Friedrich Glasl

Tout d’abord il va étudie philologie. La philologie c’est l’Étude d'une langue, d'une civilisation par l'analyse de ses textes. Par après il va l’enseigner à l’Université de bale en suisse dès son jeune âge de 24 ans. Nietzsche va par la suite exprimer ses idées dans des ouvrages tels que le Gai savoir en 1883-1887, ou encore l'Antéchrist en 1896. Ensuit il va sombrer dans une démence. Il va ainsi mener une vie essentiellement solitaire, malade et atteint de la folie. Cette folie va lui faire faire

anarchistes, inspirés par Proudhon, se proposent d’abolir l’Etat qui opprime les ouvriers et, d’éliminer de la société tout pouvoir établissant une contrainte sur l’individu. Texte 5 page 45. Le philosophe allemand Karl Marx (1818 – 1883) et son ami Friedrich Engels sont les principaux fondateurs du socialisme. En 1848, ils publient le Manifeste du parti communiste. Textes 4 page 44. Ils expliquent que la production industrielle du XIXème siècle repose sur l’exploitation de la classe des prolétaires

autre homme tenant le même discours mais sortant vainqueur de son combat serait qualifié de héros ! Il n'y a malheureusement pas de place pour ces fous dans les livres d'histoire. Oui, bon nombre d'avant gardiste tel que Giordano Bruno ou encore Friedrich Nietzsche ont laissé une trace dans l'histoire, oui grâce à eux notre société aujourd'hui est peut être plus « morale » mais combien d'autres libres penseurs comme eux ont été sacrifié pour avoir été trop bavard et ce en vain ? Ceux là sont vite

Un quatuor insolite Introduction : L’auteur, Ionesco, d’origine roumaine, se fixe définitivement en France en 1938. Ce n’est qu’assez tardivement qu’il aborde l’écriture théâtrale et publie rhinocéros en 1959. Après le passage inattendu d’un rhinocéros dans l’acte 1, qui a écrasé un chat en traversant la place, les conversations reprennent entre les 2 amis ainsi qu’entre deux personnages moins caractérisés. Les deux conversations s’entremêlent et nous tâcherons de voir comment et pourquoi

troduction :La notion de liberté signifie spontanément l'absence de contraintes, l'expression de nos désirs personnels sans rencontrer d'obstacles extérieurs et d'interdits normatifs faisant peser une menace en cas de transgression; ainsi le devoir, en tant qu'il oblige et interdit de faire telle ou tel acte, à l'encontre de nos désir, semble incompatible avec l'idée même de liberté. Cependant celui qui refuserait toute obligation serait condamné à suivre aveuglément sesdésirs qui le dominerait jusqu'à

VideL homme observe Nietzsche, dit "je me souviens", ci qui l'oppose a l'animal qui "oublie aussitôt". Cette affirmation peut tout de même surprendre car un chien ne reconnaît il pas son maître, après une longue séparation? Ou un quelconque animal ne reconnaît il pas son habitat après une longue absence? Il faut donc accordée à l'animal une mémoire car sans celle ci, il serait perdu dans un monde qui Lui serait toujours nouveau etrange. Cette mémoire constitue une mémoire élémentaire et spontané

L'oubli peut-il être un bienfait (sujet IEP 2012) ? L’oubli peut-il être un bienfait ? C’est une question faussement troublante, car la réponse est absolument évidente et certaine : c’est oui ! Même si a priori l’oubli est une défaillance de la mémoire, donc un handicap. Reprenons : Il faudra distinguer l’oubli individuel et l’oubli dont le sujet est un peuple ou une communauté. En ce qui concerne l’oubli individuel, il est ni bon ni mauvais, mais lié au fonctionnement de la mémoire

Dans son texte, Nietzsche s’attarde sur le thème de la conscience et ses conséquences sur le langage de l’être humain, il faut savoir que la conscience est la capacité de savoir ce qui se passe en nous et hors de nous. C’est ainsi qu’il se demande « Pourquoi donc la conscience est-elle superflue ? ». Cette interrogation de l’auteur laisse d’abord transparaitre que celui-ci relativise alors l’utilité de la conscience chez l’homme mais aussi qu’il remet en question toutes les théories sur la conscience

difficulté car la morale de l’homme tend naturellement entre l’animal et l’humain ,le «bien» et le «mal» et il faut qu’il essaie du mieux qu’il le peut de les réconcilier s’il veut ,un jour, devenir un «surhomme». La théorie du «surhomme» de Friedrich Nietzsche rappelle celle de la perfection ,qui sera éternellement inaccessible pour l’homme ordinaire, car il succombera toujours aux péchés qui lui sont offerts. Il a décrit une image idéalisée de l’humain qui ne pourra jamais être vrai, car « [

Suis-je ce que j'ai conscience d'être ? Introduction : "L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant...Quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus grand que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui; l'univers n'en sait rien ", déclarait Pascal dans une célèbre Pensée. Ce faisant il soulignait le privilège qu'a tout homme d'être conscient de ce qu'il est. Un tel privilège est-il pour autant acquis