François de Belleforest

| [pic]Sources de la pièce[modifier] [pic] [pic] Eugène Delacroix, Hamlet et Horatio au cimetière. L'histoire de Hamlet se trouve dans la Gesta Danorum (vers 1200) de l'écrivain Saxo Grammaticus. François de Belleforest l'adapte en 1570, dans ses Histoires tragiques. La source la plus directe est vraisemblablement une pièce non conservée, attribuée à Thomas Kyd qui aurait le premier introduit le personnage du spectre. La plupart des événements sont le produit

prétendant qu’elles ne sont ni bonnes ni mauvaises en soi, il se propose de montrer comment les former en vue de l’amour de Dieu. Quand elles seront gérées conformément aux principes de la foi catholique regénérée sous l’impulsion de la pensée de saint François de Sales, le chrétien pourra espérer être sauvé : La raison qui tient la partie superieure de l’ame doibt regenter, et gourmander l’inferieure où resident les passions, tout de mesme que le cavalier raisonnable dompte, et conduit avec la bride le

prieur et seigneur d’Argenteuil, signé J. S. P., publié à Lyon par Benoist Rigaud, en 1572 et à Paris chez Mathurin Martin, la même année ; l’auteur y convoque le chœur des poètes : le grand Terpandre (Ronsard), Belleau, l’Auratus (Dorat), François de Belleforest dit le poète de Comminges, Jacques Gohory, d’Amboise, et imagine une rencontre des dieux de l’Olympe sur les bords de la Seine, pour doter de toutes les qualités divines et humaines l’enfant dont on attend la naissance ; la scène a lieu en

le moine de la fin du douzième siècle Saxo Grammaticus situe l’histoire de Amleth et de son oncle Feng dans son Historiae Danicae. Comme on le sait, le texte perdu Ur-Hamlet s’inspirait de l’histoire de Saxo Grammaticus et de son remake par François Belleforest, Histoires tragiques, datant de 1570. Shakespeare est donc le quatrième à faire apparaî15 Ibid., pp. 38-39. 38 Peut-on encore jouer Hamlet ? tre le héros Hamlet sur la scène littéraire. Le château d’Elseneur n’y est plus la forteresse

BÉCHET (Cosme). - Usa nce de Sa intonge, 3e édition, Bordeaux, 1701. p. 24 et suiv. BEGON (Michel). - Mémoire sur la généra lité de La Rochelle, publié par G. Musset dans Arch. hist. Sa intonge et Aunis, t. I, et à part., Tours, 1875. 14 BELLEFOREST. - Les Gra ndes Anna les et Histoire généra le de Fra nce, Paris, 1579, t. I - fol. 99 v°. BELLIARD (Abbé V.) - Ile d’Oléron, notes d’histoire loca le, Marennes, I, 1929. BLOIS (Th. de). - Histoire de Rochefort, Blois, 1733. BODIN (Jean). - Réponse

d’une montagne aux alentours labourés et fort fertiles et sur laquelle on voit fort loin. Nous nommâmes cette montagne le mont Royal12. » Cependant la forme du toponyme Montréal au lieu d’un *Montroyal attendu est attestée dès 1575 chez François de Belleforest, gentilhomme originaire du sud de la France. En effet, le type toponymique Montréal, commun au sud de la France, est principalement caractéristique de la langue d'oc (commun au sud de la France), alors qu'il est rare dans le domaine d'oïl(exemples

roy Charles septiesme estant ainsy spolié de sondict royaume et ses subjectz en très grande perplexité et tribulation merveilleuse, le bon Dieu, qui ses serviteurs secoure au besoing, voulant donner remède et fin à l'affliction des bons et loyaulx François, et l'orgueil desdictz Anglois réprimer et annichiler, suscita l'esperit d'une jeune pucelle aagée de dix-huict a vingt ans, natifvede la ville de Dompremy, duché de Bar, a trois petites lieues de Vaucouleurs, qui tout son temps n'avoit fait autre

Précèdent |   |      II- L'INVENTION DE LA POÉSIE 7- De nouvelles formes poétiques La poésie des trouvères voit naître un lyrisme non courtois, et amorce une évolution vers une poésie de l'expression personnelle, dans laquelle Rutebeuf et plus tard François Villon excelleront. La chanson d'amour se voit également adaptée à des thèmes religieux, la dame devenant la Vierge Marie, par exemple dans les poèmes insérés par Gautier de Coincy dans ses Miracles de Notre-Dame. | L'amour terrestre est traité

NEUILLY EN DONJON FANNY PARAYSIENNE LE DONJON PETANQUE PETANQUE MENULPHIENNE PETANQUE THIELOISE CHERION Michel Mr GUILLAUMIN François Stéphane DUBUISSON BEAUDONNET Stéphane Monsieur Emile PARRET Jacky COGNET Sylvain REMAUD Mr NOWAK Jean Pierre Yvette BERNA Christian CLUZEL Pascal CONFESSON Maryline SANVOISIN Alice KERVERN Sylviane GUILLEMOT Mme GERMAIN Catherine Pascal JAUNET François COGNET Claude LAJARGE Claude FOURNIER Patrick CHEVALIER RIVIERE Emmanuel FEVRE Laurent Martine OZOUF CLEMENT Yves Mr ALLAGNON

pas reconnaître, à titre personnel et plus exactement en tant que sujet de l’inconscient, une causalité et surtout une certaine analogie entre les deux formes, les deux pratiques de dire, d’expression de l’analysant et de l’acteur. A ce propos François Regnault cite Jacques Lacan s’exprimant sur le théâtre et pointant précisément une correspondance, un certain lien entre psychanalyse et théâtre. « Lacan pense deux choses très simples. Il pense que l'invention de Freud est une découverte unique