Frisson

J'ai froid. Je m'enroule sur moi-même pour essayer de me réchauffer, mais ça n'aide pas. Ce n'est pas le sol de béton, gelé, où je suis étendu, épuisé et nu, ce n'est pas ce qui me fait frissonner comme ca. Je touche ma peau, certaines parties saignent, je suis trempé, mais ce n'est pas ca qui me donne ces frissons là… Mes yeux sont bandés, c'est une bonne chose, de toutes façons je n'ai pas envie de voir ce qu'il se passe autours, cela ne ferais que de me gelé davantage… Parce que le froid que je

moins dangereux. C’était étrange. Ça me faisait un peu peur d’ailleurs mais c’était une peur presque agréable. Nous sommes sortis de l’eau et nous sommes restés assis sur le sable jusqu’à ce que le vent nous sèche. J’ai eu un peu froid, quelques frissons parcouraient ma peau. Puis nous avons décidé de marcher le long de la plage. La pénombre nous enveloppait, on entendait le clapotis des vagues. L’odeur des embruns qui effleurait mes narines me procurait un bien-être incomparable propice au rêve

pauvres, mais suffisantes. C’est-à-dire qu’elles sont fixées de cette façon : la consonne précédant la voyelle accentuée est la même dans les deux mots de la rime. A l’exception d’une seule rime qui est riche, puisqu’elle a deux syllabes identiques : « frisson / marisson » (-risson). On pourrait aussi dire que les choix de rimes de Marot sont assez simples parce qu’il y existe plusieurs mots qui s’appellent instinctivement, par exemple : « doulcettes / amourettes » ou « cueur / sueur », etc. Cependant,

dans l'herbe, sous la nue,
 Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme 
 Sourirait un enfant malade, il fait un somme: 
Nature, berce-le chaudement: il a froid. Les parfums ne font plus frissonner sa narine;
 Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
 Tranquille. Il a deux trous rouges au coté droit. Arthur Rimbaud    L'horreur de la guerre a inspiré de nombreux textes, l'un des plus célèbres par la sobriété de sa dénonciation

faisait frissonner, surtout à la page 27 : quand la pendule » sonna onze heure » et que la pièce commence à s’animer. C’est une histoire que je raconterai bien à quelqu’un pour lui faire peur s’il va dormir dans un lieu inconnu. De plus, les émotions du personnage, dont j’ai abordé le sujet dans le paragraphe précédent, ne font qu’ajouter du piquant dans la soupe, comme à la page 28 ou il dit « jamais de ma vie je n’avais éprouvé une pareille émotion ». M’ayant fait rêver et frissonner, la Cafetière

tout d’abord exprimer l’opposition entre une petite fille fragile et le lourd travail qui lui est imposé. Elle décrit une enfant terrifiée : « ce frisson qui la glaçait jusqu’au fond du cœur » (l. 87,88) et que l’on peut aussi justifier par le champ lexical de la terreur : « terreur » (l. 39 et 85) « terrible » (l.85), « frissonnait » (l.86), « frisson » (l.87), « effrayait » (l.92), « peur » (l.98). Elle décrit également une enfant frêle et fragile : « ses bras maigres » (l. 114) et « ses petites

mon amie. Pendant le voyage je regardais le paysage défilé devant mes yeux. Cela devait bien faire 2 ans que j’habitais ici ce fut cependant, pour moi, la première fois que j’allais dans ce quartier. Je souris – la nouveauté me donne toujours des frissons de bien-être -. Le quotidien est d’un ennuie. Quand je vis l’adresse que mon amie m’avait écrite, je me calmai _ Fred, je crois que c’est ici. Vous pouvez vous arrêtez Fred, mon chauffeur, me regarda d’un air confus puis redirigea son regard vers

était pleine de monde, car chacun avait regagné sa place, afin de les voir passer ensemble. Il allait lentement, d'un pas calme, la tête haute, les yeux fixés sur la grande baie ensoleillée de la porte. Il sentait sur sa peau courir de longs frissons, ces frissons froids que donnent les immenses bonheurs. Il ne voyait personne. Il ne pensait qu'à lui.     Lorsqu'il parvint sur le seuil, il aperçut la foule amassée, une foule noire, bruissante, venue là pour lui, pour lui Georges Du Roy. Le peuple de

transforma en une frayeur insupportable, à un tel point que je sentais mon cœur battre à la chamade, un frisson immense commença à envahir tout mon corps. Je décidais de m’assoir par terre entre deux bancs de métro. C’est lorsque je fus par terre qu’un coup de feu retentissait, suivi d’un second, mais cette fois j’étais visée. Puis un silence mortel s’installa. Je n’entendais rien, mais mes frissons se transformèrent en des tremblements incontrôlables puis ma respiration s’accélérait de plus en plus

Ils eurent soudain ce frisson de colère furieuse et bestiale qui pousse les foules au massacre (…) ils tiraient sur lui avec acharnement de brutes, se battaient pour avoir leur tour. » Pensez-vous que la guerre déshumanise les soldats et les transforme en monstres ? Développez votre point de vue dans un texte argumentatif illustré par des exemples précis. Enoncé 3 : Parlant de ses soldats, le narrateur, chef de bataillon, dit : « Ils eurent soudain ce frisson de colère furieuse et