Front chaud

n’avait pas été préparé aussi méthodiquement il n’y aurait pas eu autant de morts en si peu de temps. En novembre 1994, un Tribunal pénal fut crée à Arusha dans le but de punir les responsables du génocide. ----------------------- 1 FPR : Front Patriotique Rwandais [1] http://www.memoireonline.com 4 KOTEK, Joël, « Génocide au Rwanda », in L'Histoire, n° 267, juillet-août 2002, p.88. 5 MRND : Mouvement Révolutionnaire National pour le Développement 6 KOTEK, Joël, « Génocide au Rwanda »

toujours été l’objet de massacres horribles. On connaît plusieurs exemples du terrorisme dans le monde. Exemples du terrorisme mondial Au Canada, nous avons vu un exemple horrible du terrorisme avec la lutte du Front de libération du Québec (FLQ). C’était en octobre 1970. Une cellule du Front de libération du Québec (FLQ) procéda de sang-froid à l’enlèvement et à l’assassinat de Pierre Laporte, ministre du travail du Québec et à l’enlèvement du diplomate britannique James Richard Cross. Devant cette

génocide rwandais, est un génocide qui eut lieu du 7 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutus (représentés par le Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement tutsi. Ainsi entre avril et juillet 1994, quelques 800 000 hommes, femmes et enfants, principalement Tutsis, mais également Hutus modérés ont été massacrés au Rwanda. Ce

violentes émeutes éclatent. L'armée tire sur la foule, faisant plus de 500 morts. Quatre mois plus tard, un référendum sur la Constitution instaure le multipartisme, mettant fin à l'hégémonie du Front de libération nationale (FLN), qui contrôle la vie politique depuis l'indépendance en 1962. 1991 En décembre, le Front islamique du salut (FIS) remporte le premier tour des législatives. L'armée, craignant une victoire du FIS au second tour, prend le pouvoir et dépose Chadli Bendjedid. Un Haut Comité d'Etat

GUERRE D'ALGERIE Date • 01/11/1954 : Le nouveau FLN (Front de Libération Nationale) déclenche une insurrection armée contre la France en Algérie. • 18/03/1962 : La signature des accords d'Evian le 18 mars 1962 par le Général de Gaulle et le GPRA (Gouvernement provisoire de la République d'Algérie) aboutit à un cessez-le-feu officiel. Après le vote des algériens à une majorité écrasante pour l'indépendance, la France reconnaît officiellement l'indépendance de son ancienne colonie

des chiffres du Ministère de l’Administration territoriale au 11 janvier 2011 il existe 253 partis politiques légalisés au Cameroun dont les plus importants sont : le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), le Social Democratic Front(SDF), l’Union Démocratique du Cameroun(UDC), l’Union Nationale pour la Démocratie et le Progrès(UNDP), le Mouvement Progressiste(MP). Leur présence sur la scène politique camerounaise est quasi nulle et je prends pour exemple la représentativité à

de 1954 à 1962, principalement sur le territoire des départements français d'Algérie, avec également des répercussions en France métropolitaine. Elle oppose l'État français à des indépendantistes algériens, principalement réunis sous la bannière du Front de libération nationale (FLN)2. La guerre d'Algérie, qui est aussi une double guerre civile, entre les communautés d'une part et à l'intérieur des communautés d'autre part3, entraîne de graves crises politiques jusqu'en France métropolitaine, avec

génocide rwandais. Se déroulant du 6 avril au 4 juillet 1994, au Rwanda, cette guerre civile opposait le gouvernement rwandais, les Hutus, et les Fronts patriotiques rwandais, les Tutsis. Durant ces trois mois, environ 800 000 Tutsis et Hutus sont morts. Le gouvernement rwandais, pour se débarrasser des Tutsis à décider de les tuer. Cependant, les Fronts patriotiques rwandais ont gagné la guerre, mais le gouvernement rwandais aurait atteint son objectif ; le génocide contre les Tutsis. Cette guerre

autorités locales. Une des conséquences que nous pouvons déjà évoquer c’est que le génocide constitue en outre un désastre économique avec les destructions de biens (notamment les troupeaux) et les pillages. Le 30 avril 1994, le bureau politique du Front patriotique rwandais publie un communiqué selon lequel le génocide est presque terminé. Il « appelle le Conseil de sécurité des Nations unies à ne pas autoriser le déploiement de la force proposée, parce que l'intervention des Nations unies à ce stade

de l’Angola et du Mozambique fût enclenché bien après la « vague décolonisatrice ». Différents mouvements nationalistes se crée dans les années 50/60 : FNLA (front de libération national Angolais) MPLA (mouvement des populations de libération de l’Angola) Unita (union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) FRELIMO (front de libération de Mozambique) RENAMO (résistance national Mozambique) Le Portugal (à l’inverse des autres puissances occidentales), refuse l’indépendance de l’Angola