Front de flamme

corps calcinés, sang et feu ») : les couleurs rouge et noire s’entremêlent, formant un rideau qui les séparent du monde des vivants. En associant les cris, les couleurs, la séparation morts/vivants la souffrance, Barbusse dresse un tableau infernal du front. L'enfer est sur terre, l'enfer, c'est la guerre. L'auteur insiste également sur les transformations subies par les 4 éléments. Normalement source de vie, ils sont liés ici intimement à la mort. La terre : « boue, plantés au sol, terre pulvérisée

échec( 1914-1915) : 0n peut parler de guerre de mouvement car le front bouge. Les soldats font des déplacement importants comme le bataille de la Marne. En aout 1914, début de la Première Guerre Mondiale .Le 28 juin 1914, attentat de Sarajevo où l’héritier de l’Autriche-Hongrie est assassiner à Sarajevo en Bosnie par un serbe. Les principales zones de combat se situent sur le front orientale et le front de l’Ouest. Sur le front de l’Ouest, les Allemand envahissent la Belgique et la France mais

XIV et Xve siècles). Ils étaient accrochés au dessus des autels afin de pouvoir prier devant eux. Leur sujet était toujours religieux :ex, La mort du Christ ou bien du Jugement Dernier. La Guerre montre le résultat apocalyptique d'un assaut mené au front par les soldat enterrés dans les tranchées entre 1915 et 1917 : 2 survivants se détachent parmi les corps décharnés, détruits et mutilés qui gisent sur le champ de bataille. B-L'artiste: Otto DIX Otto Dixest né en Allemagne le 2 décembre 1891

bataillon dont fait partie le narrateur croise les soldats de première ligne heureux d’être en vie mais peu nombreux. Volpatte est blessé aux oreilles et les autres l’envient de cette bonne blessure qui va l’éloigner du front pendant 2 mois. Après 17 jours de repos, les hommes repartent au front. Volpatte les rejoins et leur montre sa colère envers les planqués de l’arrière. Le narrateur va voir l’endroit où un déserteur s’est fait fusiller et Poterloo en profite pour lui raconter qu’il s’est déguisé en

qu'il restât aux coeurs une flamme éternelle Au lointain souvenir de mon corps radieux. Je voudrais que pour moi nulle ne restât sage, Choisir l'une aujourd'hui, prendre l'autre demain ; Car j'aimerais cueillir l'amour sur mon passage, Comme on cueille des fruits en étendant la main. Ils ont, en y mordant, des saveurs différentes ; Ces arômes divers nous les rendent plus doux. J'aimerais promener mes caresses errantes Des fronts en cheveux noirs aux fronts en cheveux roux. J'adorerais

rudimentaire, datant du milieu du 19ème siècle. Un uniforme facilement repérable, datant de la guerre de 1870; pantalon rouge, et haut de laine bleu. Un képi rouge servant de couvre-chef n’offrant aucune protection aux soldats lorsqu’ils sont au front. Son armement est également assez rudimentaire. Leur arme se réduit au Fusil Lebel, datant de 1867. Ce fusil est peu performant et n’est surtout pas de toute jeunesse (voir Le Fusil Lebel modèle 1868). Au bout de leur fusil, les soldats installent

impressions : Description : Volet gauche : Panneau central : représentation du front Prédelle :   Analyse (contexte, portée, ouverture) : Le ciel est couvert soit d’une fumée, d’un gaz ou d’un brouillard, ce qui donne un aspect inquiétant, tourmenter. Un groupe de soldats de face qui semble revenir du front. Cela donne un aspect fantomatique. Le brouillard rend le front au loin comme une zone sinistre. La forme du casque montre que se sont des soldats

font face sur un front continu de 700 km de la mer du nord à la Suisse. b) Un conflit qui s’enlise Guerre de position qui s’enlise dans les tranchées. Bataille de Verdun (février-décembre 1916), voulue par l’Allemagne pour « saigner à blanc » l’armée française. 275 000 morts fr, 240 000 morts all. Bataille de la Somme (juillet-novembre 1916), traumatisme. Offensive britannique pour soulager Verdun. Plus d’un million de morts au total. Peu d’avancées significatives, le front ne bouge quasiment

Je me borne à ceci: je suis ce monstre énorme, Je suis le démagogue horrible et débordé, Et le dévastateur du vieil A B C D; Causons.         Quand je sortis du collége, du thème, Des vers latins, farouche, espèce d'enfant blême Et grave,au front penchant, aux membres appauvris; Quand, tâchant de comprendre et de juger, j'ouvris Les yeux sur la nature et sur l'art, l'idiome, Peuple et noblesse, était l'image du royaume; La poésie était la monarchie; un mot Était un duc et pair, ou n'était

monde La tempête est écume, mon âme se consume La flamme en mon coeur, semble terne et se meurt Rien n'est hors du commun Quel est ce sort? Je tombe heure par heure, ruine et regarde Cet univers, s'écroule Cet astre que j'observe Est-il ce point d'or ? Ce ciel que je n'ose quitter chaque nuit de peur Comme mes mots qui s'écoulent Que vois-je ? Qu'écris-je ? Que fuis-je ? Ce ciel sera-t-il toujours ? Je vois en toi et sur ton front Reflets des clartés éternelles Mais saurai-je te protéger