Frédéric-Guillaume III de Prusse

en trois Empires autoritaires et bureaucratiques : Autriche, Russie, Empire Ottoman => peuples sans Etat : Slaves (Tchèques, Slovaques, Polonais, Serbes, Slovènes), Hongrois et Baltes. Allemagne émiettée en trente-neuf principautés dominées par Prusse + Autriche-Hongrie revendiquant l’héritage du Saint Empire Germanique. Italie très morcelée (Piémont-Sardaigne, Lombardie-Vénétie, les Etats du Saint-Siège et le Royaume de Naples + principautés de Parme, Modène, Florence). Domination Autriche, économies

fin du conflit. Sur le front oriental par contre, l'armée allemande enchaîne les victoires contre la Russie tsariste, jusqu'à la révolution d'octobre et la paix de Brest-Litovsk signée par Lénine le 3 mars 1918. Une révolution renverse le Kaiser Guillaume II qui est forcé de s'exiler en novembre 1918. À la tête de la délégation allemande Matthias Erzberger mène les négociations et signe le 11 novembre 1918 l'armistice dans la forêt de Compiègne à côté de Rethondes. le 28 juin 1919, le traité de Versailles

Selon Constantin de Grunwald, auteur d’une biographie du chancelier Bismarck, la réalisation de l’unité allemande est le produit d’un engrenage qui a pour point de départ la supériorité de la Prusse à l’intérieur de l’aire germanique : La grandeur prussienne était l’œuvre personnelle d’un seul homme, Frédéric II qui avait porté le coup décisif à l’ancienne répartition des forces en Allemagne par la conquête de la Silésie. Ses ancêtres avaient déjà inculqués à la caste des officiers et des hobereaux

le roi de Prusse Même si la guerre de succession d’Autriche (1740-1748) oppose d’abord l’Autriche et la Prusse, la France décide de s’en mêler. Semblant l’emporter avant la défection de son allié prussien qui enlise la situation, la France signe en 1748 le traité d’Aix-la-Chapelle qui comporte la restitution de leurs conquêtes réciproques par la France et l’Angleterre, la France doit évacuer les Pays-Bas. Les Bourbons d’Espagne sont consolidés ainsi que Frédéric II en Italie

Par la suite, le comte de Provence se réfugia à Coblence, capitale de l’archevêché de Trèves. A noter que cette cité était le point de ralliement de toute l’aristocratie française émigrée. En août 1791, Louis Stanislas rencontra Frédéric Guillaume II, roi de Prusse, et Léopold II, Empereur germanique et archiduc d’Autriche. Les deux souverains décidèrent alors de signer la déclaration de Pillnitz, manifestant leur inquiétude vis-à-vis de la situation de Louis XVI. Mais Léopold II n’était pas

l’accueille le 27 janvier 1816. Il refuse les nombreuses interventions de Gros et de ses élèves, qui ont fait une pétition pour obtenir son retour en France, et les offres de pardon du roi Louis XVIII, ainsi que la proposition du roi de Prusse, Frédéric-Guillaume III qui desire faire de David son ministre des arts, pour rester en Blegique. Il connait par la suite de grave problèmes de santé et expire dans son lit le 29 décembre 1825. Description du croquis de Marie-Antoinette Jacques-Louis David

Le congrès est présidé par Metternich, le Ministre des affaires étrangères autrichien. Les puissances qui prennent l’essentiel des décisionssont l’Autriche (Metternich), la Russie (Alexandre Ier), le Royaume-Uni (Castlereagh) et la Prusse (Frédéric-Guillaume III). La France, représentée par Talleyrand, son Ministre des affaires étrangères, fait les frais du congrès car Napoléon Ier a été vaincu et contraint à abdiquer.· Le congrès veut la restauration (retour à l’ordre monarchique, absolu et religieux

-L’unification de la Suisse [-Conclusion : l’héritage de l’administration de l’Europe napoléonienne II) Le congrès de Vienne et la nouvelle carte de l'Europe A) Le partage de l’Europe au congrès par la quadruple alliance -Bilan sommaire du congrès -Prusse/Russie expansionniste contre un empire Autrichien et une Angleterre à la recherche d’un équilibre européen. -En France: la négation du sentiment révolutionnaire permet de retrouver une place parmi les grands mais le retour à des frontières humiliantes

l'embryon d'un État: la Prusse, la Saxe, la Bavière, le royaume de Wurtemberg, le royaume de Hanovre...Il touche également l'Italie, l'Autriche. On assiste alors à un printemps des peuples européens, qui se matérialise par un immense espoir social et politique des populations. On peut donc se demander en quoi les révolutions de 1848 en France et en Allemagne ont été un tournant dans l'histoire de l'Europe ? I/ Les motivations et espoirs II/ Au cœur des révolutions III/ La portée des révolutions

L’aigle noir de Prusse et l’aigle rouge de Brandebourg lui font de la place. Normal, Fréderic 1er vient de réunir 5 villes, Berlin, Cölln, Friedrichswerder, Dorotheenstadt et Friedrichstadt, pour former la "Capitale et ville de résidence princière" Berlin. Le blason est donc surplombé par la couronne des princes électeurs. L’ours est fier. 1839. L’ours a encore grandi, certes, mais 2 couronnes le coiffent : la couronne des villes de résidence princière et la couronne royale de Prusse. Le collier, signe