode prend une dimension ironiquement tragique lorsque l'on sait que Charles Péguy, quelques mois après la publication de Tapisseries, sera l'une des premières

Gautier. Sujet : Montrer en quoi la poésie est un genre propice à exprimer l'évasion. On adopte un plan thématique. I. Evasion hors du quotidien A. Etre poète, c'est jeter un regard neuf sur les choses. Ex. Francis Ponge dans le Parti pris des choses qui fait un poème sur le pain. Il voit les Alpes dans la croute du pain ! B. Une évasion liée à une utilisation particulière de la langue (vers ou prose poétique) : jeu sur les sonorités et les rythmes.

A- Une double analogie/ comparaison B- L'élévation II- Un univers soumis à de fortes tensions A- Le jeu des antithèses B- Le jeu sur les sonorités C- Le mouvement des phrases III - Les symboles d'une chute : A- Une image symbolique B- La portée des images A retenir : Selon Baudelaire, la place du poète dans la société est comparée à un albatros : majestueux dans le ciel, son élément, mais ridicule sur terre et au contact des hommes. De même, le poète se situe au-dessus du commun des hommes

comme quelque de vague et d’incertain alors que c’est eux-mêmes qui seraient dans le vague. > 3 grandes valeurs formelles de poésie dans la traduction occidentale pour Todorov : - Poésie = rhétorique : elle est un ornement qui procure du plaisir. - Elle inverse les propriétés rationnelles du langage = on fait passer les sentiments à travers les mots qui servent à communiquer ce que le langage conceptuel ne saurait traduire. - Accent mis sur la signification plus que sur le sens

censurent point toutes nos actions : Ils trouvent trop d’orgueil dans ces corrections, Et laissant la fierté des paroles aux autres, C’est par leurs actions qu’ils reprennent les nôtres. 395L’apparence du mal a chez eux peu d’appui, Et leur âme est portée à juger bien d’autrui. Point de cabale en eux, point d’intrigues à suivre ; On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre. Jamais contre un pécheur ils n’ont d’acharnement : 400Ils attachent leur haine au péché seulement Et ne veulent

la métamorphose du corps avec la gravité et l’apesanteur. Elle trouve un certain plaisir à chorégraphier des instants de tension du corps (souvent dans les portés : étreintes de deux personnes par exemple) pour ensuite laisser couler le corps par terre en aménageant la coulée pour ne pas s’écrouler d’un bloc au sol. Elle travaille aussi beaucoup avec différentes matières comme le texte (notamment ceux de Francis Ponge et Sylvie Germain), les objets ou encore la voix. Par exemple, lors d’un entrainement