Front chaud

Le génocide au Rwanda est un génocide qui eut lieu du 6 avril au 4 juillet 1994 au Rwanda, un pays d'Afrique de l'Est. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué de Hutus (voir Hutu Power), au Front patriotique rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Le 1er octobre 1990, des Rwandais exilés et regroupés au sein du FPR décidèrent de revenir au pays à partir de l'Ouganda, et de prendre le pouvoir par les armes. En

l’entremise de la décolonisation. Le Québec n’est pas exempt de cette propagande indépendantiste. Certaines organisations vont faire leur apparition dans les années 1960 sur le plan provincial. C’est le cas entre autre d’un mouvement extrémiste, le Front de libération du Québec (FLQ). Le FLQ n’hésite pas à utiliser le terrorisme comme moyen d’action. En 1970, ce groupe indépendantiste est à la tête d’une crise politique du Québec moderne : la Crise d’octobre. La Crise d’octobre est un phénomène complexe

slogan « égalité ou indépendance ». Pour d’autres, c’est la fameuse Crise d’Octobre 1970 et la proclamation de la loi des mesures de guerre par Pierre Eliot Trudeau qui met fin à cette période de grand renouveau. L’élan révolutionnaire initié par le Front de Libération du Québec (F.L.Q.) et la série d’attentats et d’enlèvements prennent définitivement fin lors de la découverte du corps de l’ancien ministre francophone Pierre Laporte, enlevé quelques semaines plus tôt par le F.L.Q. La plupart des historiens

Après trente ans d’exil, en 1990, les tutsis gardaient la nostalgie de leur patrie et souhaitaient voir se réaliser le retour des réfugiés. Cette éventualité fut refusée par le gouvernement du président Habyarimana et les tutsis emmenés par le Front Populaire Rwandais (FPR) déclenchèrent la guerre depuis la frontière ougandaise. Ce n’est qu’en août 1993 que la guerre se termina avec les accords d’Arusha qui prévoyaient un gouvernement de transition comprenant le groupe d’Habyarimana, les partis

de Hocine Aït Ahmed, il participe au casse de la poste d'Oran. En mai 1950, il est reconnu coupable et est condamné à sept ans de prison. Il réussit à s'évader et se réfugie au Caire avec Hocine Aït Ahmed et Mohamed Khider et forme ensemble le FLN (Front de libération nationale) qui lutte lui aussi pour la libération de l'Algérie. Ben Bella est de nouveaux arrêté avec ses compagnons résistants lors d'un voyage avec le CRUA (Comité Révolutionnaire d'Unité et d'Action) faisant partie du FLN. Après

manque de recul et qu’on n’a pas accès aux archives. Cette difficulté est particulièrement grande pour la guerre d’Algérie, parce que l’historien est confronté d’une part, aux mémoires contradictoires de différents acteurs (soldats français ou de du Front de Libération Nationale algérien (FLN), hommes politiques et intellectuels, Français rapatriés d'Algérie (les Pieds-noirs) et les Algériens restés fidèles à la France et contraints au départ (les harkis) et d’autre part aux enjeux nationalistes et

1959 à la révolution sociale Hutus, c'est-à-dire que les leaders Hutus reversent la monarchie Tutsi et s’empare du pouvoir. Les Tutsi sont exilés, ils reviennent dans les années 80 une organisation politiquo-militaire, ils désormais leur armée, le front patriotique rwandais (le FPR). La guerre : le 1 octobre 1990 le FPR lance ses troupes à l’assaut du Rwanda et de son régime Hutus. Le président Hutus parvient à sauver la situation en obtenant l’intervention de troupes Françaises, belges. La guerre

de 1954 à 1962, principalement sur le territoire de l'Algérie, avec également des répercussions en France métropolitaine. Elle est avant tout une guerre d'indépendance opposant des nationalistes algériens, principalement réunis sous la bannière du Front de libération nationale (FLN), à l'État français. Elle est aussi une double guerre civile, entre les communautés d'une part et à l'intérieur des communautés d'autre part2. Elle entraîne de graves crises politiques en France, avec pour conséquences

intolérant et raciste, le Klu Klux Klan Canadien. Les orangistes avaient un grand impact au Canada. Cette discrimination à mener a la demande d’une indépendance au Québec. Ces événements ont nourri l’haine des francophones envers le gouvernement. Le front de libération du Québec (FLQ) est un mouvement de libération nationale qui est fonde en 1963. Il se donne pour objectif de faire accéder le Québec l’indépendance en utilisant le terrorisme, s’il le faut. Sa démontre qu’ils étaient près a tout pour

infrastructure and resources. L'holocauste du Rwanda a détruit son économie, les infrastructures et les ressources. This brutal holocaust was put to an end by a Tutsi group named Rwandan Patriotic Front when it seized power from the then Hutu government. Cet holocauste brutal a été mis fin par un groupe tutsi du nom de Front patriotique rwandais quand il a pris le pouvoir du gouvernement de l'époque Hutu. Finally peace was restored in Rwanda. Enfin la paix a été restaurée au Rwanda. B- Idée principale Le