Fraternité blanche universelle

exprimées dans cet ouvrage n’engagent que leurs auteurs », comme si il était nécessaire, dans un climat de malentendu, de prévenir tout lecteur intolérant qu’il n’est pas obligé d’adhérer aux avis des auteurs. La couverture se veut en fond noir écriture blanche et nous rappelle les affiches «  je suis Charlie » et l’ouvrage commence par des condoléances aux familles des victimes. Deux grands pionniers de la tolérance et de la symbiose des différentes cultures sont ensuite cités. Ils s’inscrivent dans des

de se renforcer par les conquêtes. Secondement, les prétendues raisons « morales » ; Les Européens pensent être investis d’une mission civilisatrice sur les « races inférieures » et sont convaincus de la supériorité de la « race » blanche, ils s’attribuent donc le devoir de faire progresser les races « inférieures » et de les cultiver. Il s’agit aussi, d’évangéliser des peuples considérés comme primitifs. Pour se faire, les pays colonisateurs envoient des missionnaires c’est à dire

Ignorant vaniteux aux méprisables illusions attrapées au vol dans d'illusoires écrits. Des valeurs, les tiennes, les miennes, toutes opposées, complémentaires. Simples éphémères de pensées, jugements relatifs où la lame blanche égorge les égarés. Devise pourtant similaire, trouver dans l'infini du regard réponses aux questions existentielles. Besoin superficiel puisé dans la volonté humaine afin de gorger modèle à la création individuelle. Une danse, sur un air d'envoûtement, des pas dans les murmures

où une sociabilité nouvelle pût s'établir entre des hommes d'origine et de niveau social différents. Pour un maçon, manger et boire ensemble n'est pas seulement la satisfaction épicurienne d'un bien-être mais la manifestation la plus simple de la fraternité. D'ailleurs, le mot agape vient d'Agapé (amour fraternel en grec) et ce repas pris en commun demeure toujours une communion, un symbole de participation à une idée, un moment d'échanges,et souligne l'une des qualités majeures qu'on attend des membres

En préliminaire de la présentation de ce morceau d’architecture consacré à l’art de la musique, il m’a semblé judicieux et sincère de vous confier d’une part, la joie de vous retrouver ce soir après quelques mois de séparation, c’est fou comme la fraternité peut nous habiter, et également l’intense satisfaction que m’ont apportée ces réflexions, cette étude que vous m’avez confiée. La musique est un art dont je suis votre humble rapporteur en ces lieux respectueux puisque vous m’avez fait l’honneur

aux engrenages d’un système discriminant où tout est rationalisé et calculable. Dans cette société anonyme et hiérarchisée, le Noir dépouillé de sa particularité, devient une chose, une pauvre chose impersonnelle et fantastique. C’est la société blanche dont l’inhumanité est plus apparente encore dans les structures périmées et écrasantes. Il s’agit en fait d’une tentative d’enfermer psychologiquement le Nègre dans le complexe du Noir, force ontologiquement dominée face à un Blanc éternellement,

montrent l’exemple comme la France qui abolit l’esclavage en 1848 ou la Russie qui interdit le servage en 1861." 6 "Pour couronner le tout, les élections présidentielles de 1860 propulsent Abraham Lincoln, républicain et abolitionniste, à la Maison Blanche. Les différents États sudistes menacent donc de se séparer de l’Union car ils refusent d’être gouverner par un abolitionniste, craignant les conséquences économiques et sociales de la libération de 4 millions d’esclaves." 7 "En décembre 1860, la Caroline

mauvaise fois.Elle réduit les africains a se prosterner devant elle et ne prend pour homone que les objets qu`elle considere a valeur et rejettent les statues aficaines en les qualifians de laids.Par ailleurs, les européens ne suivent aucunes regles universelles et semblent imposer leurs propres justices.A cet insu, ils batisent les africains de nom européens et rejettent tout autre nom ou religion ce qui était une pratique qui s`opérait sur les esclaves au 19eme siècle au nouveau monde.Tout ces facteurs

La Marseillaise. La devise de la République est "Liberté, Égalité, Fraternité". Son principe est : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Ce débat sur l’identité nationale montre que la République est, aujourd’hui, à une croisée des chemins. Deux voies sont proposées. La première, dans la perpétuation des « traditions démocratiques françaises », entend maintenir la République dans ses valeurs universelles, une République une et indivisible, laïque, composée de citoyens égaux

Libérale existe en Europe depuis 1689 en Angleterre mais elle n’est pas libérale avec les Catholiques. La Monarchie ne défens pas la chose publique - La 1ère République Démocratique est en 1787 aux USA car la Constitution est votée par suffrage universel adopté sans les femmes, esclaves et indiens. 3. 1792 : la Naissance de la (1ère République) En Italie, elle date de 1946 avec 56 % de oui. En France, elle a été adoptée par l’AN Constituante le 23/6/1789 puis est arrivée la Monarchie Constitutionnelle