François Ier Mécène

d'or culturel pour le monde romain. Ce "siècle d'Auguste" est marqué par l'apparition de grandes oeuvres littéraires comme celles de Virgile, Horace, Ovide, Tibulle, Properce, ou encore celle de l'historien Tite-Live. Son conseiller n'est autre que Mécène (devenu un nom commun par la suite). Ces artistes sont des références importantes pour le souverain et d'autant plus quand on sait qu'ils ont loué sa personne et sa famille et qu'ils ont pris parti pour lui contre Antoine. Ils ont aussi soutenu sa

L’ « Elégie à Janet peintre du Roy » paraît en novembre 1554 (1555 si l’on en croit le fac-similé de la page de titre[1]) dans Les Meslanges, un recueil que Ronsard dédie à Jan Brinon. Ce conseiller au Parlement de Paris était l’un des principaux mécènes de l’époque et recevait souvent les poètes de la Pléiade, comme en témoignent les nombreux éloges que lui consacrent Dorat, Du Bellay, Baïf, et bien d’autres[2]…Constituée formellement de 172 décasyllabes en rimes plates, l’ « Elégie à Janet… » est

direction de la ville de Florence. Éduqué comme un prince, il est très vite entouré d'un cercle d'intellectuel. Autour de lui se créé un humanisme néo-platonicien. Laurent le Magnifique créé un lien entre culture humaniste et nouveautés artistiques. Ce mécène bâtie peu mais se passionne pour tout ce qui a une saveur Antique. Sa grande connaissance de l'architecture lui permet de faire des choix artistiques pour la ville. Il parvient à créer une diplomatie artistique car Florence s'exporte dans toute l'Europe

France. Après la chute de Constantinople (1453), les savants emportent ce qu'ils ont pu sauver de textes latins et grecs et se réfugient en Italie, ce qui leur permet de redécouvrir l'héritage culturel antique en ayant accès aux textes originaux. François Ier joue un rôle important dans l'évolution culturelle de la France : à l'occasion des guerres qui opposent la France et l'Italie entre 1492 et 1559, il découvre la richesse de la culture italienne, ses oeuvres d'art et ses artistes. De retour en France

public) un peu partout en Europe. Cette gestion des épidémies avaient été lancée en Italie du Nord dès le 15e. La pop des villes pourtant connaît beaucoup de mortalité. La surmortalité infantile est à 300 pour mille grâce aux enquêtes d’Étienne François dans les villes allemande. La variole est un problème majeur a Genève et Dublin qui est la ville la plus décimer par la variole la dysenterie et typhoïde les facteurs de risques : Les cimetières urbains sont important, ils sont saturés et

militaires sur Pise. Florence a donc confiance dans sa puissance qui explique ce renouveau artistique. De plus, Florence est une république qui fonctionne grâce et avec les corporations. La possibilité de ce renouveau s’explique donc grâce aux grands mécènes de Florence. Il y a le mécénat des corporations. Chaque artisan est obligé d’appartenir à une corporation. Grâce aux cotisations elles sont très riches. Il en existe 7 comme celle de la laine ou des armuriers. Il en existe 14 plus petites comme les

francs-maçons furieux de voir leurs rites révélés dans La Flûte enchantée ou par prise de la « liqueur de Van Swieten »32, hypothèse également peu vraisemblable et très peu évoquée qui met en cause Van Sweeten père, médecin et ami de l'empereur François Ier d' Autriche. Pour Robbins Landon, les deux hypothèses vraisemblables sont que Mozart est mort « d'une fièvre rhumatismale ou selon un autre diagnostic d'une insuffisance rénale »33. La légende, reprise dans le film Amadeus de Milos Forman, (film

fin du XVIIe siècle , l’anglais Newton met en lumière la loi de la gravitation. Les Etats tente progressivement d’organiser ces recherches. Le roi de France François Ier donne naissance au collège royal, futur Collège de France en 1530 . Des mécènes financent également les recherches. A partir du XVIIe siècle , les académies sont la manifestation de l’institutionnalisation de la recherche. Mais le recherche ne se

mesures alors en usage en France peut être considéré comme un chaos informe. De nombreux projets d'unification se heurtèrent ainsi aux résistances locales : Charles le Chauve (Edit de Pitres en 864), Louis le Hutin, Philippe le Long, Edits de François 1er sur l'aunage en 1540-1545, d'Henri II en 1557, " Suppliques des Etats généraux " en 1560, 1576, 1614, projets de Henri IV, puis de Colbert, tentatives de Laverdy en 1764, de Trudaine, de Marigny en 1766. Les noms des anciennes mesures étaient

inaugure en effet un genre qui ne cessera ensuite de remporter le plus grand des succès. L’héritage antique nous a ainsi livré nombre d’ouvrages qui poursuivent l’entreprise amorcée par Hérodote – citons par exemple la Geographica de Strabon, auteur du Ier siècle après Jésus-Christ. Et c’est dans cette lignée que s’inscrivent les relations de voyage9, sur lesquelles se précipitent les lecteurs du Moyen Âge et de l’époque moderne. Nous en reparlerons après l’étude du corpus qui suit. B Étude d’un