Francis Veber

Le Dîner de cons est une comédie française, réalisée par Francis Veber, qui a gagné la célébrité internationale. Comme Molière dit que le but de la comédie est de corriger “les mœurs » des hommes en les divertissant, Le Dîner de cons ridiculise une mauvaise habitude, mais d’une manière légère et immensément amusante. « La tentative d’humiliation de moins que soi qui sert de moteur principal au film», écrit Jean Vallier dans le France-Amérique du 10 juillet 1999, « provoque très vite un fort sentiment

atteindre le fou rire et donc évacuer le stress accumulé et détendre ses zygomatiques. Mais la thérapie n’est pas le seul effet du rire. En effet, le rire est fédérateur, rassemble des personnes ayant le même sens de l’humour comme dans le film de Francis Veber, « Le diner de con », avec Jacques Villeret, Thierry Lhermitte. Des jeunes cadres parisiens se réunissent une fois par semaine pour se moquer de personnes dont la passion ou le profil prête à rire sans qu’elles ne soient bien évidemment au courant

cinéma semble prendre l'initiative d'adapter les œuvres théâtrales sur grand écran, lorsque celles-ci connaissent un succès conséquent. Comme exemple d'adaptation en œuvre cinématographique, on peut citer les pièces de théâtre le Dîner de cons de Francis Veber, la Cage aux Folles de Jean Poiret, ou bien L'avare de Molière. En revanche, on ne note pas réellement l'effet inverse : C'est avant tout le cinéma qui prend le relais dans ce genre d'adaptation, toutes scènes confondues. On y trouve cependant

société Les outils de consommations du rire (internet smartphone, télé, livres, journaux, radio, musique) Edition ellipse : le rire pour quoi faire ? Fiche 44 le diner de con Le diner de con est en premier lieu une pièce de théâtre écrite par Francis Weber qui à était reprise et adapté par ce dernier au cinéma en 1998. Ce film raconte l’histoire d’un homme habitué à organiser chaque semaine un diner de con avec ces amis, le principe est simple une bande d’amis ce retrouve pour diner, chaque

|Public |Classe de 1ère « communication » ou « gestion » | |Place dans le programme |Partie B : la communication | | |2. La communication interpersonnelle | | |2.1 La construction de sens

Après le dîner, je suis monté dans ma chambre qui se située au premier étage. Arrivé en haut je ne trouvais pas l'interrupteur pour allumer la lumière. L'étage était tellement grand que j'allais m'y perdre. Je fis alors demi-tour pour aller chercher une bougie dans la cuisine. Lorsque je suis arrivé dans le couloir, j'ai senti que quelqu'un passé à côté de moi, mais il n'y avait personne, j’étais seule. J'arrivai en fin dans la cuisine, quand je vis, en face de moi, un fantôme. Mon cœur se mit

Résumé. Pour Pierre Brochant et ses amis le mercredi est le jour des idiots. Tous les mercredis ils ont à porter un idiot au dîner. La personne qui réussit à porter le meilleur idiot est le gagnant. Brochant est heureux. Il a obtenu un idiot génial. Il s'appelle François Pignon: Le champion mondial des idiots!. Il est un constructeur de maquettes en bois d´allumettes et comptable au Ministère des Finances..Brochant décide de l'inviter à sa maison. Pignon agit toujours bien mais il ne fait plus

plusieurs personnes. Pour finir il existe différentes techniques pour provoquer le rire. Plusieurs stratégies peuvent êtres utilisées. Le comique de mot est largement utilisé. En effet dans l’œuvre cinématographique « Le diner de con » réalisé par Francis Weber on peut relever un passage ou le comique de mot est largement utilisé. Le « con » (Jacques Villeret) allias François Pignon expose a ces interlocuteurs une construction en allumette qui représente un derrick et il fait le jeu de mot pour évoquer

Weronika Tadla Commentaire sur le « Dîner de cons ». Francis Veber s’est marqué une nouvelle fois comme un grand réalisateur de films comiques avec le « Dîner de cons » . Son film est une adaptation de la pièce de théâtre du même Veber. La pièce a été adaptée au cinéma en 1998 sous le même titre. L’action du film se passe autour de quelques personnages principaux. On peut reconnaître les deux qui sont les plus importantes pour l’intrigue : la personne d’un éditeur, Pierre Brochant interprété

articles dans “L'écho de Paris” qui étaient signés «L’ouvreuse». Il était aussi romancier, mais, l'imagination lui faisant défaut, il recourait sans vergogne, au sein d’un «atelier» littéraire, à d'innombrables nègres, parmi lesquels Claude Farrère et Francis Carco, qui écrivaient pour lui des chroniques musicales et des romans légers mêlant érotisme et sentimentalité, peur de la femme vampire qui dévore le mâle, calembours et calembredaines, attaques directes ou voilées contre les ennemis du patron. Il