François Ier de Médicis

sexué, chacun sa tenue, son caractère (pour les femmes la pudeur, la réserve, le raffinement). Ainsi il faut apprendre le dessin, la musique, la danse, et quelques langues pour tenir des conversations. Marguerite de Navarre (d’Angoulême) la sœur de Francois Ier, est très cultivée. Elle a une solide formation théologique et a jouer un rôle dans les débat de l'époque. Elle a pris position publiquement pour les humanistes. Elle est l'idéale de la femme selon Castiglione, et elle est aussi écrivain. « L'heptamoron »

commandes aux artistes ( Raphaël, Michel-Ange, De Vinci... ) et assurent leur entretien. C'est le début du mécénat ( mécènes qui payent des artistes à peindre des portraits pour montrer leur puissance ). Il se développe d'abord chez les Médicis à Florence puis avec François Ier. L'essor artistique dans le Nord de l'Italie (Milan, Venise, Florence…) convergent dans toute l'Europe ( « Cinquecento » ). En france, si les châteaux gardent un espect médiéval, ils bénéficient des influences italiennes (châteaux

dans de nombreuses universités, en particulier celle de Padoue, l’académie de Florence opéra un retour à la philosophie de Platon. Le promoteur de ce néoplatonisme humaniste fut Marsile Ficin, qui, sous l’égide de l’homme d’Etat florentin Cosme de Médicis, rassembla les humanistes de Florence et entreprit avec Pic de La Mirandole une collaboration parfois orageuse. Il influença même des théologiens en les incitant à la tolérance, comme l’Allemand Nicolas de Cuse, auteur de la Docte Ignorance (1440)

La Joconde, ou Portrait de Mona Lisa, est un tableau de Léonard de Vinci, réalisé entre 1503 et 1506, qui représente un portrait mi-corps, probablement celui de la florentine Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo. Acquise par François Ier, cette peinture à l'huile sur panneau de bois de peuplier de 77 × 53 cm est exposée au musée du Louvre à Paris. La Joconde est l'un des rares tableaux attribués de façon certaine à Léonard de Vinci. La Joconde est devenue un tableau éminemment célèbre

Léonard à 24 ans, il quitte l’atelier et va être chargé de faire différente œuvres comme l'adoration des mages pour le couvent San Donato de Scopeto dont il ne va réaliser que les esquisses. À Florence, Léonard se créé une réputation. Laurent de Médicis, impressionné par son travail, l’envoie à Milan comme émissaire pour qu'il travaille pour le mécène et duc de Milan, Ludovic Sforza. Désormais, c'est en ingénieur que Léonard va vivre et travailler. Sforza l’emploie à des tâches diverses. L’artiste

parviendra à donner un rendu très sobre par le mélange de différents matériaux tels que la « pietra serena » par exemple. On remarque de plus l’introduction de colonnes corinthiennes. En 1421, Brunelleschi entreprend pour l'église paroissiale des Médicis, San Lorenzo, une chapelle nobiliaire. Brunelleschi s’inspire de sources antiques pour rationaliser l'espace de la cité moderne et met en place les bases de la perspective. Ses créations sont marquées par la perspective, les proportions harmonieuses

Tout change en 1494, invasions françaises. charles VIII veut recueillir un héritage féodal ayant appartenu a des anciens rois français. Arrivent rapidement à naples. Autodafé de tableaux, de livres. Femmes obligées de se voiler. Fait fuir les Médicis. Aborde période extrêmement perturbée. Acquis de la renaissance soumis a perturbations. Redistribution des cartes. Bramante quitte le milanais pour se réfugier a Rome. Seconde carrière, assez courte (14 ans) Définit l’architecture moderne, classique

41) l’intérêt philosophique (page 49) la destinée de l’œuvre (page 53) Bonne lecture ! ACTE I Scène 1 : À Florence, à minuit, à la fin décembre 1536, dans un jardin, le duc Alexandre de Médicis, accompagné de son écuyer, Giomo, et de son favori et entremetteur, Lorenzo, enlève Gabrielle, une jeune fille, dont le frère, Maffio, est brutalement désarmé. Scène 2 : Le lendemain matin, dans une rue, des bourgeois constatent les débordements

XVIIIe siècle renoue avec l'idéal humaniste, par la confiance qu'elle met en l'homme, par le souci qu'elle a d'en assurer le bonheur et d'en défendre les droits contre l'obscurantisme蒙昧主义 politique et religieux. Le roman Gargantua, Pantagruel de François Rabelais L'Heptaméron de Marguerite de Navarre Le théâtre Eugène , Cléopâtre captive d’Etienne Jodelle Les Juives de Robert Garnier La poésie Défense et illustration de la langue française, Regrets de Joachim du Bellay Amours de Cassandre de

La Pléiade réunira plusieurs auteurs et autres théoriciens de la langue française, dont Joachim de Bellay qui, dans son ouvrage Défense et illustration de la langue française (1549), établira un premier modèle poétique, rhétorique et stylistique. François 1er imposera d’ailleurs l’usage du français dans la sphère officielle en signant l’Ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539. La peinture et l’architecture constituent également les témoins de la pensée humaniste. Apparue en Italie à la fin du XIVe