Fraudes En Microfinance

l'introduction et la conclusion générale, notre travail est subdivisé en quatre chapitres : Le chapitre premier porte sur les généralités sur les concepts de base (les risques financiers, les institutions financières, les intermédiaires financiers et la microfinance.); Le second chapitre parle de la théorie sur le crédit et le risque financier ; Le troisième chapitre porte sur la présentation de la CADECO et la gestion des créances Le dernier chapitre concerne la gestion du risque de crédit et du risque

taxes sur titres miniers. La bonne performance globale en matière de mobilisation des recettes propres est liée aux mesures prises par le gouvernement notamment la simplification et la modernisation du système fiscal et douanier, la lutte contre la fraude et les faux, le renforcement des performances des structures de recouvrement, etc. Cependant, le taux de pression fiscale (14.2 %) reste encore en deçà de la norme communautaire de l’UEMOA (17 %). Ce faible niveau s’explique en grande partie par

+ Réforme des retraites : les hauts revenus mis à contribution ? + Régimes spéciaux : où est l’équité ? + Santé : les immigrés se soignent moins + Sarkozy déclare la guerre à la fraude + Sécurité sociale : réduire les dépenses + Secteur public + Travailler plus longtemps ? + Un agenda chargé + Un régain de pauvreté en France en 2005

risques la non-détection des erreurs, ou manquement. IB - -B opérationnels ; LI Les conséquences du problème peuvent être de diverses natures dont : les erreurs ; - le retard dans l’exécution des opérations (livraison des colis) ; - la fraude interne ou externe ; - les vols ; - la violation du secret professionnel (ouverture des courriers). E U EQ TH Les solutions possibles pour y remédier sont: O - - l’évaluation des dispositifs de maîtrise des risques opérationnels ; -

la Coopération Financière en Afrique centrale (pays de la zone BEAC) FMI : Fonds Monétaire International GSE : Ghana Stock Exchange LART : Loans and Advance Realization Trust (Tanzanie) NBC : National Bank of Commerce (Tanzanie) NMB : National Microfinance Bank NMC : National Milling Corporation (Tanzanie) NPART : Non Performing Assets Recovery Trust (Ouganda) ODI : Overseas Development Institute (Angleterre) OHADA : Organisation et Harmonisation du Droit des Affaires en Afrique PBZ : People’s Bank

E L A P A U V R E T É E T R É A L I S AT I O N D E S O M D Rapports de pays sur les OMD et suivi de la pauvreté Réformes de politiques pro-pauvres pour atteindre les cibles des OMD Initiatives locales de lutte contre la pauvreté, notamment en microfinance Mondialisation bénéficiant aux pauvres Développement du secteur privé Prise en compte systématique de l’égalité des sexes Habilitation de la société civile TIC au service d’un développement axé sur les pauvres Riposte au VIH et au sida Gouvernance

document soumis à consultation par le comité de Bâle (2001) comme le risque de pertes pouvant résulter de procédures internes inadéquates ou non appliquées, des personnes, des systèmes ou d’événements externes. Ces événements de risques sont les fraudes internes ou externes, les risques qui touchent aux relations clients, les problèmes liés à la gestion du personnel, les dommages qui pourraient toucher les actifs physiques, l’interruption totale ou partielle des systèmes ou des processus, et la mauvaise

 ce caractère raisonnable devant être déterminé par la comparaison des prix  entre les offres et sur le marché.  Les Fournisseurs/Consultants (y compris leurs associés, le cas échéant), ne sauront être des  personnes  ou  des  entités  frappées  d’inéligibilité  pour  Fraude  et  Corruption,  ou  qui  ont  été  créées ou ayant leur siège ou une partie importante de leurs activités dans un pays qui fait  l’objet de sanctions ou de restrictions en vertu des lois ou politiques des Etats‐Unis. A ce jour,  ces pays sont : Cuba

réalisé pendant l'exercice considéré pour les contribuables vendant des carburants au détail. Les institutions de microfinance mutualistes sont affranchies de l’Impôt sur les Revenus et du minimum de perception pendant les 5 premiers exercices à compter de la date de leur constitution définitive, et bénéficient d'une réduction de 50p.100 jusqu'au 10ème exercice. Les institutions de microfinance non mutualistes sont affranchies de l’Impôt sur les Revenus et du minimum de perception pour les 5 premiers exercices

conventions de non double imposition signées jusque-là, mais qui ne sont pas encore entrées en vigueur. Les traités bilatéraux relatifs aux relations fiscales (1) entre pays ont pour objectif d’éviter la double imposition et de lutter contre la fraude et l’évasion fiscales. Ils permettent aux Etats de percevoir les impôts dans le pays où ils sont dus et de préserver les intérêts des partenaires commerciaux étrangers. Les conventions de L’état des de conventions avec l’UEMOA Conventions